Visiblement, c'est un crève-cœur pour lui. Le propriétaire de cette Triumph Daytona 675 aurait aimé garder l'amour de sa vie auprès de lui mais la vie en a voulu autrement. Comme il le dit si bien : "Je suis un homme brisé. Depuis que "VOICI" a publié cette photo avec ma maîtresse je ne vis plus, les avocats auront ma peau !!!". Toute similitude avec l'affaire Hollande-Gayet (voir notre dossier complet sur le sujet) est évidemment fortuite.
Triumph Daytona, mon amour
Et d'ajouter : "Je profite de cette tribune pour rompre définitivement notre relation pourtant si intense. Je veux me souvenir de ce dernier pique-nique pourtant gâché par un paparazzi avide de photos choc et insensible à deux destins brisés. Je veux me souvenir de mes amis qui m'ont tous tourné le dos, lassés de se faire pourrir par ma p'tite Dayto sur les belles routes du 04."
Qui plus est, il a une pensée pour la personne chargée de l'entretien de sa "maîtresse" : "Je présente aussi toutes mes condoléances à mon concessionnaire préféré qui va sûrement déposer le bilan vu que c'est lui qui avait la charge d'entretenir ma danseuse (j'ai toutes les factures et les jolis petits tampons sur le livret)." Bon, de là à en déduire qu'elle a coûté cher en réparations… Bref. Finalement, c'est donc sans surprise que le prix de vente, 5 500 euros, n'est pas négociable. Quand on aime, on ne compte pas, a-t-on l'habitude de dire.

P.