Billet d'humeur journalistique et parisienne :
" ... mais oui, on ne t'a pas oublié, et en plus il est devenu international ! "
Info Gentside
35 ans après sa naissance, le lapin du métro est dans toutes les mémoires.
Serge, le lapin rose du métro parisien, a été créé il y a de 35 ans. Un dessin qui possède une grande symbolique et une certaine proximité avec les usagers. Plus de trente ans de succès pour ce personnage qui a vu la création de sites internet, de vidéos et de pages Facebook à son effigie.
Cela fait plus de trente ans qu'un petit animal rose et jaune orne les portes des rames du métro parisien. Cet animal est autre que Serge. Si vous avez déjà pris le métro dans la capitale, il ne vous est sûrement pas passé inaperçu. Il se coince la main entre les deux portes qui se ferment et conseille les utilisateurs: "Attention! Ne mets pas tes mains sur la porte, tu risques de te faire pincer très fort".
Un lapin jaune conseille les enfants
Un message assez enfantin car créé pour les enfants. En effet, à la fin des années 1970, la RATP cherche un moyen d'avertir le jeune public du danger de se faire pincer les doigts à l'ouverture et à la fermeture des portes. C'est alors qu'en 1977, l'agence ECOM est désignée pour trouver un moyen de communiquer le danger, explique le site internet de Metro. La directrice de création propose différents logos. Dans cette liste, apparaît un lapin jaune avec une salopette rouge. Elle-même propriétaire d'un de ces mammifères rongeurs, la société de transports déclare que "Pour elle, le lapin avait une certaine fragilité, une certaine douceur... C'est un animal qui avait la même attitude que les enfants avec cette tendance à courir partout sans jamais faire attention. Quant aux couleurs et au message, il fallait trouver un moyen de le rendre très visible pour les enfants et de les interpeller facilement, d'où le tutoiement". C'est ainsi que le logo fait sa première apparition dans le métro parisien. Placé sur les vitres des portes des différentes rames à hauteur des yeux des enfants, le lapin n'a pas encore de nom.
Serge Maury, le père de Serge le lapin du métro
Pour des raisons indéterminées, ce lapin a connu de nombreuses modifications. La première a été réalisée en 1982, lorsqu'il s'est déployé sur l'ensemble des lignes du métropolitain: "C'est à cette occasion que le lapin a été redessiné par une personne travaillant aux ressources culturelles et patrimoniales de la RATP". Cependant, il ne reste aucune trace de ce second mammifère.
En 1986, la Régie Autonome des Transports Parisiens demande à l'agence NDB de modifier les traits de son lapin. C'est alors Serge Maury qui s'en charge. Le poil jaune devient rose et sa salopette rouge est substituée par un pantalon et un t-shirt jaunes. Même s'il a "été un peu retravaillé au fil des ans", on peut dire que, jusqu'à aujourd'hui, le lapin de Serge est resté le même! C'est pour cela qu'on le nomme "Serge, le lapin du métro".
Un lapin qui s'exporte
Ce lapin se voit exporté dans d'autres villes françaises (Lille, par exemple) et à l'étranger (Japon). Désormais traduit en quatre langues européennes (anglais, espagnol, allemand et italien), le message a un réel impact sur le comportement des enfants, souligne la RATP. Sa taille d'origine a, cependant, été diminuée car "Aujourd'hui le risque de se faire les doigts a diminué du fait de la configuration des nouvelles portes et de leur système d'ouverture et de fermeture... Avant, les portes coulissaient, maintenant, elles s'ouvrent vers l'extérieur... Toutefois, nous préférons que l'avertissement demeure... Mieux vaut prévenir que guérir!", explique la société de transports.
A savoir qu'au Pays du Soleil Levant, le lapin est blanc et ce n'est pas sa main gauche qui se coince dans les portes, mais son oreille gauche. A Tokyo, sur la ligne Keio, c'est le personnage Hello Kitty qui fait office d'avertissement. Dans le métro de la capitale nippone, existe aussi un chat blanc qui se coince la queue entre les portes.
Un lapin parodié
Et, comme toute chose qui a un succès, beaucoup ont détourné les messages et les affiches de Serge. Les "Brigades AntiPub" ont parodié l'affiche à des fins militantes: "Attention! Ne mets pas tes yeux sur les pubs: tu risques de te faire manipuler très fort". Le duo d'humoristes Eric et Ramzy l'ont aussi caricaturé dans un de leurs sketchs. Les "casse-cou" de Jackass ont aussi fait une vidéo assez hilarante sur Serge. L'épisode numéro quatre de la troisième saison a, en partie, été tourné à Paris. Dans l'un des sketchs, intitulé "Metro bunny" ("le lapin du métro"), Chris Pontius est déguisé en lapin et attend sur le quai qu'une rame arrive. Montant à l'intérieur, il se coince volontairement les doigts entre les portes et hurle, représentant le dessin de l'affiche d'avertissement.
P.
Billet d'humeur sur l'actualité, sur une date de l'histoire ou une pensée inspirée par nos grands écrivains, parfois des anecdotes sur le quinté, le golf bref des commentaires sur tout ce qui fait le sel de la vie ...
Clin d'oeil à Carnet d'émotion parfumée.
Clin d'oeil à Carnet d'émotions parfumées .... on respire à fond!
mercredi 29 février 2012
29 Févr - Journée
Dicton du jour :
« N’aie nulle peur de l’année bissextile, mais de celle d’avant et de celle d’après. »
« En l’année bissextile, garde du blé pour l’an qui suit. »
« L’année bissextile soyez fin, semez du chanvre au lieu du lin. »
Dicton retravaillé :
" Profitez en année bissextile
d'une belle journée utile "
P.
« N’aie nulle peur de l’année bissextile, mais de celle d’avant et de celle d’après. »
« En l’année bissextile, garde du blé pour l’an qui suit. »
« L’année bissextile soyez fin, semez du chanvre au lieu du lin. »
Dicton retravaillé :
" Profitez en année bissextile
d'une belle journée utile "
P.
mardi 28 février 2012
Votre chat peut vous rendre fou !
Billet d'humeur journalistique et animalier :
"..... quand je vous disais que les chiens s'étaient mieux !"
Info Atlantico
Votre chat peut vous rendre fou !
Les études d’un biologiste tchèque, Jaroslav Flegr, montreraient qu’un parasite de la toxoplasmose, qui peut se trouver dans les excréments de chat, pourrait avoir des effets beaucoup plus grave sur l’homme que ceux jusqu’ici soupçonnés. Perte de confiance en soi, comportement incontrôlable, si ce n’est schizophrénie, voire dédoublement de personnalité. Et il commence à être pris au sérieux.
Un biologiste tchèque âgé de 63 ans accuse un minuscule parasite présent dans les déjections de son chat d'avoir provoqué des troubles de son comportement, l’amenant, signale The Atlantic (mention involontairement supprimée par erreur lors de la relecture avant publication, nos excuses), notamment à avoir des pulsions autodestructrices, et à observer des changements dans sa personnalité depuis le début des années 1990
Jaroslav Flegr, professeur à l'université Charles de Prague, n'est pas un illuminé, c'est quelqu'un de sérieux, surtout quand il évoque toxoplasma gondii, un protozoaire qui est le microbe en question. Ne riez pas : si l'histoire peut paraître étrange, elle est bien connue et le parasite en question est surveillé chez les femmes enceintes, puisqu'en langage courant on parle de toxoplasmose, une maladie qui peut abîmer le cerveau de leur futur enfant. Dans des cas rares à priori, les enfants victimes de toxoplasmose qui naissent, excepté ce syndrome, en bonne santé, ne sont généralement victimes que de symptômes grippaux, puis parviennent à traiter le protozoaire qui reste endormi dans les cellules de leur cerveau. C’est là du moins l’analyse médicale communément répandue. Mais ce n’est pas celle de Flegr. Il soupçonne justement qu’un parasite, appartenant à la famille du protozoaire, soit responsable des troubles bien plus graves.
Selon lui, ce parasite pourrait distordre les connexions entre les neurones et modifier du coup la façon dont nous réagissons face à des situations d’effroi, note confiance envers les autres, notre façon de nous percevoir, et même la justesse de notre perception de certaines odeurs. Les analyses de Flegr montrent également qu’il estime que le toxoplasma gondii favorise les accidents de voiture. Et même à la schizophrénie. Si on additionne tous les symptômes que peut provoquer cet organisme, "la toxoplasmose pourrait même tuer autant de gens que la malaria, c’est-à-dire au moins un million de personnes par an", dit le biologiste.
Evidemment, les théories de Flegr ne rencontrent pas beaucoup d’écho dans la communauté scientifique. Déjà, dit-il, parce qu’il ne parle pas l’anglais, et ne se rend que peu souvent dans les conférences internationales pour y présenter ses travaux ; Surtout, parce que selon lui, "il y a une résistance psychologique forte à l’idée que le comportement humain puisse être influencé par un parasite à la noix".
Mais après des années d’ignorance, ses travaux commencent doucement à susciter l’intérêt de certains scientifiques. Certains spécialistes comme E. Fuller Torrey, directeur de l'institut Stanley Medical Research, dans le Maryland, expert en schizophrénie commencent à le prendre au sérieux. "J'admire Jaroslav pour cette recherche, dit-il. Ce n'est évidemment pas politiquement correct, dans le sens que peu de laboratoires de font ce type de recherche. Il l'a fait de son propre chef, avec très peu de soutien. Et je trouve cela tout à fait crédible".
Pour Robert Saporsky, célèbre professeur à Stanford, les études de Flegr “sont très bien menées et il n’y a pas de raison d’en douter”. D’autant que selon lui, d’autres parasites pourraient provoquer des effets inattendus : "mon avis est qu’il y a en beaucoup d’autres exemples de parasites portés par des mammifères, desquels nous n’avons jamais entendus parler". Ainsi par exemple de la rage, qui peut circuler du cerveau à la salive d’un animal comme le chien et infecter l’humain en cas de morsure.
Des recherches ont par ailleurs montré que des souris infectées par le toxoplasma gondii étaient beaucoup plus remuantes que celles non-infectées, en faisant d’autant plus des proies pour les chats qui sont attirés par ce qui bouge. Ces souris faisaient par ailleurs moins attention à leur prédateur… Sciences et Avenir faisait part en 2006 d’une expérience de Flegr dans laquelle des rats infectés adoptaient un comportement plus audacieux, voire suicidaire, face à leur principal ennemi, le chat. Selon le magazine, "pour le parasite, dont le cycle de reproduction passe par le félin, c’est tout bénéfice".
