Dessin du jour :
"....Roland - Garros prend l'eau mais pas l'humour ....!!!"
Billet d'humeur sur l'actualité, sur une date de l'histoire ou une pensée inspirée par nos grands écrivains, parfois des anecdotes sur le quinté, le golf bref des commentaires sur tout ce qui fait le sel de la vie ...
Clin d'oeil à Carnet d'émotion parfumée.
Clin d'oeil à Carnet d'émotions parfumées .... on respire à fond!
mardi 31 mai 2016
Pour se protéger des prédateurs, cette plante imite parfaitement une dizaine de feuilles différentes
Billet d'humeur journalistique :
"...pour vivre heureux vivons cachés c'est valable aussi pour une plate, la preuve.... !!!"
Info Daily Geek
Pour se protéger des prédateurs, cette plante imite parfaitement une dizaine de feuilles différentes
De nombreux animaux ont la capacité de se camoufler dans l’environnement qui les entoure mais saviez-vous qu’une plante très particulière était capable d’imiter elle aussi ce phénomène incroyable ? SooCurious a le plaisir de vous présenter la Boquila trifoliolata, une vigne caméléon d’Amérique du Sud.
Boquila trifoliolata vit dans les forêts tempérées humides d’Amérique du Sud, notamment au Chili et en Argentine. Elle possède une propriété unique au monde : elle est capable de changer la forme de ses feuilles pour leur donner l’apparence de celles de la plante ou de l’arbre sur lequel elle grimpe !
Il existe d’autres plantes capables d’imiter les feuilles d’une autre espèce mais pas aussi précisément. Contrairement aux autres plantes, la Boquila trifoliolata est capable de réaliser une transformation complète. Pour se camoufler dans une autre plante, elle modifie sa taille, sa forme, sa couleur et même les nervures de ses feuilles de façon à se fondre parfaitement. Sur la même tige, elle est capable de donner à ses feuilles des formes différentes en fonction du feuillage qui l’entoure. Ainsi, la Boquila trifoliolata possède dans ses gènes la capacité incroyable de se transformer en dix sortes de feuilles différentes lorsqu’elle atteint des arbres voisins d’autres espèces et qu’elle commence à y grimper.
L’incroyable découverte des capacités mimétiques de la Boquila trifoliolata a été publiée en mai 2014 dans Current Biology par deux chercheurs passionnés chiliens. Selon ces scientifiques, ce polymorphisme d’imitation permettrait à la vigne d’empêcher les insectes herbivores de dévorer ses feuilles en se camouflant sur d’autres plantes qu’ils aiment moins. Mais quel est ce fantastique mécanisme qui permet aux feuilles de cette plante de prendre l’apparence de celles de l’arbre sur lequel elle grimpe ? Les chercheurs ont tenté de répondre à cette question avec deux hypothèses.
La première hypothèse est que lorsque la vigne grimpe sur l’arbre voisin cela interférerait sur la façon dont les feuilles utilisent leurs gènes. La seconde hypothèse est l’existence d’un transfert de gènes. Les gènes de la feuille de l’arbre vers celle de la vigne leur donneraient alors certaines de leurs capacités de transformation.
La rédaction est très impressionnée par les capacités incroyables de cette plante d’Amérique du Sud. Et si les plantes pouvaient nous offrir des solutions durables ? Le mimétisme chez les plantes est une propriété très intéressante que les chercheurs devraient étudier davantage, elle pourrait réduire l’utilisation de pesticides afin de lutter contre la pollution de nos terres agricoles. Une chose est certaine, l’Homme n’a pas terminé de résoudre l’intégralité des mystères qui se cachent dans la nature !
"...pour vivre heureux vivons cachés c'est valable aussi pour une plate, la preuve.... !!!"
Info Daily Geek
Pour se protéger des prédateurs, cette plante imite parfaitement une dizaine de feuilles différentes
De nombreux animaux ont la capacité de se camoufler dans l’environnement qui les entoure mais saviez-vous qu’une plante très particulière était capable d’imiter elle aussi ce phénomène incroyable ? SooCurious a le plaisir de vous présenter la Boquila trifoliolata, une vigne caméléon d’Amérique du Sud.
Boquila trifoliolata vit dans les forêts tempérées humides d’Amérique du Sud, notamment au Chili et en Argentine. Elle possède une propriété unique au monde : elle est capable de changer la forme de ses feuilles pour leur donner l’apparence de celles de la plante ou de l’arbre sur lequel elle grimpe !
Il existe d’autres plantes capables d’imiter les feuilles d’une autre espèce mais pas aussi précisément. Contrairement aux autres plantes, la Boquila trifoliolata est capable de réaliser une transformation complète. Pour se camoufler dans une autre plante, elle modifie sa taille, sa forme, sa couleur et même les nervures de ses feuilles de façon à se fondre parfaitement. Sur la même tige, elle est capable de donner à ses feuilles des formes différentes en fonction du feuillage qui l’entoure. Ainsi, la Boquila trifoliolata possède dans ses gènes la capacité incroyable de se transformer en dix sortes de feuilles différentes lorsqu’elle atteint des arbres voisins d’autres espèces et qu’elle commence à y grimper.
