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mardi 14 janvier 2014

Selfie, nomophobie, mooc et autres mots que nous avons adoptés en 2013

Billet d'humeur journalistique :

"... je vais pouvoir élargir mon vocabulaire !"



Info Atlantico
Selfie, nomophobie, mooc et autres mots que nous avons adoptés en 2013.
Chaque année, au fil des évolutions de la société et des technologies, de nouveaux mots apparaissent. Tour d'horizon de ce qu'ils révèlent.
Atlantico : Parmi les nouveaux mots les plus connus, on trouve "mooc", "nomophobie", "big data", "native advertising", "responsive design", "selfies", "emoji" et  "bitcoin". Que signifient ces mots et que représentent-ils dans notre société ? 
Catherine Lejealle : Prenons les un par un pour en donner une rapide définition et voyons ce qu’ils reflètent de l’évolution de notre société.
MOOC
Les MOOC désignent les Massive Open Online Course ou les cours à distance ouverts à tous en général. Initialement, certains cours de professeurs de prestigieuses universités américaines ont été mis en ligne pour aboutir dans certains cas à une délivrance de diplômes. Depuis, certains sont payants et soumis à inscription et à contrôle de connaissances. La France a également lancé son MOOC cette année. Comme wkipédia, il s’agit d’un accès le plus souvent gratuit à un savoir organisé et thématique, à distance et que l’on peut suivre de chez soi. Il y a une réelle soif de connaissance, accessible facilement et dans des contextes pratiques - chez soi et sur des supports nomades.
Nomophobie
La nomophobie désigne la No mobile phobie ou la peur d’avoir oublié ou perdu son mobile. Le terme désigne une addiction, un état de manque comparable à celui de l’alcool ou de la drogue. Le mobile est devenu tellement indispensable qu’on conçoit mal de s’en passer. Il évite d’emporter des plans des villes, des annuaires, des agendas avec les codes d’immeubles à jour, des programmes de cinéma, des Quid et des dictionnaires, des albums photos, un lecteur MP3… J’arrête là la liste car le sac transportable est déjà plein ! Il signale en tout cas que le mobile est bien devenu - selon les sondages - plus indispensable que la clé ou le porte feuille. 

P.
Le Big Data
Le big data concerne une troisième révolution technologique. La première dans les années 1970 a consisté à automatiser les traitements à l’aide d’ordinateurs puissants. La suivante a mis tout le monde en réseau avec une connectivité urbi et orbi. La troisième est celle des données et de leur utilisation. Certains pays ont déjà contraints leurs administration à restituer les données à leurs usagers, à publier des données publiques. La France a commencé à s’engager dans cette voie même si cela est encore peu connu et peu usité. La puissance de traitement et la quantité d’information captable au fil de l’eau et des déplacements de chacun vont impacter les offres que les entreprises vont faire. Outre cette personnalisation, se pose la question de privacy et d’information sur ce qui est collecté. Les données, la personnalisation, la pertinence des offres toujours plus ciblées est au cœur de ce phénomène.       
Native advertising
Le native advertising ou publireportage constitue une évolution majeure de la publicité. Ici, l’annonceur paie pour offrir un contenu – les 10 lieux magiques dans Paris par exmple – à valeur ajoutée dans lequel son nom n’est pas mis en avant. De tels contenus suscitent des réactions plus favorables que la publicité et leur réception agit en faveur de l’image de la marque. L’attitude face à la marque est modifiée sans que l’on puisse aujourd’hui mesurer avec certitude l’impact sur les ventes. Mais la saturation face à la publicité et la volonté de parler d’égal à égal avec la marque conduit à modifier les formes de communication entre les marques et les clients. Là encore, le consommateur veut être actif, participer, interagir, choisir ce qu’il va recevoir en toute transparence

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/selfie-nomophobie-mooc-et-autres-mots-que-avons-adoptes-en-2013-catherine-lejealle-941710.html#lrq63ou1MtoZG1S2.99
clé ou le porte feuille. 
Le Big Data
Le big data concerne une troisième révolution technologique. La première dans les années 1970 a consisté à automatiser les traitements à l’aide d’ordinateurs puissants. La suivante a mis tout le monde en réseau avec une connectivité urbi et orbi. La troisième est celle des données et de leur utilisation. Certains pays ont déjà contraints leurs administration à restituer les données à leurs usagers, à publier des données publiques. La France a commencé à s’engager dans cette voie même si cela est encore peu connu et peu usité. La puissance de traitement et la quantité d’information captable au fil de l’eau et des déplacements de chacun vont impacter les offres que les entreprises vont faire. Outre cette personnalisation, se pose la question de privacy et d’information sur ce qui est collecté. Les données, la personnalisation, la pertinence des offres toujours plus ciblées est au cœur de ce phénomène.       
Native advertising
Le native advertising ou publireportage constitue une évolution majeure de la publicité. Ici, l’annonceur paie pour offrir un contenu – les 10 lieux magiques dans Paris par exmple – à valeur ajoutée dans lequel son nom n’est pas mis en avant. De tels contenus suscitent des réactions plus favorables que la publicité et leur réception agit en faveur de l’image de la marque. L’attitude face à la marque est modifiée sans que l’on puisse aujourd’hui mesurer avec certitude l’impact sur les ventes. Mais la saturation face à la publicité et la volonté de parler d’égal à égal avec la marque conduit à modifier les formes de communication entre les marques et les clients. Là encore, le consommateur veut être actif, participer, interagir, choisir ce qu’il va recevoir en toute transparence.

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clé ou le porte feuille. 
Le Big Data
Le big data concerne une troisième révolution technologique. La première dans les années 1970 a consisté à automatiser les traitements à l’aide d’ordinateurs puissants. La suivante a mis tout le monde en réseau avec une connectivité urbi et orbi. La troisième est celle des données et de leur utilisation. Certains pays ont déjà contraints leurs administration à restituer les données à leurs usagers, à publier des données publiques. La France a commencé à s’engager dans cette voie même si cela est encore peu connu et peu usité. La puissance de traitement et la quantité d’information captable au fil de l’eau et des déplacements de chacun vont impacter les offres que les entreprises vont faire. Outre cette personnalisation, se pose la question de privacy et d’information sur ce qui est collecté. Les données, la personnalisation, la pertinence des offres toujours plus ciblées est au cœur de ce phénomène.       
Native advertising
Le native advertising ou publireportage constitue une évolution majeure de la publicité. Ici, l’annonceur paie pour offrir un contenu – les 10 lieux magiques dans Paris par exmple – à valeur ajoutée dans lequel son nom n’est pas mis en avant. De tels contenus suscitent des réactions plus favorables que la publicité et leur réception agit en faveur de l’image de la marque. L’attitude face à la marque est modifiée sans que l’on puisse aujourd’hui mesurer avec certitude l’impact sur les ventes. Mais la saturation face à la publicité et la volonté de parler d’égal à égal avec la marque conduit à modifier les formes de communication entre les marques et les clients. Là encore, le consommateur veut être actif, participer, interagir, choisir ce qu’il va recevoir en toute transparence.

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