Attentats à Paris: Découvrez les Unes en deuil des quotidiens, sous le choc, après les massacres de la nuit
samedi 14 novembre à 07:33
La une du Parisien est illustrée d’une photo représentant le personnel soignant qui prend en charge les nombreux blessés à Paris: " Cette fois c’est la guerre", comme pour marquer le départ d’une longue série d’horreur depuis les attentats de Charlie Hebdo en janvier dernier.
Ces photos montrant les urgentistes à l’oeuvre ont été reprises par plusieurs quotidiens nationaux tels que la Dépêche, comme pour illustrer l’inévitable urgence qu’il y a à arrêter ce massacre.
"La guerre en plein Paris ", c’est le titre du Figaro de ce matin, publiée à quelques heures des premières explosions aux abords du Stade de France et du Bataclan .
La une, teintée de noir, plonge la France dans un deuil profond.
Le Midi Libre titre sur le bilan provisoire, "120 morts", ou l’ampleur de l’attaque perpétuée décrites dans ces quelques lettres, et puis ce nombre, beaucoup trop important.
Et puis L’équipe une nouvelle fois contraint à s’adapter à l’actualité d’une violence rare, à l’instar de la une que le quotidien sportif avait consacré aux attentats de Charlie Hebdo en janvier dernier.
Son titre court et incisif, "L’Horreur", plonge dans ce sentiment d’impuissance ressenti par citoyens métropolitains et ultra-marins face à ces attaques sans précédent.
Ces photos montrant les urgentistes à l’oeuvre ont été reprises par plusieurs quotidiens nationaux tels que la Dépêche, comme pour illustrer l’inévitable urgence qu’il y a à arrêter ce massacre.
"La guerre en plein Paris ", c’est le titre du Figaro de ce matin, publiée à quelques heures des premières explosions aux abords du Stade de France et du Bataclan .
La une, teintée de noir, plonge la France dans un deuil profond.
Le Midi Libre titre sur le bilan provisoire, "120 morts", ou l’ampleur de l’attaque perpétuée décrites dans ces quelques lettres, et puis ce nombre, beaucoup trop important.
Et puis L’équipe une nouvelle fois contraint à s’adapter à l’actualité d’une violence rare, à l’instar de la une que le quotidien sportif avait consacré aux attentats de Charlie Hebdo en janvier dernier.
Son titre court et incisif, "L’Horreur", plonge dans ce sentiment d’impuissance ressenti par citoyens métropolitains et ultra-marins face à ces attaques sans précédent.
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