L’incroyable découverte des capacités mimétiques de la Boquila trifoliolata a été publiée en mai 2014 dans Current Biology par deux chercheurs passionnés chiliens. Selon ces scientifiques, ce polymorphisme d’imitation permettrait à la vigne d’empêcher les insectes herbivores de dévorer ses feuilles en se camouflant sur d’autres plantes qu’ils aiment moins. Mais quel est ce fantastique mécanisme qui permet aux feuilles de cette plante de prendre l’apparence de celles de l’arbre sur lequel elle grimpe ? Les chercheurs ont tenté de répondre à cette question avec deux hypothèses.
La première hypothèse est que lorsque la vigne grimpe sur l’arbre voisin cela interférerait sur la façon dont les feuilles utilisent leurs gènes. La seconde hypothèse est l’existence d’un transfert de gènes. Les gènes de la feuille de l’arbre vers celle de la vigne leur donneraient alors certaines de leurs capacités de transformation.
La rédaction est très impressionnée par les capacités incroyables de cette plante d’Amérique du Sud. Et si les plantes pouvaient nous offrir des solutions durables ? Le mimétisme chez les plantes est une propriété très intéressante que les chercheurs devraient étudier davantage, elle pourrait réduire l’utilisation de pesticides afin de lutter contre la pollution de nos terres agricoles. Une chose est certaine, l’Homme n’a pas terminé de résoudre l’intégralité des mystères qui se cachent dans la nature !
Il en faut peu pour être heureux selon "Le livre de la jungle": Baloo n'a pas forcément raison sur toute la ligne
Billet d'humeur journalistique :
" ...un peu de psychologie à travers un film...!!!"
Info Huffington Post
Il en faut peu pour être heureux selon "Le livre de la jungle": Baloo n'a pas forcément raison sur toute la ligne
On aimerait tous être "un ours très bien léché". Passer ses journées à manger du miel, à se frotter le dos contre les arbres, à s'exclamer "oh mon Dieu, que c'est bon de vivre" comme le nonchalant Baloo du Livre de la Jungle qui fait son retour sur les écrans ce mercredi 13 avril. Mais, est-ce vraiment cela la recette du bonheur?
La recherche en sciences sociales montre en fait que les conseils du coach de vie Baloo fonctionnent certainement pour un ours mais ils ne sont pas toujours valables pour nous.
"Il faut se satisfaire du nécessaire": nous le faisons déjà chacun à notre échelle
Pour Baloo, le nécessaire tient en peu de choses, "un peu d'eau fraîche et de verdure/que nous prodigue la nature/quelques rayons de miel et de soleil." Il faut dire que l'ours est un animal plutôt solitaire contrairement à nous qui vivons en société. Malgré tout, pourquoi ne pas nous contenter d'amour et d'eau fraîche? Parce que le nécessaire dont parle l'ours est une notion toute relative qui diffère en fonction de la culture, du niveau de vie, de l'endroit où l'on vit et a fortiori de l'espèce à laquelle nous appartenons.
En 2014, Geoffrey Miller, un universitaire américain spécialiste de la psychologie évolutive s'est intéressé au contenu de nos poches et sacs à main, à ce à quoi pouvait ressembler notre nécessaire. Après avoir parcouru les réseaux sociaux à la recherche du hashtag #edc (en anglais "Ce que je transporte tous les jours"), il s'est aperçu que la plupart des gens, des Occidentaux en majorité, ne transportaient pas grand chose de plus que ces cinq objets (selon les quelque 50.000 photos postées sur les réseaux sociaux): les clés de la voiture ou une carte de transports, les clés de la maison, une carte de paiement, un papier d'identité et un smartphone.
Geoffrey Miller a comparé ce "nécessaire" aux objets retrouvés sur Ötzi, un homo sapiens qui vivait dans les Alpes il y a environ 5300 ans, soit des vêtements, des outils, des armes et des torches. Notre ancêtre chasseur, soldat, campeur et explorateur voyageait avec son strict minimum, il en va de même pour nous. Non, ces objets ne sont pas superflus. Ils rassemblent "toute la connaissance, le pouvoir et l'orgueil de notre espèce en format poche", conclut le professeur. Voilà qui ferait bien sourire Baloo.
"Si tu travailles comme cette abeille, tu te rendras malade": le travail c'est aussi la santé
Certes, c'est prouvé, travailler trop peut avoir de graves conséquences sur notre santé mentale comme physique et notre bien-être général. Troubles du sommeil, dépression, risques accrus de développer des maladies cardio-vasculaires entre autres, les effets néfastes des longues heures passées au travail ont été largement démontrés par la science. Cependant, pour prendre soin de sa santé et être heureux, la solution de Baloo, travailler moins voire pas du tout, n'est pas la meilleure.
