" .... un peu de culture, quoi !!!!"
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Top 10 des lettres cochonnes d’écrivains, une belle allumeuse cette George Sand.
C'est samedi, c'est l'instant sesque. Vous pensiez que les écrivains passaient le plus clair de leur temps le nez dans leurs bouquins à faire des blagues de grammaire enfermés dans un placard ? Eh bien que nenni, l'écrivain aime la baise. Et il aime même tellement ça qu'il se sent obligé de le dire par écrit.
- James Joyce à Nora
Vous vous coucherez donc ce soir en sachant que James Joyce aimait se faire péter dessus par ses partenaires sexuelles. Une information de première importance exactement.
Source photo : pileface - George Sand à Alfred de Musset
Amusez-vous à lire une ligne sur deux. Sous ses airs de pimbêche, elle donnait pas sa part au lion la petite Georgette !
Source photo : blogspace - La réponse d'Alfred à Georginette
Là il faut lire le premier mot de chaque ligne. Beaucoup moins impressionnant que celle de Sand, mais assez pragmatique.
Source photo : aujardin - Anaïs Nin à Henry Miller
Elle avait faim la petite Anaïs. Et ce qui est sûr c'est qu'y'a pas que le thermomètre qui a dû exploser (oui vous avez bien compris le sous-entendu et il est très fin).
Source photo : deslettres - Guillaume Apollinaire à Lou
Une variante un poil plus poétique du célèbre "je suis tout dur de partout" de notre Greg le millionnaire national (cf l'émission du même nom).
Source photo : deslettres - Paul Eluard à Gala
En on applaudit Paul Eluard qui en fait ni trop (comme Joyce), ni trop peu, et qui signe là une lettre amoureuse/érotique que l'on peut considérer comme particulièrement réussie. Et un bon point pour Popol.
Source photo : deslettres - Gustave Flaubert (qui a chaud au cul) à Louise Colet
"Oui ma belle, tu m'as enveloppé de ton charme, tu m'as pénétré de ta substance. Oh ! si je t'ai pu paraître froid, si mes satires sont rudes et te blessent, je veux, quand je te reverrai, te couvrir d'amour, de voluptés, d'ivresse. Je veux te gorger de toutes les félicités de la chair, t'en rendre lasse, te faire mourir. Je veux que tu sois étonnée de moi et que tu t'avoues dans l'âme que tu n'avais même pas rêvé des transports pareils. C'est moi qui ai été heureux. Je veux que tu le sois à ton tour. Je veux que dans ta vieillesse tu te rappelles ces quelques heures-là et que tes os desséchés en frémissent de joie en y repensant. N'ayant pas encore reçu la lettre de Phidias (je l'attends avec impatience et dépit), je ne puis être chez toi dimanche soir. Et puis nous n'aurions pas la nuit. D'ailleurs tu auras du monde. Il faudrait que je sois habillé et conséquemment que j'emportasse du bagage. Or, je veux venir sans rien, sans paquets ni malles, pour être plus libre, sans rien qui me gêne".
- Wanda Dunajew à Leopold von Sacher-Masoch
Pour info, Leopold von Sacher-Masoch, à qui l'on doit la pièce de théâtre La Vénus à la fourrure, avait un penchant assez réel pour le masochisme. Ceci explique cela donc.
Source photo : deslettres - Charles Bukowski à Linda King
Bon, en même temps Bukowski on se doutait que ce n'était pas un enfant de chœur...
Source photo : dirtydurty - Paul Léautaud à Madame Cayssac
On ne connaît pas cette dame, mais elle avait clairement l'air d’apprécier la gaudriole. Et d'y être plutôt douée d'ailleurs.
Source photo : deslettres
Attention : la méthode James Joyce ne fonctionne pas avec toutes les femmes.
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