Lencsi, le petit Teckel de l'entreprise suisse Frontiers qui fait le buzz

Billet d'humeur journalistique :

"....je suis la mascotte de mon maître....et de toute une entreprise, c'est pas parce qu'on est court sur pattes que l'on n'a pas de grandes idées !!!"

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Un petit teckel est devenu la coqueluche d'une entreprise basé en Suisse, sur le campus de l'école polytechnique. La chienne miniature a même été citée en exemple par une grande revue scientifique qui prônait des bienfaits que peuvent apporter un animal de compagnie dans les locaux d'une entreprise. Dans les bureaux de l'entreprise suisse Frontiers, au milieu du ronflement des ordinateurs et de la mélodie des doigts qui dansent sur les claviers, on ne remarque presque pas le petit teckel qui se déplace à son gré. Ce n'est pas le dernier caprice de la doyenne des employés mais la nouvelle mascotte de la boîte, qui n'est autre que l'animal de compagnie d'une stagiaire présente pour quatre mois au sein de l'entreprise. Il s'appelle Lencsi, ce qui veut dire "lentilles" en hongrois.
Le dernier post Facebook, mentionnant la petite saucisse a même été repris par la prestigieuse revue scientifique "Nature", dont Frontiers est partenaire. Le magazine mettait en parallèle une étude montrant les bienfaits d'un animal de compagnie sur le lieu de travail. "Idéale pour faire passer le stress""Lencsi est la partenaire idéale pour faire passer le stress, elle crée une atmosphère positive dans notre open space et permet de rapprocher les gens entre-eux et les rend tout simplement heureux", raconte Gozde Zorlu, responsable de la communication à Frontiers. "Cela aurait peut-être été plus compliqué dans un espace plus petit", concède-t-elle. "Tout le monde l'adore, renchérit Mischa, un des cinquante employés de l'entreprise fondée en 2007. On peut jouer avec elle n'importe quand, même pendant un téléphone". Et le petit toutou de Budapest est bien au courant des bienfaits qu'il procure: dandinant de la queue, elle se balade de poste en poste, en demandant aux employés de lui lancer son jouet. "On devrait la cloner pour tous les bureaux de Suisse", s'exclame trentenaire qui travaille à Frontiers depuis 5 mois. Un petit chien, à poils court et joueur, est, selon lui, l'idéal dans un bureau. "Si nous avions eu un chat, beaucoup de personne ne l'aurait même pas remarqué", conclut Gozde.

P.