Plusieurs études se sont intéressées au lien entre temps de travail et satisfaction de la vie. Difficile de tirer une conclusion générale de ces travaux de recherche tant leurs conclusions peuvent différer, un élément ressort cependant: les personnes qui travaillent le plus sont très légèrement moins satisfaites de leurs vies que les autres en moyenne. Ce faisant, la baisse du temps de travail n'est pas forcément la meilleure solution.
"Si la baisse du temps de travail s'accompagne d'un stress plus important pendant les heures de travail ou d'une baisse de revenus, alors l'effet global peut être très bien nul voire négatif", assure ainsi Mickaël Mangot, enseignant à l'ESSEC et consultant en économie comportementale et économie du bonheur interrogé par Challenges.
Par ailleurs, si l'on suivait la logique de Baloo, tous les chômeurs seraient parfaitement heureux et en bonne santé. C'est loin d'être le cas, selon une étude menée 2007, être au chômage tue quatre fois plus de Français que les accidents de la route. En cause, la multiplication des conduites à risques et une fragilité psychosociale qui touchent particulièrement ces personnes-là.
"Tout est résolu lorsque l'on se passe des choses superflues"
Autant le dire, il est difficile pour autant de dire si l'argent fait ou ne fait pas le bonheur. Sur ce sujet, des études toutes aussi sérieuses les unes que les autres paraissent tous les ans et font pencher la balance dans un sens ou dans l'autre sans parvenir à trancher la question de manière définitive.
Mais Baloo a raison sur un point. Les personnes qui veulent posséder toujours plus sont a priori moins heureuses que celles qui se contentent de ce qu'elles ont. Des chercheurs texans ont dévoilé en 2014 les conclusions d'une étude intitulée, "Pourquoi les matérialistes sont-ils moins heureux?"
Une personne matérialiste ne va pas se rapprocher du bonheur au fur et à mesure qu'il amasse des biens. En fait, selon l'un des auteurs de l'étude, James Roberts, les personnes matérialistes vont seulement déplacer constamment leur "point de référence" du bonheur, le mettre toujours plus haut, et ne jamais l'atteindre.
Alors voilà, selon les conclusions de cette étude, si vous souhaitez être heureux, concentrez-vous sur ce que vous avez déjà, et soyez-en reconnaissants. C'est cette émotion, la gratitude, qui serait la clé du bonheur.
La clé de cette chanson n'est pas dans les paroles
La gratitude est au centre de cette chanson mythique selon Jon Favreau le réalisateur de cette nouvelle version du Livre de la Jungle interrogé par Le HuffPost. Il assure même essayer d'appliquer quelques uns des conseils dispensés dans la chanson "Je crois qu'il existe un vrai bénéfice spirituel à examiner ce qui est important dans la vie, à essayer d'apprécier les choses les plus simples", explique-t-il très sérieusement. Mais pour lui, le cœur de la chanson est ailleurs, "cette chanson, c'est un moyen de créer du lien". Cette chanson signe en effet le début d'un trio amical, moteur de l'action, entre Baloo, Mowgli et Bagheera.
S'il est difficile de dire si l'argent, le matériel ou le travail font le bonheur, les amis eux, c'est sûr, y contribuent fortement. Les personnes ayant un grand réseau d'amis ont une tension plus basse, sont moins sujettes au stress, ont des défenses plus robustes et vivent plus longtemps. Les amis facilitent les bonnes habitudes, apaisent la dépression, aident à surmonter les maladies et produisent satisfaction, plaisir et bonheur.
"Ne pas disposer d'un réseau de soutiens est un facteur de mortalité plus puissant que l'obésité ou une vie sédentaire et sans exercice physique", indique Julianne Holt-Lunstad, professeure de psychologie et chef de projet à l'Université Brigham Young de l'Utah aux États-Unis, sur la relation amitié-longévité. "Les études montrent une augmentation de 50% des probabilités de vivre plus longtemps si l'on possède un solide réseau de relations sociales”, déclare-t-elle encore.
Dans la jungle ou ailleurs, le bonheur, c'est les amis, sur ça, Baloo avait vu juste.
" ...un peu de psychologie à travers un film...!!!"
Info Huffington Post
Il en faut peu pour être heureux selon "Le livre de la jungle": Baloo n'a pas forcément raison sur toute la ligne
On aimerait tous être "un ours très bien léché". Passer ses journées à manger du miel, à se frotter le dos contre les arbres, à s'exclamer "oh mon Dieu, que c'est bon de vivre" comme le nonchalant Baloo du Livre de la Jungle qui fait son retour sur les écrans ce mercredi 13 avril. Mais, est-ce vraiment cela la recette du bonheur?
La recherche en sciences sociales montre en fait que les conseils du coach de vie Baloo fonctionnent certainement pour un ours mais ils ne sont pas toujours valables pour nous.