"Hôte accidentel"
Mais peu de recherches ont porté sur son effet sur les hommes, car l’être humain était considéré comme ayant un organisme qui n’est qu’un "hôte accidentel" de la toxoplasmose. Certes, à priori, nous ne faisons pas partie du cycle de vie du parasite, qui est censé être transmis jusqu’au chat, mais s’arrête dans l'organisme du félin. Or Flegr s’est dit que les mammifères entre la souris et l’homme avaient en commun la vaste majorité de leurs gênes. Et nous pourrions donc, selon le biologiste, être vulnérables aux manipulations de ce parasite.
Du coup, Flegr a mené des expériences sur des hommes et des femmes qui portaient le virus, développé ou non. Il leur a fait faire des tests de personnalité. Les résultats sont assez inquiétants : comparé aux hommes non infectés, ceux qui portaient le parasité étaient plus introvertis, plus suspicieux, prêtaient moins attention aux autres. Les femmes présentaient les symptômes inverses :plus confiantes, plus apprêtées, prenant davantage garde à leur image, que celles qui n’étaient pas infectées.
Flegr et son équipe sont en tout cas parvenus à montrer, avec un certain écho, que la toxoplasmose pouvait influencer le sexe du bébé à naître. Ainsi, "chez les 454 femmes qui possédaient des anticorps dirigés contre le parasite de la toxoplasmose, le ratio entre les sexes était de 150 naissances de garçons pour 100 naissances de filles, alors qu’en moyenne il est de 104 garçons pour 100 filles. Plus le taux d’anticorps était élevé, plus le ratio était déséquilibré en faveur des garçons (jusqu’à un rapport de 260 garçons pour 100 filles)", écrit encore Science et Avenir en 2006.
Concernant la schizophrénie, qui reste le syndrome potentiel le plus inquiétant, une étude de Flegr publiée dans Schizophrenia Bulletin par Oxford University Press en 2007, parle par ailleurs d'une éventuelle influence de ce parasite sur la dopamine et la testostérone. Attention nénamoins pour ceux qui veulent approfondir les théories de Flegr : c’est peut-être là un risque de ne plus jamais regarder son chat comme avant….
P.
"..... quand je vous disais que les chiens s'étaient mieux !"
Info Atlantico
Votre chat peut vous rendre fou !
Les études d’un biologiste tchèque, Jaroslav Flegr, montreraient qu’un parasite de la toxoplasmose, qui peut se trouver dans les excréments de chat, pourrait avoir des effets beaucoup plus grave sur l’homme que ceux jusqu’ici soupçonnés. Perte de confiance en soi, comportement incontrôlable, si ce n’est schizophrénie, voire dédoublement de personnalité. Et il commence à être pris au sérieux.
Un biologiste tchèque âgé de 63 ans accuse un minuscule parasite présent dans les déjections de son chat d'avoir provoqué des troubles de son comportement, l’amenant, signale The Atlantic (mention involontairement supprimée par erreur lors de la relecture avant publication, nos excuses), notamment à avoir des pulsions autodestructrices, et à observer des changements dans sa personnalité depuis le début des années 1990
Jaroslav Flegr, professeur à l'université Charles de Prague, n'est pas un illuminé, c'est quelqu'un de sérieux, surtout quand il évoque toxoplasma gondii, un protozoaire qui est le microbe en question. Ne riez pas : si l'histoire peut paraître étrange, elle est bien connue et le parasite en question est surveillé chez les femmes enceintes, puisqu'en langage courant on parle de toxoplasmose, une maladie qui peut abîmer le cerveau de leur futur enfant. Dans des cas rares à priori, les enfants victimes de toxoplasmose qui naissent, excepté ce syndrome, en bonne santé, ne sont généralement victimes que de symptômes grippaux, puis parviennent à traiter le protozoaire qui reste endormi dans les cellules de leur cerveau. C’est là du moins l’analyse médicale communément répandue. Mais ce n’est pas celle de Flegr. Il soupçonne justement qu’un parasite, appartenant à la famille du protozoaire, soit responsable des troubles bien plus graves.
Selon lui, ce parasite pourrait distordre les connexions entre les neurones et modifier du coup la façon dont nous réagissons face à des situations d’effroi, note confiance envers les autres, notre façon de nous percevoir, et même la justesse de notre perception de certaines odeurs. Les analyses de Flegr montrent également qu’il estime que le toxoplasma gondii favorise les accidents de voiture. Et même à la schizophrénie. Si on additionne tous les symptômes que peut provoquer cet organisme, "la toxoplasmose pourrait même tuer autant de gens que la malaria, c’est-à-dire au moins un million de personnes par an", dit le biologiste.
Evidemment, les théories de Flegr ne rencontrent pas beaucoup d’écho dans la communauté scientifique. Déjà, dit-il, parce qu’il ne parle pas l’anglais, et ne se rend que peu souvent dans les conférences internationales pour y présenter ses travaux ; Surtout, parce que selon lui, "il y a une résistance psychologique forte à l’idée que le comportement humain puisse être influencé par un parasite à la noix".
Mais après des années d’ignorance, ses travaux commencent doucement à susciter l’intérêt de certains scientifiques. Certains spécialistes comme E. Fuller Torrey, directeur de l'institut Stanley Medical Research, dans le Maryland, expert en schizophrénie commencent à le prendre au sérieux. "J'admire Jaroslav pour cette recherche, dit-il. Ce n'est évidemment pas politiquement correct, dans le sens que peu de laboratoires de font ce type de recherche. Il l'a fait de son propre chef, avec très peu de soutien. Et je trouve cela tout à fait crédible".
Pour Robert Saporsky, célèbre professeur à Stanford, les études de Flegr “sont très bien menées et il n’y a pas de raison d’en douter”. D’autant que selon lui, d’autres parasites pourraient provoquer des effets inattendus : "mon avis est qu’il y a en beaucoup d’autres exemples de parasites portés par des mammifères, desquels nous n’avons jamais entendus parler". Ainsi par exemple de la rage, qui peut circuler du cerveau à la salive d’un animal comme le chien et infecter l’humain en cas de morsure.
Des recherches ont par ailleurs montré que des souris infectées par le toxoplasma gondii étaient beaucoup plus remuantes que celles non-infectées, en faisant d’autant plus des proies pour les chats qui sont attirés par ce qui bouge. Ces souris faisaient par ailleurs moins attention à leur prédateur… Sciences et Avenir faisait part en 2006 d’une expérience de Flegr dans laquelle des rats infectés adoptaient un comportement plus audacieux, voire suicidaire, face à leur principal ennemi, le chat. Selon le magazine, "pour le parasite, dont le cycle de reproduction passe par le félin, c’est tout bénéfice".
"Hôte accidentel"
Mais peu de recherches ont porté sur son effet sur les hommes, car l’être humain était considéré comme ayant un organisme qui n’est qu’un "hôte accidentel" de la toxoplasmose. Certes, à priori, nous ne faisons pas partie du cycle de vie du parasite, qui est censé être transmis jusqu’au chat, mais s’arrête dans l'organisme du félin. Or Flegr s’est dit que les mammifères entre la souris et l’homme avaient en commun la vaste majorité de leurs gênes. Et nous pourrions donc, selon le biologiste, être vulnérables aux manipulations de ce parasite.
Du coup, Flegr a mené des expériences sur des hommes et des femmes qui portaient le virus, développé ou non. Il leur a fait faire des tests de personnalité. Les résultats sont assez inquiétants : comparé aux hommes non infectés, ceux qui portaient le parasité étaient plus introvertis, plus suspicieux, prêtaient moins attention aux autres. Les femmes présentaient les symptômes inverses :plus confiantes, plus apprêtées, prenant davantage garde à leur image, que celles qui n’étaient pas infectées.
Flegr et son équipe sont en tout cas parvenus à montrer, avec un certain écho, que la toxoplasmose pouvait influencer le sexe du bébé à naître. Ainsi, "chez les 454 femmes qui possédaient des anticorps dirigés contre le parasite de la toxoplasmose, le ratio entre les sexes était de 150 naissances de garçons pour 100 naissances de filles, alors qu’en moyenne il est de 104 garçons pour 100 filles. Plus le taux d’anticorps était élevé, plus le ratio était déséquilibré en faveur des garçons (jusqu’à un rapport de 260 garçons pour 100 filles)", écrit encore Science et Avenir en 2006.
Concernant la schizophrénie, qui reste le syndrome potentiel le plus inquiétant, une étude de Flegr publiée dans Schizophrenia Bulletin par Oxford University Press en 2007, parle par ailleurs d'une éventuelle influence de ce parasite sur la dopamine et la testostérone. Attention nénamoins pour ceux qui veulent approfondir les théories de Flegr : c’est peut-être là un risque de ne plus jamais regarder son chat comme avant….
P.
28 Févr - Vigneron
Dicton du jour :
« Ciel clair à la saint Romain, c'est beaucoup de bien et de bon vin »
« Beau ciel à la saint Romain, il y aura des denrées et du bon vin. »
« Si tu tailles ta vigne au 28 février, tu auras du raisin plein ton panier. »
Dicton réhaussé :
" Beau temps à la Saint Romain,
ce sont des lendemains
pour les vignerons haut la main ! "
P.
« Ciel clair à la saint Romain, c'est beaucoup de bien et de bon vin »
« Beau ciel à la saint Romain, il y aura des denrées et du bon vin. »
« Si tu tailles ta vigne au 28 février, tu auras du raisin plein ton panier. »
Dicton réhaussé :
" Beau temps à la Saint Romain,
ce sont des lendemains
pour les vignerons haut la main ! "
P.
lundi 27 février 2012
"Starbikes", le Starbucks du pauvre en Indonésie
Billet d'humeur journalistique :
"... comme quoi il faut toujours avoir des idées !"
Info Voilà
"Starbikes", le Starbucks du pauvre en Indonésie
"Les riches vont chez Starbucks. Nous les pauvres, on appelle les Starbikes". Dans les rues de Djakarta, une armée de vendeurs à vélo ("bikes" en anglais) offrent cafés et capuccino à des prix imbattables: un petit commerce qui leur permet de s'extraire de la pauvreté.
Sambang, 28 ans, a quitté il y a un an sa campagne où il subsistait avec un maigre salaire de fermier pour "monter" à Djakarta, espérant trouver une meilleure vie dans l'immense mégapole de plus de 20 millions d'habitants.
La capitale indonésienne n'a pas déçu ses attentes. Pour 150 dollars (qu'il a dû emprunter), il est devenu l'heureux propriétaire d'un "Starbike": un vélo équipé d'un porte-bagages où brinquebalent d'immenses thermos à chaque passage sur les nombreux nids de poule de la métropole.
