Clin d'oeil à Carnet d'émotion parfumée.

Clin d'oeil à Carnet d'émotions parfumées .... on respire à fond!



lundi 29 septembre 2014

On n’est peut-être pas ce qu’on mange mais notre humeur, si!

Billet d'humeur journalistique :

" ... allez bon hamburger !!!"






Info Atlantico
On n’est peut-être pas ce qu’on mange mais notre humeur, si!
Poisson, chocolat, pommes de terre... Certains aliments ont un effet très net sur notre humeur, positif ou négatif.
Atlantico : Comment expliquer que des aliments puissent chimiquement parlant jouer sur elle?
Jean-Michel Cohen : La raison est simple. Un aliment c'est à la fois des macronutriments comme les glucies, les lipides et des protéines, mais c'est aussi une source de nutriments qui ont des effets sur l'organisme. On peut y trouver un tas de substance qui peuvent avoir un impact au niveau chimique sur nos récepteurs, de l'adrénaline, de la nor-adrénaline, et qui vont pouvoir modifier nos comportements. Par exemple, personne ne sait que l'aubergine contient de la nicotine, personne ne sait qu'il y a de la mélatonine dans les cerises. Ce sont des substances chimiques que l'on retrouve à l'intérieur des aliments et qui ont des effets sur notre corps tout entier. On connaît pour certaines les effets, comme illustré plus haut avec la mélatonine, mais on sait qu'il y a des omega 3 dans le poisson, de la caféine dans le café, et chacune de ces substances a, à chaque fois le pouvoir soit d'agir sur l'organisme, soit de créer des réactions dans l'organisme pour faire secréter d'autres substances.
Mais il y a aussi un autre mécanisme, tout aussi puissant que le mécanisme chimique, c'est le pouvoir d'influence des aliments. Un aliment a une connotation, qui nous provient soit de notre héritage alimentaire familial, soit d'un héritage culturel global. Par exemple, on mangeait autrefois de la viande essentiellement pour être fort, parce qu'on savait qu'il y avait des protéines, et qu'on était persuadé qu'il en fallait pour guérir des maladies ; au Japon, on mange de la viande faisandée, alors qu'elle n'est pas dans nos premiers choix en France, et qu'on considèrera plutôt comme pourrie. 
Cette valeur symbolique déclenche également des récepteurs hormonaux dans notre cerveau qui conditionnent nos réactions. C'est à dire qu'il y a deux effets : l'un purement chimique, et un autre qui est la "vision" de l'aliment, qui peut entraîner des éléments de simulation cérébraux, qui entraîne des modifications dans notre corps.
Catherine Grangeard : La composition de ce que nous absorbons a des effets sur notre corps et le chimiste expliquera comment les molécules interagissent. La psychanalyste que je suis s’en tiendra à expliquer que « la perspective » peut mettre en joie tout autant que les molécules. Le pouvoir de la pensée est tel qu’il peut ouvrir ou couper l’appétit. Un même mets consommé avec telle personne se révèlera aussi délicieux qu’infect… La soupe à la grimace n’est pas fameuse, et ça n’a rien à voir avec ses ingrédients. C’est affaire de circonstances.
Un bol de riz n’a pas la même connotation en Chine ou ici. Le contexte culturel y est pour beaucoup ! De même, si vous avez faim, le même bol de riz, ici, deviendra délicieux… Sans mésestimer que si les diététiciens en vogue décrètent qu’il contient tout ce qu’il faut pour aller au mieux, vivre longtemps et en pleine santé, il gagnera en saveur à vos papilles…

Pourquoi le cerveau n'est-il pas autonome dans le fait de décider de notre état d'esprit ?
Jean-Michel Cohen : Parce que le cerveau, c'est deux choses : la conscience, et la chimie. La conscience est le fruit de l'élaboration d'une pensée. La chimie c'est que le cerveau c'est aussi l'endroit où se trouvent tous les récepteurs de notre sensibilité aux émotions, à la réaction, à la bonne et à la mauvaise humeur, et que donc de temps en temps la pensée ne suffit pas à contrôler les réactions hormonales. Si j'injecte de la testostérone à quelqu'un, je ne fais pas qu'en injecter dans son corps, elle va stimuler des zones de son cerveau qui vont le rendre agressif.
P.

dimanche 28 septembre 2014

Marta réalise des illustrations créatives à l’aide de taillures de crayons

Billet d'humeur journalistique :


" .... quel coup de crayon !!!"





























Info Daily Geek
Marta réalise des illustrations créatives à l’aide de taillures de crayons.

Si c’est souvent la mine du crayon qui sert à dessiner, les taillures de ce dernier peuvent
également s’avérer être un outil artistique original. Marta vous le prouve à travers une
collection d’illustrations originales et rigolotes où les personnages se mêlent aux
restes de crayons.