"Il faut se satisfaire du nécessaire": nous le faisons déjà chacun à notre échelle
Pour Baloo, le nécessaire tient en peu de choses, "un peu d'eau fraîche et de verdure/que nous prodigue la nature/quelques rayons de miel et de soleil." Il faut dire que l'ours est un animal plutôt solitaire contrairement à nous qui vivons en société. Malgré tout, pourquoi ne pas nous contenter d'amour et d'eau fraîche? Parce que le nécessaire dont parle l'ours est une notion toute relative qui diffère en fonction de la culture, du niveau de vie, de l'endroit où l'on vit et a fortiori de l'espèce à laquelle nous appartenons.
En 2014, Geoffrey Miller, un universitaire américain spécialiste de la psychologie évolutive s'est intéressé au contenu de nos poches et sacs à main, à ce à quoi pouvait ressembler notre nécessaire. Après avoir parcouru les réseaux sociaux à la recherche du hashtag #edc (en anglais "Ce que je transporte tous les jours"), il s'est aperçu que la plupart des gens, des Occidentaux en majorité, ne transportaient pas grand chose de plus que ces cinq objets (selon les quelque 50.000 photos postées sur les réseaux sociaux): les clés de la voiture ou une carte de transports, les clés de la maison, une carte de paiement, un papier d'identité et un smartphone.
Geoffrey Miller a comparé ce "nécessaire" aux objets retrouvés sur Ötzi, un homo sapiens qui vivait dans les Alpes il y a environ 5300 ans, soit des vêtements, des outils, des armes et des torches. Notre ancêtre chasseur, soldat, campeur et explorateur voyageait avec son strict minimum, il en va de même pour nous. Non, ces objets ne sont pas superflus. Ils rassemblent "toute la connaissance, le pouvoir et l'orgueil de notre espèce en format poche", conclut le professeur. Voilà qui ferait bien sourire Baloo.
"Si tu travailles comme cette abeille, tu te rendras malade": le travail c'est aussi la santé
Certes, c'est prouvé, travailler trop peut avoir de graves conséquences sur notre santé mentale comme physique et notre bien-être général. Troubles du sommeil, dépression, risques accrus de développer des maladies cardio-vasculaires entre autres, les effets néfastes des longues heures passées au travail ont été largement démontrés par la science. Cependant, pour prendre soin de sa santé et être heureux, la solution de Baloo, travailler moins voire pas du tout, n'est pas la meilleure.
Plusieurs études se sont intéressées au lien entre temps de travail et satisfaction de la vie. Difficile de tirer une conclusion générale de ces travaux de recherche tant leurs conclusions peuvent différer, un élément ressort cependant: les personnes qui travaillent le plus sont très légèrement moins satisfaites de leurs vies que les autres en moyenne. Ce faisant, la baisse du temps de travail n'est pas forcément la meilleure solution.
"Si la baisse du temps de travail s'accompagne d'un stress plus important pendant les heures de travail ou d'une baisse de revenus, alors l'effet global peut être très bien nul voire négatif", assure ainsi Mickaël Mangot, enseignant à l'ESSEC et consultant en économie comportementale et économie du bonheur interrogé par Challenges.
Par ailleurs, si l'on suivait la logique de Baloo, tous les chômeurs seraient parfaitement heureux et en bonne santé. C'est loin d'être le cas, selon une étude menée 2007, être au chômage tue quatre fois plus de Français que les accidents de la route. En cause, la multiplication des conduites à risques et une fragilité psychosociale qui touchent particulièrement ces personnes-là.
"Tout est résolu lorsque l'on se passe des choses superflues"
Autant le dire, il est difficile pour autant de dire si l'argent fait ou ne fait pas le bonheur. Sur ce sujet, des études toutes aussi sérieuses les unes que les autres paraissent tous les ans et font pencher la balance dans un sens ou dans l'autre sans parvenir à trancher la question de manière définitive.
Mais Baloo a raison sur un point. Les personnes qui veulent posséder toujours plus sont a priori moins heureuses que celles qui se contentent de ce qu'elles ont. Des chercheurs texans ont dévoilé en 2014 les conclusions d'une étude intitulée, "Pourquoi les matérialistes sont-ils moins heureux?"
Une personne matérialiste ne va pas se rapprocher du bonheur au fur et à mesure qu'il amasse des biens. En fait, selon l'un des auteurs de l'étude, James Roberts, les personnes matérialistes vont seulement déplacer constamment leur "point de référence" du bonheur, le mettre toujours plus haut, et ne jamais l'atteindre.
Alors voilà, selon les conclusions de cette étude, si vous souhaitez être heureux, concentrez-vous sur ce que vous avez déjà, et soyez-en reconnaissants. C'est cette émotion, la gratitude, qui serait la clé du bonheur.