Pour trente dollars par mois, un "agent" lui fournit l'eau bouillante, les verres en plastique transparent et les sachets de café instantanés qui pendent en guirlande le long du guidon: l'habituel "Kapal Kopi" (café noir) bien sûr, mais aussi les très tendance capuccino et latte.
"3.000 roupies le verre" (25 centimes d'euro), lance Sambang, qui, comme beaucoup d'Indonésiens, n'utilise qu'un seul nom. 3.000 roupies, c'est le dixième de ce que coûte un café dans les Starbucks ou Coffee Bean des centres commerciaux au marbre rutilant du centre de Djakarta.
Mais plus de la moitié des 240 millions d'Indonésiens vivent avec moins de deux dollars par jour: c'est cette clientèle-là que vise Sambang.
"Les riches vont chez Starbucks. Nous les pauvres, on appelle les Starbikes", dit dans un rire Junarsah, un chauffeur de taxi de 44 ans descendu de sa Mercedes noire pour héler un vendeur de café.
"Pas Cher, rapide et bon. Je suis content", ajoute-t-il, un gobelet de café brûlant en main et une cigarette dans l'autre.
"Bien sûr que j'aimerais bien me payer un bon café dans un centre commercial, servi dans une de ces tasses chic, mais le prix d'un seul café là-bas suffit à me nourrir pendant une semaine!", explique Haryono, conducteur d'"ojek" (moto-taxi).
Ils sont ainsi des centaines à avoir recours aux Starbikes. Pour le plus grand plaisir de Sambang. A raison de 200 à 300 clients par jour, Sambang gagne une centaine de dollars par mois (76 euros): ce n'est pas bien lourd, comme le prouvent son tee-shirt délavé et ses sandales élimées, mais c'est un salaire très raisonnable dans le pays. Et cela lui permettra de rembourser en six mois le prêt contracté pour acheter son vélo.
Pour le paysan débarqué de son "kampung" (village), c'est déjà une immense gloire.
Mais avec des centaines de "Starbikes" tentant de se faufiler dans les bouchons légendaires de Djakarta, la concurrence est rude et l'ancien fermier, devenu "businessman", est prêt à tout faire pour défendre son gagne-pain.
"Je donne à mes clients fidèles mon numéro de téléphone portable, pour qu'ils puissent passer commande. Je livre aussi gratuitement dans les bureaux. Tout est bon pour avoir plus de clients".
P.
"... comme quoi il faut toujours avoir des idées !"
Info Voilà
"Starbikes", le Starbucks du pauvre en Indonésie
"Les riches vont chez Starbucks. Nous les pauvres, on appelle les Starbikes". Dans les rues de Djakarta, une armée de vendeurs à vélo ("bikes" en anglais) offrent cafés et capuccino à des prix imbattables: un petit commerce qui leur permet de s'extraire de la pauvreté.
Sambang, 28 ans, a quitté il y a un an sa campagne où il subsistait avec un maigre salaire de fermier pour "monter" à Djakarta, espérant trouver une meilleure vie dans l'immense mégapole de plus de 20 millions d'habitants.
La capitale indonésienne n'a pas déçu ses attentes. Pour 150 dollars (qu'il a dû emprunter), il est devenu l'heureux propriétaire d'un "Starbike": un vélo équipé d'un porte-bagages où brinquebalent d'immenses thermos à chaque passage sur les nombreux nids de poule de la métropole.
Pour trente dollars par mois, un "agent" lui fournit l'eau bouillante, les verres en plastique transparent et les sachets de café instantanés qui pendent en guirlande le long du guidon: l'habituel "Kapal Kopi" (café noir) bien sûr, mais aussi les très tendance capuccino et latte.
"3.000 roupies le verre" (25 centimes d'euro), lance Sambang, qui, comme beaucoup d'Indonésiens, n'utilise qu'un seul nom. 3.000 roupies, c'est le dixième de ce que coûte un café dans les Starbucks ou Coffee Bean des centres commerciaux au marbre rutilant du centre de Djakarta.
Mais plus de la moitié des 240 millions d'Indonésiens vivent avec moins de deux dollars par jour: c'est cette clientèle-là que vise Sambang.
"Les riches vont chez Starbucks. Nous les pauvres, on appelle les Starbikes", dit dans un rire Junarsah, un chauffeur de taxi de 44 ans descendu de sa Mercedes noire pour héler un vendeur de café.
"Pas Cher, rapide et bon. Je suis content", ajoute-t-il, un gobelet de café brûlant en main et une cigarette dans l'autre.
"Bien sûr que j'aimerais bien me payer un bon café dans un centre commercial, servi dans une de ces tasses chic, mais le prix d'un seul café là-bas suffit à me nourrir pendant une semaine!", explique Haryono, conducteur d'"ojek" (moto-taxi).
Ils sont ainsi des centaines à avoir recours aux Starbikes. Pour le plus grand plaisir de Sambang. A raison de 200 à 300 clients par jour, Sambang gagne une centaine de dollars par mois (76 euros): ce n'est pas bien lourd, comme le prouvent son tee-shirt délavé et ses sandales élimées, mais c'est un salaire très raisonnable dans le pays. Et cela lui permettra de rembourser en six mois le prêt contracté pour acheter son vélo.
Pour le paysan débarqué de son "kampung" (village), c'est déjà une immense gloire.
Mais avec des centaines de "Starbikes" tentant de se faufiler dans les bouchons légendaires de Djakarta, la concurrence est rude et l'ancien fermier, devenu "businessman", est prêt à tout faire pour défendre son gagne-pain.
"Je donne à mes clients fidèles mon numéro de téléphone portable, pour qu'ils puissent passer commande. Je livre aussi gratuitement dans les bureaux. Tout est bon pour avoir plus de clients".
P.
27 Févr - Marine
Dicton du jour :
« Gelée du jour sainte Honorine, rend toute la vallée chagrine. »
Dicton ré-engagé :
" Gel à la Sainte Honorine,
Provoque une agriculture chagrine,
Va t'engager dans la marine ! "
P.
« Gelée du jour sainte Honorine, rend toute la vallée chagrine. »
Dicton ré-engagé :
" Gel à la Sainte Honorine,
Provoque une agriculture chagrine,
Va t'engager dans la marine ! "
P.
dimanche 26 février 2012
Les conspirateurs du tabac A LIRE
A LIRE ABSOLUMENT
JE SOUHAITE SIMPLEMENT DIFFUSER LE PLUS POSSIBLE CET ARTICLE DU MONDE :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/02/25/les-conspirateurs-du-tabac_1647738_3224.html
QUE JE REPRODUIS ICI
Stanford (Etats-Unis), envoyé spécial - Si vous souhaitez rester convaincu que l'on fume parce que c'est agréable et que c'est ainsi, tournez la page. Vous avez tout à perdre à lire ce qui suit. Mais peut-être avez-vous envie de savoir pourquoi les gens fument et pourquoi il leur est aussi difficile de s'arrêter. De savoir pourquoi autant d'entre eux devraient en mourir. Et de comprendre pourquoi tout cela nous semble aussi normal. Pour cela, il faut entrer dans la salle des machines de la plus vaste entreprise d'ingénierie du consentement jamais menée à bien. C'est un endroit compliqué. C'est un enchevêtrement d'hommes et d'institutions devenus les rouages d'une subtile mécanique, capable d'infiltrer la culture et la science, de subvertir la médecine et de corrompre en masse. Et, pour vous guider dans ce dédale, Robert Proctor est la personne qu'il vous faut.
Robert Proctor, 57 ans, n'est ni un conspirationniste ni un hygiéniste acharné. Historien des sciences, professeur à la prestigieuse université Stanford (Californie), il est l'auteur de Golden Holocaust, un livre qui paraît ces jours-ci aux Etats-Unis et qui inquiète sérieusement l'industrie américaine du tabac. Au point qu'elle a eu recours à toutes les voies légales pour tenter de mettre la main sur le manuscrit avant sa publication. Sans succès.
Qu'y a-t-il dans ce pavé de 750 pages qui trouble tant des géants comme RJ Reynolds ou Philip Morris ? Il y a leurs propres mots. Leurs petits et grands secrets, puisés dans les mémos et les messages internes, dans les rapports confidentiels, dans les comptes rendus de recherche de leurs propres chimistes, de leurs propres médecins. Le fait est peu connu en France : cette précieuse et explosive documentation – les "tobacco documents" – est publique depuis la fin des années 1990. En 1998, le Master Settlement Agreement, qui clôt les poursuites engagées par 46 Etats américains contre les cigarettiers, ne comprend pas qu'un volet financier (le versement de 250 milliards de dollars – 188 milliards d'euros – échelonnés sur deux décennies), il ordonne aussi la mise dans le domaine public des secrets de l'industrie.
INFILTRATION
Des millions de documents, recouvrant plus de cinq décennies, ont ainsi été exfiltrés des quartiers généraux des grands cigarettiers et confiés à l'université de Californie à San Francisco, chargée de bâtir la Legacy Tobacco Documents Library, et de mettre sur le Net ce fabuleux corpus. Treize millions de documents, soit plus de 79 millions de pages, sont déjà numérisés. De nouveaux sont ajoutés chaque jour ou presque. C'est au prisme de ces archives que Golden Holocaust tente de raconter une histoire globale de la cigarette. Robert Proctor épluche les "tobacco documents" depuis plus de dix ans. De quoi devenir paranoïaque. Entre mille autres choses, il y a découvert que le professeur qui l'a recruté à Stanford, voilà de nombreuses années, avait secrètement émargé chez les géants du tabac. Il y a aussi compris pourquoi une de ses demandes de financement avait été refusée par la National Science Foundation (principale agence fédérale de financement de la recherche américaine) : celui qui examinait les dossiers touchait de l'argent du tabac...
Tous ceux qui ont passé du temps sur les "tobacco documents" sont peu ou prou arrivés aux mêmes conclusions. Les experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en ont tiré un rapport explosif de 260 pages, publié en juillet 2000, montrant comment les cigarettiers avaient infiltré leur organisation grâce à des associations écrans ou à des scientifiques secrètement payés par eux. Le tout, bien sûr, pour entraver la mise en oeuvre de politiques de contrôle du tabac. Et lors des poursuites engagées en 1999 par l'administration Clinton, en partie fondées sur les "documents", les procureurs fédéraux ont plaidé que les manufacturiers américains du tabac ont "préparé et exécuté – et continuent à préparer et exécuter – un vaste complot depuis un demi-siècle pour tromper le public".