Marta Altés est une artiste espagnole résidant à Londres. La jeune fille, spécialisée dans les illustrations pour livres d’enfants, n’en est pas à ses premières créations. Ses précédents
travaux ont d’ailleurs déjà été récompensés maintes fois. Et ça se comprend !
Découvrez sans plus attendre les œuvres de la série Playing With Pencil Shavings.



toreador
papillon
danseuse-tutu
coupe-afro
fleur
lion
surfeur-vague
Mine de rien, les illustrations de Marta sont vraiment rigolotes ! Au bureau, on adore la façon
dont les taillures de crayons s’immiscent au milieu des dessins de la jeune artiste…
A moins que ce ne soit l’inverse :P !
 Ces créations originales vous ont-elles donné envie de recycler vos taillures de crayons ?

samedi 27 septembre 2014

Découvrez à quoi ressembleraient nos rues s’il ne restait que les façades des bâtiments

Billet d'humeur journalistique :

" ... l'idée est amusante, merci à photoshop !!!"









Info Daily Geek
Découvrez à quoi ressembleraient nos rues s’il ne restait que les façades des bâtiments.
Zacharie est un jeune photographe qui se passionne pour les façades d’immeubles.
Dans cette série de clichés, il imagine un monde où les devantures sont dissociées
du reste des bâtiments et se dressent seules dans la rue…
Découvrez ces clichés emplis de mystère !


Zacharie Gaudrillot-Roy  est un jeune photographe français qui aime déambuler
dans des villes inconnues, errer au fil des rues en essayant d’imaginer ce qui se
cache derrière les murs… une lueur derrière un volet entrouvert, un bruit à travers
une fenêtre, des rires et des larmes, anonymes, comme un numéro sur une porte.
Ce monde recèle de mystères.

Ainsi est née l’idée : et si l’on faisait en sorte que la vie quotidienne d’autrui ne devienne
qu’un détail, qu’un décor ? Cette série de clichés a pour objectif de tenter de représenter
un monde qui nous est inconnu et qui ne serait qu’une pâle image de la réalité, dénué de
l’espace privé qu’il est censé protéger… L’apparence pour seul refuge.



facade-balcon-cable
facade-bloc-immeuble-hlm
facade-brique-rouge
facade-campagne-stop-nuit
facade-carrefour-espace
facade-complexe-bureau-parking
facade-contre-plongee
facade-ferme-brique-rouge
facade-feu-rouge
facade-humide-insalubre
facade-immeuble-bloc-barriere
facade-lumière-crepuscule
facade-lyon-tour-crayon-tour-oxygene
facade-nuit-cable-eclaire
facade-panneau-detour
facade-porte-rouge
facade-poussette-maman-brique-rouge
facade-publicite-nuit-sotexine
facade-revetement-cedez-le-passage-bouche-incendie-nuit
facade-satellite-balcon
facade-soir-reverbere-voiture
facade-velo-panneau
facade-village-nuit-reverbere
facede-panneau-passage-pieton
immeuble-facade-reverbere
lyon-facade-cabine-telephonique
sommet-facade-avenue
voiture-facade-parking
cul-de-sac-voie-sans-issue-nuit-panneau-facade
L’idée d’Andrew est plutôt originale. Au bureau, certains ont adoré le concept, d’autres ont trouvé que cela faisait perdre leur charme aux rues. Que pensez-vous du travail de ce jeune artiste ?

vendredi 26 septembre 2014

Un doudou perdu au Québec puis retrouvé grâce à Facebook et Twitter

Billet d'humeur journalistique :

" ... so cute...."



























Info Huffington Post
Un doudou perdu au Québec puis retrouvé grâce à Facebook et Twitter
"On va voir si Facebook est magique!" Voici comment une jeune maman québécoise a demandé de l'aide aux utilisateurs du réseau social pour retrouver le doudou d'Éliane, sa petite fille .
Dimanche 10 août, Evelyne Mireault a partagé les photos ci-dessous sur son profil Facebook montrant la fillette, un écriteau à la main pour exposer la situation, ainsi que le doudou perdu, un petit mouton surnommé "Doudou", tout simplement

Cet appel à l'aide n'a pas tardé à être relayé par les proches de la jeune femme ainsi que par d'autres mamans (sur des pages Facebook sur ce sujet)... "On tente le coup avec Facebook, ça me surprendrait mais bon, on ne sait jamais..., doutait encore Evelyne Mireault. Et puis la magie a opéré avec le relais d'inconnus mais aussi de célébrités sur Facebook et Twitter.




Voir l'image sur Twitter


L'avis de recherche de Doudou a également connu un important écho en France ce week-end. Au total, plus de 189.000 utilisateurs de Facebook ont partagé le message. Et les internautes ayant participé à la mobilisation seront contents d'apprendre qu'Éliane a retrouvé son compagnon grâce à eux.
Evelyne Mireault a annoncé la bonne nouvelle sur son compte ce lundi 12 août.