La gratitude est au centre de cette chanson mythique selon Jon Favreau le réalisateur de cette nouvelle version du Livre de la Jungle interrogé par Le HuffPost. Il assure même essayer d'appliquer quelques uns des conseils dispensés dans la chanson "Je crois qu'il existe un vrai bénéfice spirituel à examiner ce qui est important dans la vie, à essayer d'apprécier les choses les plus simples", explique-t-il très sérieusement. Mais pour lui, le cœur de la chanson est ailleurs, "cette chanson, c'est un moyen de créer du lien". Cette chanson signe en effet le début d'un trio amical, moteur de l'action, entre Baloo, Mowgli et Bagheera.
S'il est difficile de dire si l'argent, le matériel ou le travail font le bonheur, les amis eux, c'est sûr, y contribuent fortement. Les personnes ayant un grand réseau d'amis ont une tension plus basse, sont moins sujettes au stress, ont des défenses plus robustes et vivent plus longtemps. Les amis facilitent les bonnes habitudes, apaisent la dépression, aident à surmonter les maladies et produisent satisfaction, plaisir et bonheur.
"Ne pas disposer d'un réseau de soutiens est un facteur de mortalité plus puissant que l'obésité ou une vie sédentaire et sans exercice physique", indique Julianne Holt-Lunstad, professeure de psychologie et chef de projet à l'Université Brigham Young de l'Utah aux États-Unis, sur la relation amitié-longévité. "Les études montrent une augmentation de 50% des probabilités de vivre plus longtemps si l'on possède un solide réseau de relations sociales”, déclare-t-elle encore.
Dans la jungle ou ailleurs, le bonheur, c'est les amis, sur ça, Baloo avait vu juste.
31 Mai - Poète
La naissance du jour :
XIX° siècle
Alexis Leger, dit Saint-John Perse, né le 31 mai 1887 à Pointe-à-Pitre et mort le 20 septembre 1975 à Hyères, est un poète, écrivain et diplomate français. Alexis Leger a utilisé d'autres noms de plume comme Saint Leger Leger en trois mots ou Saintleger Leger en deux, ou St L. Leger, et enfin Saint-John Perse à partir d’Anabase en 1924, recueil qui fut lui-même signé un temps « St-J. Perse ». On trouve une multitude d'interprétations quant à ces pseudonymes, mais, de son aveu même, la nécessité d'un pseudonyme avait pour rôle de séparer sa mission diplomatique de sa fonction plus officieuse de poète. Concernant l'origine du pseudonyme définitif de Saint-John Perse, « il fut librement accueilli tel qu'il s'imposait mystérieusement à l'esprit du poète, pour des raisons inconnues de lui-même ». Quant au choix que l'on a pu lier avec une admiration avouée pour le poète latin Perse, il a toujours affirmé qu'il s'agissait d'une simple coïncidence. Il n'y a pas d'accent à son nom, le diplomate y tenait3, de même qu'à la prononciation « Leuger ». De son vivant, il a voulu faire croire que Saint-Leger Leger était son vrai nom et Leger seulement une abréviation. D’ailleurs, dans le volume de ses Œuvres complètes (« son » Pléiade), il répète cette fiction. Aux États-Unis, en Argentine et en France, il publie successivement Exil en 1942, Pluies et Poème à l'étrangère en 1943, Neiges en 1944. À la Libération, depuis les États-Unis, il publie Vents chez Gallimard en 1946, puis Amers en 1957.
La réflexion du jour
"… un poète en costume et nœud-pap …l’exil fut un thème de prédilection, qu’aurait-il écrit s’il était resté en France …????…!!! "
P.
XIX° siècle
· 31 Mai 1887 : Saint-John Perse, poète et diplomate français († 20 septembre 1975).
Alexis Leger, dit Saint-John Perse, né le 31 mai 1887 à Pointe-à-Pitre et mort le 20 septembre 1975 à Hyères, est un poète, écrivain et diplomate français. Alexis Leger a utilisé d'autres noms de plume comme Saint Leger Leger en trois mots ou Saintleger Leger en deux, ou St L. Leger, et enfin Saint-John Perse à partir d’Anabase en 1924, recueil qui fut lui-même signé un temps « St-J. Perse ». On trouve une multitude d'interprétations quant à ces pseudonymes, mais, de son aveu même, la nécessité d'un pseudonyme avait pour rôle de séparer sa mission diplomatique de sa fonction plus officieuse de poète. Concernant l'origine du pseudonyme définitif de Saint-John Perse, « il fut librement accueilli tel qu'il s'imposait mystérieusement à l'esprit du poète, pour des raisons inconnues de lui-même ». Quant au choix que l'on a pu lier avec une admiration avouée pour le poète latin Perse, il a toujours affirmé qu'il s'agissait d'une simple coïncidence. Il n'y a pas d'accent à son nom, le diplomate y tenait3, de même qu'à la prononciation « Leuger ». De son vivant, il a voulu faire croire que Saint-Leger Leger était son vrai nom et Leger seulement une abréviation. D’ailleurs, dans le volume de ses Œuvres complètes (« son » Pléiade), il répète cette fiction. Aux États-Unis, en Argentine et en France, il publie successivement Exil en 1942, Pluies et Poème à l'étrangère en 1943, Neiges en 1944. À la Libération, depuis les États-Unis, il publie Vents chez Gallimard en 1946, puis Amers en 1957.