5,5 MILLIONS DE MORTS PAR AN
La cigarette, ce sont d'abord des chiffres. Des chiffres colossaux. Chaque année, la cigarette tue plus que le paludisme, plus que le sida, plus que la guerre, plus que le terrorisme. Et plus que la somme des quatre. Plus de cinq millions et demi de vies emportées prématurément chaque année. Cent millions de morts au XXe siècle ; sans doute un milliard pour le siècle en cours.
Réfléchir au tabac donne le vertige et la nausée. Chaque année, il se produit suffisamment de cigarettes pour emplir 24 pyramides de Khéops. Leur combustion déposera quelque 60 000 tonnes de goudron au fond de poumons humains. On peut aussi aborder la question en se demandant ce que l'homme a inventé de plus inutilement dangereux pour lui-même : rien. "La cigarette, résume Robert Proctor, est l'invention la plus meurtrière de l'histoire de l'humanité."
Il y a d'autres chiffres, d'autres calculs. "A chaque million de cigarettes fumées au cours d'une année, il y aura un mort prématuré dans les vingt-cinq ans qui suivent. C'est une loi qui est valable à peu près partout ", constate Robert Proctor. Cette macabre règle de trois a des applications inattendues. Comme celle de savoir combien de morts ont causé les mensonges des hauts cadres de "Big Tobacco".
"MAINTENIR LA CONTROVERSE VIVANTE"
Le 14 décembre 1953, les grands patrons du tabac se retrouvent discrètement à l'hôtel Plaza de New York. Quelques mois auparavant, des expériences menées sur des souris ont montré que le produit qu'ils vendent est cancérigène – ce que les médecins allemands savaient depuis les années 1920 –, et des journaux commencent à évoquer cette possibilité. Au terme de réunions avec le patron de Hill & Knowlton, conseiller en relations publiques, les géants du tabac se lancent dans une entreprise de propagande et d'instrumentalisation du doute scientifique qui retardera la prise de conscience des ravages de la cigarette. Il faut "maintenir la controverse vivante". Un cadre de Brown & Williamson l'écrit dans un célèbre mémo, découvert dans les "tobacco documents " : "Le doute est ce que nous produisons." Avec succès. Ce n'est qu'en 1964 que les autorités sanitaires américaines commenceront à communiquer clairement sur le lien entre tabac et cancer du poumon.
Dix ans de retard. "Si on décale les courbes de la consommation du tabac, c'est-à-dire si on place en 1954 le début de fléchissement constaté à partir de 1964, on voit que 8 000 milliards de cigarettes "en trop" ont été consommées aux Etats-Unis. Elles n'auraient pas été fumées si le public avait su la vérité dix ans plus tôt, explique Robert Proctor. Cela représente environ huit millions de morts dans les décennies suivantes." Les mensonges d'une demi-douzaine de capitaines d'industrie provoquant la mort de plusieurs millions de personnes ? Une fiction qui mettrait en scène une conspiration de cette ampleur serait taxée d'irréalisme ou de loufoquerie...
Tout ne commence pas en décembre 1953. D'autres manoeuvres sont plus anciennes. Le plan Marshall, par exemple. Le grand programme d'aide à la reconstruction de l'Europe dévastée par la seconde guerre mondiale a également été "mis à profit par les cigarettiers américains pour rendre les populations européennes accros au tabac blond flue-cured, facilement inhalable". Tout est là. Le flue-curing est une technique de séchage des feuilles de tabac qui se répand largement aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle, et qui permet de rendre la fumée moins irritante, donc plus profondément inhalable. Or jusque dans la première moitié du XXe siècle, on fume encore, dans une bonne part de l'Europe continentale, du tabac brun, très âcre, beaucoup moins dangereux et addictif. Car plus la fumée peut pénétrer profondément dans les poumons, plus l'afflux de nicotine dans l'organisme est rapide, plus l'addiction qui se développe est forte. Et plus les dégâts occasionnés sur les tissus pulmonaires sont importants. "Au cours de la réunion de Paris (le 12 juillet 1947) qui a mis en mouvement le plan Marshall, il n'y avait aucune demande des Européens spécifique au tabac, raconte Robert Proctor. Cela a été proposé et mis en avant par un sénateur de Virginie. Au total, pour deux dollars de nourriture, un dollar de tabac a été acheminé en Europe."
"RENDRE LES FUMEURS LE PLUS ACCRO POSSIBLE"
Le succès de la cigarette repose toujours, aujourd'hui, sur le talent des chimistes de "Big Tobacco" pour rendre la fumée plus douce, plus volatile, plus pénétrante. Les fumeurs, qui connaissent cette sensation de piquante fraîcheur aux poumons, tiennent pour naturel et normal de fumer ainsi. "Avaler" la fumée, dit-on. C'est au contraire le résultat d'une chimie pointue et compliquée. Plusieurs centaines de composés - accélérateurs de combustion, ammoniac, adjuvants divers, sucres, etc. - sont ajoutés au tabac. Ils rendent la fumée moins irritante, plus inhalable. "On peut dire que la cigarette est véritablement un produit défectueux en ce sens qu'il est beaucoup plus nocif qu'il ne devrait "normalement" l'être... Il est modifié pour rendre les fumeurs le plus accro possible et cela le rend plus dangereux", explique Robert Proctor.
Parfois, ce qu'on retrouve dans les cigarettes n'a pas été ajouté par les chimistes de l'industrie, mais par les caprices de la nature. Ainsi du polonium 210. Pour des raisons non encore éclaircies, la feuille de tabac a une détestable propriété : elle fixe et concentre cet élément radioactif naturellement présent dans l'environnement à des teneurs infimes. Les "tobacco documents" montrent que, dès les années 1950, l'industrie a découvert cette vérité qui dérange. Elle ne divulguera rien. Les premières publications indépendantes sur le sujet n'interviendront qu'au milieu des années 1960...
Golden Holocaust raconte par le menu comment les cadres de l'industrie ont réagi à ce "petit souci" de qualité du produit fini. Et le luxe de détails prodigués par les "tobacco documents" fait basculer dans un univers sidérant. Dans un premier temps, les cigarettiers cherchent à se débarrasser de cet élément radioactif. Ils font mener des travaux qu'ils gardent secrets. Car les publier pourrait "réveiller un géant endormi" ("waking a sleeping giant", dans le texte), écrit un cadre de Philip Morris à son patron, en 1978, ajoutant : "Le sujet va faire du bruit et je doute qu'il faille fournir des faits."
Plusieurs solutions sont découvertes. Changer d'engrais ? Traiter les feuilles de tabac à l'aide d'un bain d'acide ? Sélectionner les feuilles les moins chargées en polonium ? Aucune de ces solutions ne sera, semble-t-il, retenue. Car résoudre ce problème ne procure pas d'"avantage commercial ", selon l'expression d'un haut cadre de RJ Reynolds, consignée dans les documents. Le passage des feuilles de tabac par un bain acide, par exemple, contraindrait à une "gestion spécifique" d'effluents radioactifs. Cela coûte de l'argent.
"UNE FORME D'ESCLAVAGE"
Surtout, redoutent les industriels, ce traitement pourrait affecter les propriétés chimiques de la nicotine, la rendant moins efficace à entretenir leur capital le plus précieux : l'addiction. Et puis, mieux vaut ne pas mettre sur la place publique ce problème, même si c'est pour annoncer l'avoir résolu. Dans les années 1980, Philip Morris ferme son laboratoire ad hoc. Surtout, ne pas réveiller le "géant endormi".
Quelque trente années plus tard, il dort toujours d'un sommeil de plomb. Combien de fumeurs savent qu'ils ont dans la poche un paquet de 20 tiges légèrement chargées de polonium 210 ? Combien savent qu'un paquet et demi par jour équivaut – selon une évaluation publiée en 1982 dans le New England Journal of Medicine – à s'exposer annuellement à une dose de rayonnement équivalente à 300 radiographies du thorax ? Combien savent que ce polonium 210 est responsable d'une fraction non négligeable des cancers contractés par les fumeurs ? Lorsqu'on sait, il y a quelque chose de tristement effarant à voir des militants antinucléaires griller une cigarette lorsqu'ils attendent, pour les intercepter, les convois d'oxyde d'uranium de l'industrie nucléaire ; eux-mêmes introduisent dans leur organisme un radioélément qui les irradiera de l'intérieur...
On mesure le succès d'une entreprise de propagande à l'aune de ce genre de paradoxe. Il y en a d'autres. Par exemple, le plaisir procuré par la cigarette. "C'est une pure fabrication de l'industrie, répond M. Proctor. C'est une différence fondamentale avec d'autres drogues comme l'alcool et le cannabis. La cigarette n'est pas une drogue récréative : elle ne procure aucune ébriété, aucune ivresse." Elle ne fait que soulager celui qui est accoutumé au tabac, elle le rend fonctionnel. "C'est écrit en toutes lettres dans les documents : fumer n'est pas comme "boire de l'alcool", c'est comme "être alcoolique", dit Robert Proctor. Parmi ceux qui aiment la bière ou le vin, seuls 3 % environ sont accros à l'alcool. Alors qu'entre 80 % et 90 % des fumeurs sont dépendants. C'est une forme d'esclavage."
PROPAGANDE
Pourtant, l'American Civil Liberties Union (ACLU) – l'équivalent de notre Ligue des droits de l'homme – a fait campagne au début des années 1990 pour la "liberté" de fumer sur le lieu de travail. Mais il est vrai que la prestigieuse ACLU venait, elle aussi, de toucher quelques centaines de milliers de dollars de l'industrie du tabac... "Comment peut-on parler de liberté lorsque 90 % des fumeurs interrogés disent vouloir s'arrêter sans y parvenir ?" Le novlangue d'Orwell n'est pas loin. "La guerre, c'est la paix", "l'amour, c'est la haine" professait le Parti omnipotent de 1984. Dans le monde du tabac, "l'esclavage, c'est la liberté".
Et ce message fait mouche. Les adolescents voient souvent dans la cigarette une manifestation d'esprit rebelle. Convaincre qu'inféoder ses fonctions biologiques à de grands groupes industriels tient de la rébellion, voilà un tour de force marketing, dont le projet est inscrit en toutes lettres dans les "tobacco documents" : il faut vendre aux jeunes l'idée que fumer procède d'une "rébellion acceptable".