"Cette femme a vu mon message pendant le festival (...) elle a décidé d'aller jeter un coup d'œil aux objets perdus et l'a retrouvé, a expliqué la jeune maman. Elle l'a rapporté chez elle, à Joliette, elle a pris cette photo avec Doudou et m'a écrit qu'elle l'avait en sa possession! Quelle histoire incroyable! Je n'en reviens pas!"

jeudi 25 septembre 2014

L'Homme de Néandertal mangeait aussi des plantes

Billet d'humeur journalistique :

" ... même un crâne parle !!!"





Info Voilà
L'Homme de Néandertal mangeait aussi des plantes
Les scientifiques s'en doutaient, ils en ont désormais la preuve directe.
Grâce à l'analyse de matières fécales qui dateraient de 50.000 ans (a priori l'échantillon le plus vieux jamais identifié à ce jour), des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology, aux Etats-Unis et de l'université de La Laguna, en Espagne, ont confirmé que l'Homme de Néandertal se nourrissait aussi de plantes.
Jusque-là, seules des preuves indirectes, basées sur l'analyse des dents ou des outils des Néandertaliens, avaient permis d'émettre l'hypothèse d'un régime alimentaire omnivore.
La découverte, dans l'échantillon analysé, de composés organiques émis lors de la digestion de plantes a permis de le confirmer. Néanmoins, il reste établi que l'Homme de Néandertal se nourrissait essentiellement de viande.

P.

mercredi 24 septembre 2014

Des scientifiques ont découvert que le génome des anémones de mer les rendait mi-animales, mi-végétales



Billet d'humeur journalistique :


" ... qu'elles soient animales ou végétales, qu'importe, elles sont tellement belles..."







Info Daily Geek
Des scientifiques ont découvert que le génome des anémones de mer les rendait mi-animales, mi-végétales


Alors que les anémones sont classées comme étant des animaux, des études génétiques
viennent de démontrer qu’elles sont en réalité moitié plante, moitié animal. DGS
vous en dit plus sur cette étonnante découverte qui révèle à quel point la vie sur
Terre fonctionne en parfaite harmonie.


Les anémones de mer sont les représentantes d’une lignée animale appelée cnidaires
 (c’est-à-dire des coraux, anémones de mer, méduses et hydres). Ulrich Technau,
 biologiste de l’évolution et du développement à l’université de Vienne, ainsi que
 ses équipes, sont parvenus à déterminer que les cnidaires utilisent un système
 ressemblant aux plantes pour contrôler des gènes d’origine animale dans
 deux études : Evolutionary conservation of the eumetazoan gene regulatory
 landscape et Cnidarian microRNAs frequently regulate targets by cleavage.

Afin de mener à bien leurs études, les chercheurs se sont principalement penchés
sur l’expression génétique, à savoir l’ensemble des processus biochimiques par lesquels
l’information héréditaire stockée dans un gène est lue pour aboutir à la fabrication
de molécules qui auront un rôle très actif dans le fonctionnement cellulaire, comme
les protéines ou encore les ARN (Acide ribonucléique). Celles-ci impliquent
deux grandes étapes : la transcription et la traduction. L’une est le processus
de fabrication d’une copie ARN, l’autre est le processus cette fois-ci de traduction
de la séquence d’une molécule d’ARN messager en une séquence d’acides animées
durant la synthèse des protéines.



anemone
A travers cette expérience, les chercheurs sont parvenus à déterminer que la régulation
de la transcription pour les anémones était pareille à celle des animaux. De plus, depuis
que les anémones de mer ont bifurqué dans l’arbre phylogénétique, les chercheurs
pensent que ces dernières ont conservé un mode similaire aux plantes à partir
d’un ancêtre commun.

Le côté animal dans l’expression des gènes a évolué il y a longtemps. Depuis, l’anémone
présente une architecture complexe d’éléments de régulation des gènes, similaire
à celle de la mouche des fruits ou à d’autres animaux.

anemone-poisson
poisson-anemone
anemone-rouge
Alors qu’aujourd’hui les anémones de mer se dirigent dans un autre embranchement,
l’ancêtre commun à possiblement perdu les processus génétiques des plantes ou bien
les a au contraire considérablement modifiés. Ainsi, Ulrich Technau pense que
l’ancêtre commun des anémones de mer (mais aussi des humains et des mouches)
était une créature ayant l’apparence d’une « poire ou en forme de ver », dotée d’un
système nerveux, d’une ouverture buccale et d’un intestin. L’espèce des cnidaires
sembleraient donc utiliser un système similaire aux plantes pour réguler des gènes
d’animaux, dont la majorité d’entre eux sont partagés entre l’anémone de mer et nous.

Cette étude est très intéressante. Nous étions loin d’imaginer que le génome de
l’anémone était similaire à celui des vertébrés et surtout celui des plantes !
La nature nous surprendra donc toujours… Pensez-vous qu’à l’avenir, nous
parviendrons à faire d’autres découvertes aussi intrigantes que celle-ci ?