La réflexion du jour
"… un poète en costume et nœud-pap …l’exil fut un thème de prédilection, qu’aurait-il écrit s’il était resté en France …????…!!! "
P.
lundi 30 mai 2016
Il prend des photos de ses amis après 1, 2 ou 3 verres d'alcool
Billet d'humeur journalistique :
"... comme on dit une image est plus parlante qu'un long discours, et cela se vérifie à nouveau...!!!"
Info Huffington Post
Il prend des photos de ses amis après 1, 2 ou 3 verres d'alcool
"Un verre ça va, trois verres bonjour les dégâts", disait une publicité du ministère de la Santé en 1984... Après avoir descendu quelques verres, il est vrai qu'on est souvent quelque peu désinhibé et plus toujours très présentable.
Afin de montrer cette évolution vers l'ivresse (veillez à toujours consommer avec modération), le photographe brésilien Marcos Alberti a lancé "Wine Project". Un projet artistique pour lequel il prend ses amis en photo lorsqu'ils arrivent chez lui, puis après un verre, puis deux puis trois.
"Ça a commencé comme une blague, comme un jeu", raconte le photographe, qui explique que "beaucoup de sourires et beaucoup d'histoires" ont émergé après les troisièmes verres.
"... comme on dit une image est plus parlante qu'un long discours, et cela se vérifie à nouveau...!!!"
Info Huffington Post
Il prend des photos de ses amis après 1, 2 ou 3 verres d'alcool
"Un verre ça va, trois verres bonjour les dégâts", disait une publicité du ministère de la Santé en 1984... Après avoir descendu quelques verres, il est vrai qu'on est souvent quelque peu désinhibé et plus toujours très présentable.
Afin de montrer cette évolution vers l'ivresse (veillez à toujours consommer avec modération), le photographe brésilien Marcos Alberti a lancé "Wine Project". Un projet artistique pour lequel il prend ses amis en photo lorsqu'ils arrivent chez lui, puis après un verre, puis deux puis trois.
"Ça a commencé comme une blague, comme un jeu", raconte le photographe, qui explique que "beaucoup de sourires et beaucoup d'histoires" ont émergé après les troisièmes verres.
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
- Marcos Alberti
30 Mai - Toute une époque
La naissance du jour :
XIX° siècle
Howard Hawks est un réalisateur, producteur, et scénariste américain né le 30 mai 1896 et mort le 26 décembre 1977. Il appartient à la période classique d'Hollywood.Réalisateur à la production riche et éclectique, il est l'auteur de plusieurs films d'importance tels Scarface, L'Impossible Monsieur Bébé, Seuls les anges ont des ailes, Le Grand Sommeil, Les hommes préfèrent les blondes et Rio Bravo. Cinéaste de la morale, ses personnages sont souvent caractérisés par une grande rigueur d'esprit et un fort sens du devoir. François Truffaut qualifiera son œuvre de « cinéma à hauteur d'homme » par sa mise en scène frontale et le refus de diminuer ses personnages. Son cinéma se caractérise aussi par la faiblesse, voire le ridicule des hommes, face à des femmes très déterminées. Jean Tulard observe que Rio Bravo est caractéristique de ce rapport de séduction où la femme est dominante au point de « laisser croire qu'elle est choisie ».
La réflexion du jour
"… un style de cinéma qui marque une époque, Rio Bravo avec John Wayne campe un shérif très professionnel, très sûr de lui et très droit dans ses bottes, prêt à assumer seul le poids de ses responsabilités, un cinéma qui influencé des générations de réalisateurs…!!! "
P.
XIX° siècle
· 30 Mai 1896 : Howard Hawks, réalisateur américain († 26 décembre 1977).
Howard Hawks est un réalisateur, producteur, et scénariste américain né le 30 mai 1896 et mort le 26 décembre 1977. Il appartient à la période classique d'Hollywood.Réalisateur à la production riche et éclectique, il est l'auteur de plusieurs films d'importance tels Scarface, L'Impossible Monsieur Bébé, Seuls les anges ont des ailes, Le Grand Sommeil, Les hommes préfèrent les blondes et Rio Bravo. Cinéaste de la morale, ses personnages sont souvent caractérisés par une grande rigueur d'esprit et un fort sens du devoir. François Truffaut qualifiera son œuvre de « cinéma à hauteur d'homme » par sa mise en scène frontale et le refus de diminuer ses personnages. Son cinéma se caractérise aussi par la faiblesse, voire le ridicule des hommes, face à des femmes très déterminées. Jean Tulard observe que Rio Bravo est caractéristique de ce rapport de séduction où la femme est dominante au point de « laisser croire qu'elle est choisie ».