Créer de toutes pièces des réflexes mentaux dans la population – qui ne résistent ni à l'analyse critique ni même au simple bon sens – est la part la plus fascinante de cette histoire. C'est le fruit d'investissements lourds. Depuis des décennies, les apparitions des marques de cigarettes dans le cinéma hollywoodien sont millimétrées, à coups de millions de dollars. D'autres millions sont investis par l'industrie dans la recherche biomédicale académique : non pour trouver des remèdes aux maladies du tabac mais, très souvent, pour documenter des prédispositions génétiques à des maladies, attribuées ou non à la cigarette... "Des sommes colossales ont été injectées par le tabac dans la génétique fonctionnelle, au détriment des travaux sur les facteurs de risques environnementaux, dont le tabac, explique Robert Proctor. Cela crée ce que j'appelle un "macrobiais" dans la démarche scientifique. Cela contribue à développer l'idée que les maladies sont programmées en nous et qu'on n'y peut rien."
Infiltration de la culture, infiltration de la science. Il restait à Robert Proctor à en découdre avec sa propre discipline. "J'ai aussi cherché les rats dans ma propre maison", déclare-t-il. Une cinquantaine d'historiens – la plupart financés ou secrètement payés par les cigarettiers – ont formulé lors des procès du tabac des témoignages favorables aux industriels. Dans les "tobacco documents", les cigarettiers parlent de développer une "écurie" de savants. Seuls deux historiens américains – dont l'auteur de Golden Holocaust – ont témoigné du côté des malades.
L'histoire est un enjeu important, crucial même. "Aborder l'histoire d'une certaine façon, conclut le professeur de Stanford, comme, par exemple, dans cette étude présentant "les origines de la controverse du tabac dans l'Angleterre du XVIIe siècle", permet de normaliser un phénomène qui, regardé autrement, serait simplement intolérable." Il faut inscrire la cigarette comme une variable banale de l'Histoire longue pour occulter le caractère inédit de l'addiction de masse qui s'est développée depuis le milieu du siècle dernier.
Peser sur l'histoire et les sciences sociales pour fabriquer le consentement. Philip Morris a formalisé ce projet en 1987 sous le nom de Project Cosmic – un plan destiné à "créer un réseau extensif de scientifiques et d'historiens partout dans le monde", toujours selon les "tobacco documents ". "Il s'agissait de recruter des savants dont les travaux ou les idées pourraient contribuer à forger une "narration" favorable aux industriels", explique Robert Proctor.
Cas pratique, parmi tant d'autres. Dans les années 1990, l'historien travaillait sur un sujet original et peu défriché : les politiques de santé publique dans l'Allemagne nazie et la guerre qu'Hitler avait déclarée à la cigarette. L'un de ses articles sur le sujet fut accepté en 1997 par le Bulletin of the History of Medicine. Mais, quelques années plus tard, la revue a refusé un autre de ses articles – cette fois sur l'industrie américaine du tabac. Lorsqu'une étude permet de nourrir un amalgame entre contrôle du tabac et totalitarisme, elle est acceptée ; lorsqu'elle dérange les industriels, elle est rejetée... Pour comprendre, dit Robert Proctor, "il suffit de regarder la composition du comité éditorial de la revue et les liens financiers de certains de ses membres avec le tabac". Les chiens de garde du Project Cosmic surveillaient les portes de la revue savante.
Contactés par Le Monde, les cigarettiers cités n'ont pas souhaité commenter les travaux de M. Proctor.
Stéphane Foucart
JE SOUHAITE SIMPLEMENT DIFFUSER LE PLUS POSSIBLE CET ARTICLE DU MONDE :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/02/25/les-conspirateurs-du-tabac_1647738_3224.html
QUE JE REPRODUIS ICI
Stanford (Etats-Unis), envoyé spécial - Si vous souhaitez rester convaincu que l'on fume parce que c'est agréable et que c'est ainsi, tournez la page. Vous avez tout à perdre à lire ce qui suit. Mais peut-être avez-vous envie de savoir pourquoi les gens fument et pourquoi il leur est aussi difficile de s'arrêter. De savoir pourquoi autant d'entre eux devraient en mourir. Et de comprendre pourquoi tout cela nous semble aussi normal. Pour cela, il faut entrer dans la salle des machines de la plus vaste entreprise d'ingénierie du consentement jamais menée à bien. C'est un endroit compliqué. C'est un enchevêtrement d'hommes et d'institutions devenus les rouages d'une subtile mécanique, capable d'infiltrer la culture et la science, de subvertir la médecine et de corrompre en masse. Et, pour vous guider dans ce dédale, Robert Proctor est la personne qu'il vous faut.
Robert Proctor, 57 ans, n'est ni un conspirationniste ni un hygiéniste acharné. Historien des sciences, professeur à la prestigieuse université Stanford (Californie), il est l'auteur de Golden Holocaust, un livre qui paraît ces jours-ci aux Etats-Unis et qui inquiète sérieusement l'industrie américaine du tabac. Au point qu'elle a eu recours à toutes les voies légales pour tenter de mettre la main sur le manuscrit avant sa publication. Sans succès.
Qu'y a-t-il dans ce pavé de 750 pages qui trouble tant des géants comme RJ Reynolds ou Philip Morris ? Il y a leurs propres mots. Leurs petits et grands secrets, puisés dans les mémos et les messages internes, dans les rapports confidentiels, dans les comptes rendus de recherche de leurs propres chimistes, de leurs propres médecins. Le fait est peu connu en France : cette précieuse et explosive documentation – les "tobacco documents" – est publique depuis la fin des années 1990. En 1998, le Master Settlement Agreement, qui clôt les poursuites engagées par 46 Etats américains contre les cigarettiers, ne comprend pas qu'un volet financier (le versement de 250 milliards de dollars – 188 milliards d'euros – échelonnés sur deux décennies), il ordonne aussi la mise dans le domaine public des secrets de l'industrie.
INFILTRATION
Des millions de documents, recouvrant plus de cinq décennies, ont ainsi été exfiltrés des quartiers généraux des grands cigarettiers et confiés à l'université de Californie à San Francisco, chargée de bâtir la Legacy Tobacco Documents Library, et de mettre sur le Net ce fabuleux corpus. Treize millions de documents, soit plus de 79 millions de pages, sont déjà numérisés. De nouveaux sont ajoutés chaque jour ou presque. C'est au prisme de ces archives que Golden Holocaust tente de raconter une histoire globale de la cigarette. Robert Proctor épluche les "tobacco documents" depuis plus de dix ans. De quoi devenir paranoïaque. Entre mille autres choses, il y a découvert que le professeur qui l'a recruté à Stanford, voilà de nombreuses années, avait secrètement émargé chez les géants du tabac. Il y a aussi compris pourquoi une de ses demandes de financement avait été refusée par la National Science Foundation (principale agence fédérale de financement de la recherche américaine) : celui qui examinait les dossiers touchait de l'argent du tabac...
Tous ceux qui ont passé du temps sur les "tobacco documents" sont peu ou prou arrivés aux mêmes conclusions. Les experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en ont tiré un rapport explosif de 260 pages, publié en juillet 2000, montrant comment les cigarettiers avaient infiltré leur organisation grâce à des associations écrans ou à des scientifiques secrètement payés par eux. Le tout, bien sûr, pour entraver la mise en oeuvre de politiques de contrôle du tabac. Et lors des poursuites engagées en 1999 par l'administration Clinton, en partie fondées sur les "documents", les procureurs fédéraux ont plaidé que les manufacturiers américains du tabac ont "préparé et exécuté – et continuent à préparer et exécuter – un vaste complot depuis un demi-siècle pour tromper le public".
5,5 MILLIONS DE MORTS PAR AN
La cigarette, ce sont d'abord des chiffres. Des chiffres colossaux. Chaque année, la cigarette tue plus que le paludisme, plus que le sida, plus que la guerre, plus que le terrorisme. Et plus que la somme des quatre. Plus de cinq millions et demi de vies emportées prématurément chaque année. Cent millions de morts au XXe siècle ; sans doute un milliard pour le siècle en cours.
Réfléchir au tabac donne le vertige et la nausée. Chaque année, il se produit suffisamment de cigarettes pour emplir 24 pyramides de Khéops. Leur combustion déposera quelque 60 000 tonnes de goudron au fond de poumons humains. On peut aussi aborder la question en se demandant ce que l'homme a inventé de plus inutilement dangereux pour lui-même : rien. "La cigarette, résume Robert Proctor, est l'invention la plus meurtrière de l'histoire de l'humanité."
Il y a d'autres chiffres, d'autres calculs. "A chaque million de cigarettes fumées au cours d'une année, il y aura un mort prématuré dans les vingt-cinq ans qui suivent. C'est une loi qui est valable à peu près partout ", constate Robert Proctor. Cette macabre règle de trois a des applications inattendues. Comme celle de savoir combien de morts ont causé les mensonges des hauts cadres de "Big Tobacco".
"MAINTENIR LA CONTROVERSE VIVANTE"
Le 14 décembre 1953, les grands patrons du tabac se retrouvent discrètement à l'hôtel Plaza de New York. Quelques mois auparavant, des expériences menées sur des souris ont montré que le produit qu'ils vendent est cancérigène – ce que les médecins allemands savaient depuis les années 1920 –, et des journaux commencent à évoquer cette possibilité. Au terme de réunions avec le patron de Hill & Knowlton, conseiller en relations publiques, les géants du tabac se lancent dans une entreprise de propagande et d'instrumentalisation du doute scientifique qui retardera la prise de conscience des ravages de la cigarette. Il faut "maintenir la controverse vivante". Un cadre de Brown & Williamson l'écrit dans un célèbre mémo, découvert dans les "tobacco documents " : "Le doute est ce que nous produisons." Avec succès. Ce n'est qu'en 1964 que les autorités sanitaires américaines commenceront à communiquer clairement sur le lien entre tabac et cancer du poumon.
Dix ans de retard. "Si on décale les courbes de la consommation du tabac, c'est-à-dire si on place en 1954 le début de fléchissement constaté à partir de 1964, on voit que 8 000 milliards de cigarettes "en trop" ont été consommées aux Etats-Unis. Elles n'auraient pas été fumées si le public avait su la vérité dix ans plus tôt, explique Robert Proctor. Cela représente environ huit millions de morts dans les décennies suivantes." Les mensonges d'une demi-douzaine de capitaines d'industrie provoquant la mort de plusieurs millions de personnes ? Une fiction qui mettrait en scène une conspiration de cette ampleur serait taxée d'irréalisme ou de loufoquerie...
