"....une déculottée historique - jamais une équipe de France n'avait perdue avec autant de points (13-64 pour les AllBlacks) en Coupe du Monde de rugby....!!!!"
Info L équipe
Pas de miracle pour le XV de France, broyé par les All Blacks samedi soir à Cardiff, en quart de finale de la Coupe du monde (62-13). La Nouvelle-Zélande rejoint l'Afrique du Sud dans le dernier carré après cette démonstration. Pour les Bleus de Saint-André, c'est un fiasco total.
Le match: 62-13 pour les All Blacks
Pas de révolte et aucun espoir, samedi soir à Cardiff pour les Bleus. Le XV de France a sombré face aux All Blacks (62-13) et quitte donc la Coupe du monde en quart de finale, sur une fessée mémorable. Loin, très loin des exploits de 1999 et 2007, le groupe de Philippe Saint-André a étalé ses lacunes, criantes depuis quatre ans. Bataille des airs perdues en touche et sous les chandelles, approximations, ballons perdus, plaquages manqués (18/65 en première période !) et l’addition a augmenté petit à petit dans un Millennium comme assommé par le manque de suspense et finalement réveillé en seconde période par les chants... irlandais, comme un prélude au choc Irlande - Argentine de dimanche (14h00, HF).
On pourra se consoler avec cet essai de Picamoles après de beaux mouvements (13-24, 37e) ou des intentions (et encore) en début de seconde période, coupées net par le carton jaune du même Picamoles pour un coup de poing sur McCaw dans un ruck (47e). Mais cela paraît si dérisoire... A ce moment-là, les Blacks, dirigés par un Dan Carter impérial, menaient déjà 29-13, avec quatre essais inscrits en première période. Il y a eu de tout: un contre de Rettalick (3-10, 11e, voir plus bas), une passe après contact de Conrad Smith et un Dulin déposé par Milner-Skudder (6-17, 25e), un festival et une chistera de Carter pour Savea (13-24, 37e) et un show «à la Lomu» de ce dernier (13-29, 40, voir plus bas).
Difficile, pour ne pas dire impossible, de croire alors à un miracle. Sentiment largement confirmé en seconde période, où les All Blacks se sont promenés et leurs adversaires ont été humiliés. Kaino aplatissait en coin (13-34, 50e). Sur un ballon perdu par les Bleus, Carter décalait Savea (13-41, 61e). Read (13-48, 66e), Kerr-Barlow (13-55, 69e et 13-62, 71e) concluaient des actions déroulées, comme à l’entraînement, dans une fin de match qui tournait au fiasco total. Une déroute absolue, la plus large subie par Philippe Saint-André au bout d’un mandat catastrophique. L’heure des compte viendra mais c’est dans le néant que Guy Novès récupèrera cette équipe au prochain Tournoi. En attendant, la Coupe du monde continue. Le spectacle aussi. Il ne fallait pas compter sur ces Bleus-là pour rêver.
On pourra se consoler avec cet essai de Picamoles après de beaux mouvements (13-24, 37e) ou des intentions (et encore) en début de seconde période, coupées net par le carton jaune du même Picamoles pour un coup de poing sur McCaw dans un ruck (47e). Mais cela paraît si dérisoire... A ce moment-là, les Blacks, dirigés par un Dan Carter impérial, menaient déjà 29-13, avec quatre essais inscrits en première période. Il y a eu de tout: un contre de Rettalick (3-10, 11e, voir plus bas), une passe après contact de Conrad Smith et un Dulin déposé par Milner-Skudder (6-17, 25e), un festival et une chistera de Carter pour Savea (13-24, 37e) et un show «à la Lomu» de ce dernier (13-29, 40, voir plus bas).
Difficile, pour ne pas dire impossible, de croire alors à un miracle. Sentiment largement confirmé en seconde période, où les All Blacks se sont promenés et leurs adversaires ont été humiliés. Kaino aplatissait en coin (13-34, 50e). Sur un ballon perdu par les Bleus, Carter décalait Savea (13-41, 61e). Read (13-48, 66e), Kerr-Barlow (13-55, 69e et 13-62, 71e) concluaient des actions déroulées, comme à l’entraînement, dans une fin de match qui tournait au fiasco total. Une déroute absolue, la plus large subie par Philippe Saint-André au bout d’un mandat catastrophique. L’heure des compte viendra mais c’est dans le néant que Guy Novès récupèrera cette équipe au prochain Tournoi. En attendant, la Coupe du monde continue. Le spectacle aussi. Il ne fallait pas compter sur ces Bleus-là pour rêver.
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