La réflexion du jour
"… un style de cinéma qui marque une époque, Rio Bravo avec John Wayne campe un shérif très professionnel, très sûr de lui et très droit dans ses bottes, prêt à assumer seul le poids de ses responsabilités, un cinéma qui influencé des générations de réalisateurs…!!! "
P.
dimanche 29 mai 2016
Fête des mères
Info du jour :
"....fête des mères...."
Info Huffington
"....fête des mères...."
Info Huffington
LEÇONS DE VIE - Romain Gary dans La promesse de l’aube, Albert Cohen, avec le Livre de ma mère ou encore certains vers de Rimbaud, les écrivains parlent des mères mieux que personne. En plus, ils sont loin d’être dans l’erreur! Nous avons cherché à savoir si la recherche en psychologie donnait raison aux belles lignes de ces monuments de la littérature, la réponse est oui.
Pour la fête des mères, voici donc des citations que vous pouvez écrire sur vos cartes de vœux, elles sont vérifiées par la science!
1. L’amour d’une mère est bon pour la santé
“Et là, -c’est comme un nid sans plumes, sans chaleur
Où les petits ont froid, ne dorment pas, ont peur;
Un nid que doit avoir glacé la bise amère...
Votre cœur l’a compris: - ces enfants sont sans mère.”
- Arthur Rimbaud dans Les étrennes des orphelins
La leçon de vie: L’amour d’une mère pour son enfant a des vertus incroyables.
Ce qu’en dit la science: Dès les premiers jours après la naissance, une relation très forte se noue entre la mère et l’enfant. Notamment car une hormone un peu particulière, l’ocytocine -appelée aussi l’hormone de l’amour- est sécrétée lorsque la mère est en présence de son enfant. Selon une étude publiée en 2007 dans la revue Psychological Science, plus le taux de cette hormone est élevé, plus le lien entre la mère et le nourrisson est fort.
L’amour d’une mère pourrait même prévenir le développement de certaines maladies chez les enfants, dans certains contextes. Une étude publiée en 2011 dans la revue Psychological Science montre que dans les familles dont les parents ont un faible statut socio-économique, les enfants ayant eu une mère très attentionnée sont moins susceptibles de développer le syndrome métabolique, précurseur notamment du diabète et de maladies cardiovasculaires. S’occuper ainsi de son enfant très tôt pourrait même, selon une étude différente publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, permettre le développement plus important de l’hippocampe, structure du cerveau liée entre autres à l’apprentissage et à la mémoire.
De plus, selon une étude de l’Université de Reading au Royaume-Uni, les enfants qui n’avaient pas reçu assez d’attention dans leurs premières années de la part de leur mère, en particulier les garçons, auraient plus de chances que les autres d’avoir des problèmes de comportement dans le futur. Le psychiatre en charge de cette étude qui a été publiée en 2010 a étudié les résultats de plus de 69 études pour parvenir à ces conclusions.
2. Votre mère vous pardonne tout, faites comme elle
Les mamans, ça pardonne toujours; c’est venu au monde pour ça. - Alexandre Dumas
La leçon de vie: Faites comme votre maman, apprenez à pardonner, c’est bon pour votre santé.
Ce qu’en dit la science: On gagne beaucoup à pardonner. Frederic Luskin, directeur d’un projet sur le pardon pour l’université de Stanford et auteur du livre Forgive for Good a beaucoup travaillé sur le sujet. Ses recherches montrent que les bienfaits du pardon sont nombreux: moins de colère, de dépression, de stress, plus d’optimisme, d’espoir, de compassion.
Une étude publiée en 2009 dans la revue Psychology & Health montre quant à elle que le pardon peut avoir des effets bénéfiques sur la tension artérielle. Des patients souffrant de problèmes cardiaques et ayant suivi des “thérapies du pardon” ont vu leur tension diminuer.
3. Une mère trop possessive, ce n’est pas un cadeau
“Il n’est pas bon d’être tellement aimé, si jeune, si tôt. Ca vous donne de mauvaises habitudes. On croit que c’est arrivé. On croit que ça existe ailleurs, que ça peut se retrouver. On compte là-dessus. On regarde, on espère, on attend. Avec l’amour maternel, la vie vous fait à l’aube une promesse qu’elle ne tient jamais. On est obligé ensuite de manger froid jusqu’à la fin de ses jours. Après cela, chaque fois qu’une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont plus que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. Jamais plus, jamais plus, jamais plus. Des bras adorables se referment autour de votre cou et des lèvres très douces vous parlent d’amour, mais vous êtes au courant. Vous êtes passé à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous côtés, il n’y a plus de puits, il n’y a que des mirages. Vous avez fait, dès la première lueur de l’aube, une étude très serrée de l’amour et vous avez sur vous de la documentation. Partout où vous allez, vous portez en vous le poison des comparaisons et vous passez votre temps à attendre ce que vous avez déjà reçu. “ - Romain Gary dans La promesse de l’aube
La leçon de vie: une mère trop présente, possessive, empêche son fils d’avancer, de tomber amoureux. Difficile de trouver une femme à la mesure de cette mère omniprésente, prête à tous les sacrifices pour son fils.