Tout ne commence pas en décembre 1953. D'autres manoeuvres sont plus anciennes. Le plan Marshall, par exemple. Le grand programme d'aide à la reconstruction de l'Europe dévastée par la seconde guerre mondiale a également été "mis à profit par les cigarettiers américains pour rendre les populations européennes accros au tabac blond flue-cured, facilement inhalable". Tout est là. Le flue-curing est une technique de séchage des feuilles de tabac qui se répand largement aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle, et qui permet de rendre la fumée moins irritante, donc plus profondément inhalable. Or jusque dans la première moitié du XXe siècle, on fume encore, dans une bonne part de l'Europe continentale, du tabac brun, très âcre, beaucoup moins dangereux et addictif. Car plus la fumée peut pénétrer profondément dans les poumons, plus l'afflux de nicotine dans l'organisme est rapide, plus l'addiction qui se développe est forte. Et plus les dégâts occasionnés sur les tissus pulmonaires sont importants. "Au cours de la réunion de Paris (le 12 juillet 1947) qui a mis en mouvement le plan Marshall, il n'y avait aucune demande des Européens spécifique au tabac, raconte Robert Proctor. Cela a été proposé et mis en avant par un sénateur de Virginie. Au total, pour deux dollars de nourriture, un dollar de tabac a été acheminé en Europe."
"RENDRE LES FUMEURS LE PLUS ACCRO POSSIBLE"
Le succès de la cigarette repose toujours, aujourd'hui, sur le talent des chimistes de "Big Tobacco" pour rendre la fumée plus douce, plus volatile, plus pénétrante. Les fumeurs, qui connaissent cette sensation de piquante fraîcheur aux poumons, tiennent pour naturel et normal de fumer ainsi. "Avaler" la fumée, dit-on. C'est au contraire le résultat d'une chimie pointue et compliquée. Plusieurs centaines de composés - accélérateurs de combustion, ammoniac, adjuvants divers, sucres, etc. - sont ajoutés au tabac. Ils rendent la fumée moins irritante, plus inhalable. "On peut dire que la cigarette est véritablement un produit défectueux en ce sens qu'il est beaucoup plus nocif qu'il ne devrait "normalement" l'être... Il est modifié pour rendre les fumeurs le plus accro possible et cela le rend plus dangereux", explique Robert Proctor.
Parfois, ce qu'on retrouve dans les cigarettes n'a pas été ajouté par les chimistes de l'industrie, mais par les caprices de la nature. Ainsi du polonium 210. Pour des raisons non encore éclaircies, la feuille de tabac a une détestable propriété : elle fixe et concentre cet élément radioactif naturellement présent dans l'environnement à des teneurs infimes. Les "tobacco documents" montrent que, dès les années 1950, l'industrie a découvert cette vérité qui dérange. Elle ne divulguera rien. Les premières publications indépendantes sur le sujet n'interviendront qu'au milieu des années 1960...
Golden Holocaust raconte par le menu comment les cadres de l'industrie ont réagi à ce "petit souci" de qualité du produit fini. Et le luxe de détails prodigués par les "tobacco documents" fait basculer dans un univers sidérant. Dans un premier temps, les cigarettiers cherchent à se débarrasser de cet élément radioactif. Ils font mener des travaux qu'ils gardent secrets. Car les publier pourrait "réveiller un géant endormi" ("waking a sleeping giant", dans le texte), écrit un cadre de Philip Morris à son patron, en 1978, ajoutant : "Le sujet va faire du bruit et je doute qu'il faille fournir des faits."
Plusieurs solutions sont découvertes. Changer d'engrais ? Traiter les feuilles de tabac à l'aide d'un bain d'acide ? Sélectionner les feuilles les moins chargées en polonium ? Aucune de ces solutions ne sera, semble-t-il, retenue. Car résoudre ce problème ne procure pas d'"avantage commercial ", selon l'expression d'un haut cadre de RJ Reynolds, consignée dans les documents. Le passage des feuilles de tabac par un bain acide, par exemple, contraindrait à une "gestion spécifique" d'effluents radioactifs. Cela coûte de l'argent.
"UNE FORME D'ESCLAVAGE"
Surtout, redoutent les industriels, ce traitement pourrait affecter les propriétés chimiques de la nicotine, la rendant moins efficace à entretenir leur capital le plus précieux : l'addiction. Et puis, mieux vaut ne pas mettre sur la place publique ce problème, même si c'est pour annoncer l'avoir résolu. Dans les années 1980, Philip Morris ferme son laboratoire ad hoc. Surtout, ne pas réveiller le "géant endormi".
Quelque trente années plus tard, il dort toujours d'un sommeil de plomb. Combien de fumeurs savent qu'ils ont dans la poche un paquet de 20 tiges légèrement chargées de polonium 210 ? Combien savent qu'un paquet et demi par jour équivaut – selon une évaluation publiée en 1982 dans le New England Journal of Medicine – à s'exposer annuellement à une dose de rayonnement équivalente à 300 radiographies du thorax ? Combien savent que ce polonium 210 est responsable d'une fraction non négligeable des cancers contractés par les fumeurs ? Lorsqu'on sait, il y a quelque chose de tristement effarant à voir des militants antinucléaires griller une cigarette lorsqu'ils attendent, pour les intercepter, les convois d'oxyde d'uranium de l'industrie nucléaire ; eux-mêmes introduisent dans leur organisme un radioélément qui les irradiera de l'intérieur...
On mesure le succès d'une entreprise de propagande à l'aune de ce genre de paradoxe. Il y en a d'autres. Par exemple, le plaisir procuré par la cigarette. "C'est une pure fabrication de l'industrie, répond M. Proctor. C'est une différence fondamentale avec d'autres drogues comme l'alcool et le cannabis. La cigarette n'est pas une drogue récréative : elle ne procure aucune ébriété, aucune ivresse." Elle ne fait que soulager celui qui est accoutumé au tabac, elle le rend fonctionnel. "C'est écrit en toutes lettres dans les documents : fumer n'est pas comme "boire de l'alcool", c'est comme "être alcoolique", dit Robert Proctor. Parmi ceux qui aiment la bière ou le vin, seuls 3 % environ sont accros à l'alcool. Alors qu'entre 80 % et 90 % des fumeurs sont dépendants. C'est une forme d'esclavage."
PROPAGANDE
Pourtant, l'American Civil Liberties Union (ACLU) – l'équivalent de notre Ligue des droits de l'homme – a fait campagne au début des années 1990 pour la "liberté" de fumer sur le lieu de travail. Mais il est vrai que la prestigieuse ACLU venait, elle aussi, de toucher quelques centaines de milliers de dollars de l'industrie du tabac... "Comment peut-on parler de liberté lorsque 90 % des fumeurs interrogés disent vouloir s'arrêter sans y parvenir ?" Le novlangue d'Orwell n'est pas loin. "La guerre, c'est la paix", "l'amour, c'est la haine" professait le Parti omnipotent de 1984. Dans le monde du tabac, "l'esclavage, c'est la liberté".
Et ce message fait mouche. Les adolescents voient souvent dans la cigarette une manifestation d'esprit rebelle. Convaincre qu'inféoder ses fonctions biologiques à de grands groupes industriels tient de la rébellion, voilà un tour de force marketing, dont le projet est inscrit en toutes lettres dans les "tobacco documents" : il faut vendre aux jeunes l'idée que fumer procède d'une "rébellion acceptable".
Créer de toutes pièces des réflexes mentaux dans la population – qui ne résistent ni à l'analyse critique ni même au simple bon sens – est la part la plus fascinante de cette histoire. C'est le fruit d'investissements lourds. Depuis des décennies, les apparitions des marques de cigarettes dans le cinéma hollywoodien sont millimétrées, à coups de millions de dollars. D'autres millions sont investis par l'industrie dans la recherche biomédicale académique : non pour trouver des remèdes aux maladies du tabac mais, très souvent, pour documenter des prédispositions génétiques à des maladies, attribuées ou non à la cigarette... "Des sommes colossales ont été injectées par le tabac dans la génétique fonctionnelle, au détriment des travaux sur les facteurs de risques environnementaux, dont le tabac, explique Robert Proctor. Cela crée ce que j'appelle un "macrobiais" dans la démarche scientifique. Cela contribue à développer l'idée que les maladies sont programmées en nous et qu'on n'y peut rien."
Infiltration de la culture, infiltration de la science. Il restait à Robert Proctor à en découdre avec sa propre discipline. "J'ai aussi cherché les rats dans ma propre maison", déclare-t-il. Une cinquantaine d'historiens – la plupart financés ou secrètement payés par les cigarettiers – ont formulé lors des procès du tabac des témoignages favorables aux industriels. Dans les "tobacco documents", les cigarettiers parlent de développer une "écurie" de savants. Seuls deux historiens américains – dont l'auteur de Golden Holocaust – ont témoigné du côté des malades.
L'histoire est un enjeu important, crucial même. "Aborder l'histoire d'une certaine façon, conclut le professeur de Stanford, comme, par exemple, dans cette étude présentant "les origines de la controverse du tabac dans l'Angleterre du XVIIe siècle", permet de normaliser un phénomène qui, regardé autrement, serait simplement intolérable." Il faut inscrire la cigarette comme une variable banale de l'Histoire longue pour occulter le caractère inédit de l'addiction de masse qui s'est développée depuis le milieu du siècle dernier.
Peser sur l'histoire et les sciences sociales pour fabriquer le consentement. Philip Morris a formalisé ce projet en 1987 sous le nom de Project Cosmic – un plan destiné à "créer un réseau extensif de scientifiques et d'historiens partout dans le monde", toujours selon les "tobacco documents ". "Il s'agissait de recruter des savants dont les travaux ou les idées pourraient contribuer à forger une "narration" favorable aux industriels", explique Robert Proctor.
Cas pratique, parmi tant d'autres. Dans les années 1990, l'historien travaillait sur un sujet original et peu défriché : les politiques de santé publique dans l'Allemagne nazie et la guerre qu'Hitler avait déclarée à la cigarette. L'un de ses articles sur le sujet fut accepté en 1997 par le Bulletin of the History of Medicine. Mais, quelques années plus tard, la revue a refusé un autre de ses articles – cette fois sur l'industrie américaine du tabac. Lorsqu'une étude permet de nourrir un amalgame entre contrôle du tabac et totalitarisme, elle est acceptée ; lorsqu'elle dérange les industriels, elle est rejetée... Pour comprendre, dit Robert Proctor, "il suffit de regarder la composition du comité éditorial de la revue et les liens financiers de certains de ses membres avec le tabac". Les chiens de garde du Project Cosmic surveillaient les portes de la revue savante.
Contactés par Le Monde, les cigarettiers cités n'ont pas souhaité commenter les travaux de M. Proctor.
Stéphane Foucart
Des élus slovaques se mettent à nu contre leur immunité parlementaire
Billet d'humeur journalistique :
" ... comme quoi le nu fait toujours parler !"
Info Voilà
Des élus slovaques se mettent à nu contre leur immunité parlementaire.