Ce qu’en dit la science: Tout d’abord, arrêtons de croire qu’une mère plus présente est forcément une meilleure mère.Selon une étude publiée en 2015, ce n’est pas la quantité mais la qualité du temps passé avec l’enfant qui importe vraiment. Voilà qui devrait rassurer les mères qui se sentent coupables de ne pas passer assez de temps avec leur enfant.
Pour ce qui est de l’intensité de cette relation, l’affaire se complique. Pour s’épanouir, les garçons, parfois même plus que les filles, ont besoin d’avoir une relation proche avec leur mère. Le cas contraire, cela peut les pousser à des problèmes comportementaux et relationnels.
Cependant, il est vrai qu’il s’agit de trouver un juste milieu. Qu’elles soient ou non possessives, voir leur fils se caser n’est jamais simple pour les mères. Selon une étude de 2013, les mères s’inquiètent plus quand leur fils se marie que lorsque c’est au tour de leur fille de convoler en justes noces. Sylvia L. Mikucki-Enyart de l’Université du Wisconsin qui a dirigé cette étude a interrogé 89 belles-mères. Quand leurs fils se sont mariés, toutes ont expliqué avoir ressenti la peur d’être séparé et de le voir changer, comme le rapporte le Wall Street Journal.
La psychologue en charge de l’étude a aussi interrogé 133 belles-filles pour comprendre les inquiétudes qu’elles pouvaient éprouver à l’égard de leur belle-mère. Les principales angoisses concernaient la place de la mère de leur mari dans leur nouvelle vie, son indépendance financière, l’inquiétude aussi de l’imaginer les critiquant en leur absence.
4. Aimer sa mère, c’est vouloir retrouver son enfance
Pleurer sa mère, c’est pleurer son enfance. L’homme veut son enfance, veut la ravoir, et s’il aime davantage sa mère à mesure qu’il avance en âge, c’est parce que sa mère, c’est son enfance. J’ai été un enfant, je ne le suis plus et je n’en reviens pas. - Albert Cohen dans Le livre de ma mère
La leçon de vie: Pour retrouver votre enfance, il suffit de le vouloir! Vous pouvez commencer par des choses toutes simples que font les enfants au quotidien, comme être créatif ou tout simplement, s’amuser sans limite.
Ce qu’en dit la science: La créativité et l’imagination, ce dont les enfants sont les maîtres, sont bonnes pour la santé! Une étude de la revue Psychology of Music montre par exemple que des étudiants en piano sont moins stressés lorsqu’ils improvisent sur scène. La créativité permet aussi de mieux comprendre les autres, d’après une autre étude musicale, publiée dans la revue Annals of the New York Academy of Sciences Researchers.
De nombreuses études l’affirment: dans la vie, rien de tel qu’une bonne séance de rire pour être bien dans sa peau à long terme. En 2014, des chercheurs d’une université californienne ont par exemple démontré que les personnes qui rient ont une meilleure mémoire et sont moins stressées. D’autres études tendent vers les mêmes conclusions, comme celle de chercheurs de l’université de Maryland qui montre que le sens de l’humour peut protéger des maladies cardiaques.
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Billet d'humeur journalistique :
" ... qui aurait vu un hippocampe derrière une fougère ??? Helen ...!!!"
Info Daily Geek
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La nature est bien souvent la première source d’inspiration des artistes. C’est le cas pour Helen Ahpornsiri, dont les oeuvres représentent des animaux et insectes à travers des dessins réalisés à partir de fougères colorées. SooCurious vous présente son travail aussi original que plaisant.
L’artiste Helen Ahpornsiri, basée dans le comté britannique du Sussex de l’Est, explore les possibilités de la vie végétale dans cette série d’illustrations sur le thème de la faune.
A partir de fougères découpées et colorées, l’artiste représente, par des oeuvres de petite taille, des insectes, animaux et autres types de créatures. Et pour agrémenter ses réalisations, Helen utilise fréquemment des feuilles d’or, qui accentuent certains détails de son travail.
Les oeuvres d’Helen Ahpornsiri sont incroyables de beauté, de minutie et d’originalité et nous rappellent que notre environnement est, et restera, une inspiration artistique intarissable. Si le travail d’Helen vous intéresse, vous pouvez aussi consulter davantage de ses oeuvres sur son site, sur Instagram, ou via sa boutique en ligne. Egalement, si la combinaison de l’art et de la nature vous intéresse, découvrez les aquarelles d’Elicia, qui imagine un monde où l’Homme vit en parfaite harmonie avec son environnement.
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