Des élus slovaques se sont débarrassé de leurs vêtements dans une campagne insolite contre l'immunité parlementaire dont ils réclament la suppression, avant un débat sur ce thème prévu mardi au parlement.
Une photo de 17 députés du parti libéral Liberté et Solidarité (SaS), déployant en Guise de vêtements une banderole qui proclame "laissons les parlementaires se débarrasser de leur immunité", a été placée sur le profil du parti dans Facebook et reproduite par le plus grand tabloïd slovaque Novy Cas.
"Les députés sont des hommes comme les autres et ils n'ont pas besoin de privilèges tels que l'immunité", affirme le parti SaS.
Selon la loi slovaque, les parlementaires sont protégés durant les quatre années de leur mandat contre toute poursuite judiciaire, ce qui a notamment permis à plusieurs députés d'échapper à une punition pour conduite en état d'ivresse.
Le parti SAS avait été l'initiateur en 2010 d'un référendum sur la suppression de certains privilèges des élus, mais ce vote a été invalidé pour participation insuffisante.
"C'est la dernière séance du parlement avant les législatives anticipés du 10 mars, et donc la dernière chance de supprimer l'immunité", a déclaré à l'AFP Martin Chren, l'un des députés de SAS posant pour la photo.
P.
" ... comme quoi le nu fait toujours parler !"
Info Voilà
Des élus slovaques se mettent à nu contre leur immunité parlementaire.
Des élus slovaques se sont débarrassé de leurs vêtements dans une campagne insolite contre l'immunité parlementaire dont ils réclament la suppression, avant un débat sur ce thème prévu mardi au parlement.
Une photo de 17 députés du parti libéral Liberté et Solidarité (SaS), déployant en Guise de vêtements une banderole qui proclame "laissons les parlementaires se débarrasser de leur immunité", a été placée sur le profil du parti dans Facebook et reproduite par le plus grand tabloïd slovaque Novy Cas.
"Les députés sont des hommes comme les autres et ils n'ont pas besoin de privilèges tels que l'immunité", affirme le parti SaS.
Selon la loi slovaque, les parlementaires sont protégés durant les quatre années de leur mandat contre toute poursuite judiciaire, ce qui a notamment permis à plusieurs députés d'échapper à une punition pour conduite en état d'ivresse.
Le parti SAS avait été l'initiateur en 2010 d'un référendum sur la suppression de certains privilèges des élus, mais ce vote a été invalidé pour participation insuffisante.
"C'est la dernière séance du parlement avant les législatives anticipés du 10 mars, et donc la dernière chance de supprimer l'immunité", a déclaré à l'AFP Martin Chren, l'un des députés de SAS posant pour la photo.
P.
26 Févr - Merlin
Dicton du jour :
« Vent fort à la saint Nestor, bon vin à la saint Marcellin. »
Dicton réenvouté :
" Jette un sort à la Saint Nestor,
tu deviendras peut-être Merlin à la Saint Marcellin ! "
P.
« Vent fort à la saint Nestor, bon vin à la saint Marcellin. »
Dicton réenvouté :
" Jette un sort à la Saint Nestor,
tu deviendras peut-être Merlin à la Saint Marcellin ! "
P.
samedi 25 février 2012
Roméo
Shakespeare dans Roméo & Juliette :
" Vous êtes amoureux, empruntez à Cupidon ses ailes "
" Vous êtes passionnés de courses, empruntez à Pégase
le résultat du quinté ! "
oui, je sais je ne suis pas Cheikeespire !!!
et de l'ami Loustic
« Juliette aurait-elle aimé Roméo si Roméo avait eu quatre incisives manquantes, un grand trou noir au milieu ? »
(Albert Cohen)
P.
" Vous êtes amoureux, empruntez à Cupidon ses ailes "
" Vous êtes passionnés de courses, empruntez à Pégase
le résultat du quinté ! "
oui, je sais je ne suis pas Cheikeespire !!!
et de l'ami Loustic
« Juliette aurait-elle aimé Roméo si Roméo avait eu quatre incisives manquantes, un grand trou noir au milieu ? »
(Albert Cohen)
P.
Les super-héros expliqués par les mathématiques
Billet d'humeur journalistique et mathématique :
"... comme quoi les maths arrivent à tout, même la BD ! "
Info Gentside
Les super-héros expliqués par les mathématiques
Même si les équations vous rappellent de mauvais souvenirs scolaires, celles-ci devraient beaucoup vous plaire et vous amuser...
Sur une idée du graphic designer italien Matt Cowan, ces équations d'un genre très particulier permettront même aux moins doués en maths de comprendre de manière illustrée ce qui fait l'essence même de nos super-héros de comic books! En effet, en ajoutant ou soustrayant divers accessoires et accoutrements propres à Batman, Superman, Spider-Man ou encore Captain America, Matt Cowan parvient a réaliser une véritable typographie graphique de divers héros dont nous sommes tous fans.
Pour exemple: prenez un pictogramme représentant une silhouette de femme, ajoutez-lui un soutien-gorge et vous obtiendrez le prototype même de... Wonder Woman! Même chose avec Spider-Man et son araignée, Superman et sa kryptonite ou encore Captain America et son drapeau américain. Autant de combinaisons possibles qu'il existe de super-héros, et qui permettent à Matt Cowan de livrer pour notre plus grand bonheur toute une série d'illustrations colorées qui vont vous faire adorer les mathématiques.
Grâce à de savantes combinaisons graphiques, un illustrateur plein d'imagination est parvenu à créer d'amusantes équations qui toutes ont pour thème... les supers héros de comic books!
On doit la réalisation de ces surprenantes équations colorées au graphic designer italien Matt Cowan qui loin des additions et soustractions rébarbatives de notre enfance, nous propose aujourd'hui de nous remettre aux mathématiques en compagnie de Batman, Superman, Captain America ou encore Catwoman!
P.
"... comme quoi les maths arrivent à tout, même la BD ! "
Info Gentside
Les super-héros expliqués par les mathématiques
Même si les équations vous rappellent de mauvais souvenirs scolaires, celles-ci devraient beaucoup vous plaire et vous amuser...
Sur une idée du graphic designer italien Matt Cowan, ces équations d'un genre très particulier permettront même aux moins doués en maths de comprendre de manière illustrée ce qui fait l'essence même de nos super-héros de comic books! En effet, en ajoutant ou soustrayant divers accessoires et accoutrements propres à Batman, Superman, Spider-Man ou encore Captain America, Matt Cowan parvient a réaliser une véritable typographie graphique de divers héros dont nous sommes tous fans.
Pour exemple: prenez un pictogramme représentant une silhouette de femme, ajoutez-lui un soutien-gorge et vous obtiendrez le prototype même de... Wonder Woman! Même chose avec Spider-Man et son araignée, Superman et sa kryptonite ou encore Captain America et son drapeau américain. Autant de combinaisons possibles qu'il existe de super-héros, et qui permettent à Matt Cowan de livrer pour notre plus grand bonheur toute une série d'illustrations colorées qui vont vous faire adorer les mathématiques.
Grâce à de savantes combinaisons graphiques, un illustrateur plein d'imagination est parvenu à créer d'amusantes équations qui toutes ont pour thème... les supers héros de comic books!
On doit la réalisation de ces surprenantes équations colorées au graphic designer italien Matt Cowan qui loin des additions et soustractions rébarbatives de notre enfance, nous propose aujourd'hui de nous remettre aux mathématiques en compagnie de Batman, Superman, Captain America ou encore Catwoman!
P.
25 Févr - Paréo
Dicton du jour :
« S’il fait sec et chaud à la saint Roméo, garde du foin pour tes chevaux .»
Dicton rhabillé :
"S'il fait sec et chaud à la Saint Roméo,
garde et repasse ton paréo ! "
P.
« S’il fait sec et chaud à la saint Roméo, garde du foin pour tes chevaux .»
Dicton rhabillé :
"S'il fait sec et chaud à la Saint Roméo,
garde et repasse ton paréo ! "
P.
vendredi 24 février 2012
Il a fait un tatouage à son chat !
Billet d'humeur journalistique et animalier :
".... B.Bardot va se facher très rouge .... on peut espèrer que le maître soit aussi tatoué au même endroit ! "
Info Gentside
Il a fait un tatouage à son chat !
Un Russe a décidé de faire un tatouage autour du cou de son chat.
L'artiste tatoueur russe Timur a créé une véritable polémique en prenant l'initiative de tatouer son propre chat. Cette opération a été effectuée dans un salon de Naberezhnve Chelny au Tatarstan. Le dessin sur ce félin a été publié sur le compte VKontakte (l'équivalent russe de Facebook) et a provoqué un énorme buzz.
Mais cette initiative a provoqué le courroux des militants de la cause animale, relayés par 20 minutes, qui ont parlé d'acte cruel à propos de ce tatouage qui entoure son cou. Certains avancent le fait que le chat n'est pas consentant, d'autres prétendent que la composition de l'encre est toxique pour le félin.
Timur a rétorqué à ces attaques en affirmant que le chat a subi une anesthésie au cours de l'opération et qu'il n'a donc pas souffert. Il précise aussi qu'un vétérinaire était présent pour cette séance.
Certains experts soulignent toutefois que ce tatouage va se dégrader au fil du temps au point de rendre l'inscription Carpe Diem complètement illisible. Un fait salutaire qu'une faute d'orthographe est présente sur le tatouage. Il y est ainsi écrit Carpe Deem au lieu de Carpe Diem.
P.
".... B.Bardot va se facher très rouge .... on peut espèrer que le maître soit aussi tatoué au même endroit ! "
Info Gentside
Il a fait un tatouage à son chat !
Un Russe a décidé de faire un tatouage autour du cou de son chat.
L'artiste tatoueur russe Timur a créé une véritable polémique en prenant l'initiative de tatouer son propre chat. Cette opération a été effectuée dans un salon de Naberezhnve Chelny au Tatarstan. Le dessin sur ce félin a été publié sur le compte VKontakte (l'équivalent russe de Facebook) et a provoqué un énorme buzz.
Mais cette initiative a provoqué le courroux des militants de la cause animale, relayés par 20 minutes, qui ont parlé d'acte cruel à propos de ce tatouage qui entoure son cou. Certains avancent le fait que le chat n'est pas consentant, d'autres prétendent que la composition de l'encre est toxique pour le félin.
Timur a rétorqué à ces attaques en affirmant que le chat a subi une anesthésie au cours de l'opération et qu'il n'a donc pas souffert. Il précise aussi qu'un vétérinaire était présent pour cette séance.
Certains experts soulignent toutefois que ce tatouage va se dégrader au fil du temps au point de rendre l'inscription Carpe Diem complètement illisible. Un fait salutaire qu'une faute d'orthographe est présente sur le tatouage. Il y est ainsi écrit Carpe Deem au lieu de Carpe Diem.
P.
24 Févr - Hiver
Dicton du jour :
« À la saint Mathias, le corbeau s'en va, six semaines passent et le coucou reviendra. »
« À la saint Mathias, neige et verglas. »
« Saint Mathias brise la glace, s'il n'y en a pas, il en fera. »
Dicton refroidit :
" A la Saint Mathias,
l'hiver se cadenasse ou trépasse "
P.
« À la saint Mathias, le corbeau s'en va, six semaines passent et le coucou reviendra. »
« À la saint Mathias, neige et verglas. »
« Saint Mathias brise la glace, s'il n'y en a pas, il en fera. »
Dicton refroidit :
" A la Saint Mathias,
l'hiver se cadenasse ou trépasse "
P.
jeudi 23 février 2012
Après plus de 30 ans sur le port, le pélican du Havre est mort
Billet d'humeur journalistique et animalier :
" ... belle histoire, jusqu'à donner le nom à une école primaire, c'est Icare qui aurait été content !"
Info Voilà
Après plus de 30 ans sur le port, le pélican du Havre est mort
Un pélican qui vivait depuis plus de trente ans dans le port pétrolier d'Antifer, près du Havre, dans le Nord de la France, a été retrouvé mort lundi, probablement de froid ou de vieillesse, a-t-on appris jeudi auprès des autorités locales.
Ce pélican blanc avait été aperçu pour la première fois le 13 septembre 1981 au milieu des super-tankers du port pétrolier d'Antifer. Il n'avait jamais été possible de déterminer sa provenance: il n'existe pas d'individu de cette espèce ni dans la nature ni dans les parcs animaliers des alentours.
Le volatile était peut-être arrivé à bord d'un bateau et relâché à la côte par le marin qui l'avait capturé. L'oiseau portait bien une bague avec l'inscription "Ruth Lippelo B" mais celle-ci est restée mystérieuse malgré de nombreuses recherches.
Depuis, "Péli" comme il était dénommé affectueusement était devenu la mascotte de la ville de Saint-Jouin-Bruneval dont les élus donnèrent en son honneur le nom de "Pélican" à l'école primaire.
L'oiseau était nourri par des marins-pêcheurs qui disposent d'une petite anse aménagée à côté du port pétrolier. Chaque jour, il attendait sur le quai le retour des petits bateaux de pêche et ingurgitait environ un kilo à un kilo et demi de poisson.
Blessé à plusieurs reprises accidentellement ou à la suite d'actes de malveillance, "Péli" avait été plusieurs fois soignés à la clinique des oiseaux d'Allouville-Bellefosse, à une quarantaine de kilomètres. Selon la mairie, il avait même fait une fugue de deux jours mais avait été retrouvé sur une plage d'Etretat, au Nord du Havre, et reconduit à Antifer.
Les spécialistes de la clinique des oiseaux n'ont jamais pu déterminer son âge. Dans la nature, ce volatile qui prospère dans les régions chaudes du globe peut vivre entre 15 et 25 ans et en captivité l'âge maximum atteint par un oiseau de cette espèce serait de 54 ans.
P.
" ... belle histoire, jusqu'à donner le nom à une école primaire, c'est Icare qui aurait été content !"
Info Voilà
Après plus de 30 ans sur le port, le pélican du Havre est mort
Un pélican qui vivait depuis plus de trente ans dans le port pétrolier d'Antifer, près du Havre, dans le Nord de la France, a été retrouvé mort lundi, probablement de froid ou de vieillesse, a-t-on appris jeudi auprès des autorités locales.
Ce pélican blanc avait été aperçu pour la première fois le 13 septembre 1981 au milieu des super-tankers du port pétrolier d'Antifer. Il n'avait jamais été possible de déterminer sa provenance: il n'existe pas d'individu de cette espèce ni dans la nature ni dans les parcs animaliers des alentours.
Le volatile était peut-être arrivé à bord d'un bateau et relâché à la côte par le marin qui l'avait capturé. L'oiseau portait bien une bague avec l'inscription "Ruth Lippelo B" mais celle-ci est restée mystérieuse malgré de nombreuses recherches.
Depuis, "Péli" comme il était dénommé affectueusement était devenu la mascotte de la ville de Saint-Jouin-Bruneval dont les élus donnèrent en son honneur le nom de "Pélican" à l'école primaire.
L'oiseau était nourri par des marins-pêcheurs qui disposent d'une petite anse aménagée à côté du port pétrolier. Chaque jour, il attendait sur le quai le retour des petits bateaux de pêche et ingurgitait environ un kilo à un kilo et demi de poisson.
Blessé à plusieurs reprises accidentellement ou à la suite d'actes de malveillance, "Péli" avait été plusieurs fois soignés à la clinique des oiseaux d'Allouville-Bellefosse, à une quarantaine de kilomètres. Selon la mairie, il avait même fait une fugue de deux jours mais avait été retrouvé sur une plage d'Etretat, au Nord du Havre, et reconduit à Antifer.
Les spécialistes de la clinique des oiseaux n'ont jamais pu déterminer son âge. Dans la nature, ce volatile qui prospère dans les régions chaudes du globe peut vivre entre 15 et 25 ans et en captivité l'âge maximum atteint par un oiseau de cette espèce serait de 54 ans.
P.
23 Févr - Froid
Dicton du jour :
« Souvent à la Saint-Lazare, le froid gagne ou file vers la montagne. »
« Souvent quand Saint-Lazare appelle le froid, il n’en reste pas. »
Dicton refroidit :
" A la Saint Lazare,
le grand froid se fait plus rare "
P.
« Souvent à la Saint-Lazare, le froid gagne ou file vers la montagne. »
« Souvent quand Saint-Lazare appelle le froid, il n’en reste pas. »
Dicton refroidit :
" A la Saint Lazare,
le grand froid se fait plus rare "
P.
mercredi 22 février 2012
Cet homme vit alors qu'il n'a plus de coeur
Billet d'humeur journalistique et médicale :
" ... voilà encore une preuve que les hommes sont sans coeur !"
Info Gentside
Cet homme vit alors qu'il n'a plus de coeur
L'Américain Craig Lewis présente la particularité de vivre sans coeur grâce à une prothèse qui pallie son absence en effectuant le travail de cet organe vital, le tout sans pulsation, contrairement à un Pacemaker.
Cette histoire rapportée par The Daily Mail est ahurissante. Craig Lewis était condamné par ses médecins. Cet homme de 55 ans présentait une sérieuse défaillance cardiaque au point que même un pacemaker s'avérerait incapable de pallier son coeur malade.
C'est alors que deux spécialistes, Billy Cohn et Bud Frazier du Texas Heart Institute, lui proposent de remplacer son organe vital défaillant par une prothèse. Celle-ci se substituerait au coeur en remplissant la mission dévolue à ce dernier : émettre un flux continu permettant au sang de circuler dans le corps sans aucune pulsation cardiaque. Mais pour que ce dispositif expérimental fonctionne, il était primordial d'enlever carrément ce coeur de la cage thoracique du patient et de mettre à la place cette prothèse sophistiquée.
"Il n'y a plus aucune pulsation"
C'est le premier essai effectué, et réussi, sur un être humain. Les deux chercheurs n'avaient jusque-là pratiqué cette expérience que sur des veaux à qui ils avaient ôté le coeur. Craig Lewis n'avait de toute façon pas le choix. Une fois arrivé à l'hôpital, les premiers médecins avaient en effet conclu sur un pronostic vital de 12 heures maximum à cause de ses déficiences cardiaques.
Mais depuis cette opération, Craig Lewis semble être un homme comme tous les autres... sauf pour sa femme. Citée par le Daily Mail, elle explique que lorsqu'elle pose sa tête sur la poitrine de son mari, elle n'entend quasiment plus rien. "J'ai écouté et il y avait un bourdonnement, c'est incroyable. Il n'y a plus aucune pulsation."
P.
" ... voilà encore une preuve que les hommes sont sans coeur !"
Info Gentside
Cet homme vit alors qu'il n'a plus de coeur
L'Américain Craig Lewis présente la particularité de vivre sans coeur grâce à une prothèse qui pallie son absence en effectuant le travail de cet organe vital, le tout sans pulsation, contrairement à un Pacemaker.
Cette histoire rapportée par The Daily Mail est ahurissante. Craig Lewis était condamné par ses médecins. Cet homme de 55 ans présentait une sérieuse défaillance cardiaque au point que même un pacemaker s'avérerait incapable de pallier son coeur malade.
C'est alors que deux spécialistes, Billy Cohn et Bud Frazier du Texas Heart Institute, lui proposent de remplacer son organe vital défaillant par une prothèse. Celle-ci se substituerait au coeur en remplissant la mission dévolue à ce dernier : émettre un flux continu permettant au sang de circuler dans le corps sans aucune pulsation cardiaque. Mais pour que ce dispositif expérimental fonctionne, il était primordial d'enlever carrément ce coeur de la cage thoracique du patient et de mettre à la place cette prothèse sophistiquée.
"Il n'y a plus aucune pulsation"
C'est le premier essai effectué, et réussi, sur un être humain. Les deux chercheurs n'avaient jusque-là pratiqué cette expérience que sur des veaux à qui ils avaient ôté le coeur. Craig Lewis n'avait de toute façon pas le choix. Une fois arrivé à l'hôpital, les premiers médecins avaient en effet conclu sur un pronostic vital de 12 heures maximum à cause de ses déficiences cardiaques.
Mais depuis cette opération, Craig Lewis semble être un homme comme tous les autres... sauf pour sa femme. Citée par le Daily Mail, elle explique que lorsqu'elle pose sa tête sur la poitrine de son mari, elle n'entend quasiment plus rien. "J'ai écouté et il y avait un bourdonnement, c'est incroyable. Il n'y a plus aucune pulsation."
P.
22 Févr - Robe
Dicton du jour :
« Vends tes primevères à la Sainte-Isabelle, si elles ne le sont point, elles ne seront pas plus belles. »
« À la Sainte-Isabelle, si l'aurore est belle et s'il fait soleil au matin, c'est du bon pour tous les grains. »
« Le temps qu'il fait le jour de la Sainte-Isabelle, dure jusqu'aux Rameaux. »
Dicton refondu :
" A la Sainte Isabelle,
ne fais pas ta rebelle,
chantonne une ritournelle,
mets ta robe pour la bagatelle
et ta journée sera super belle ! "
P.
« Vends tes primevères à la Sainte-Isabelle, si elles ne le sont point, elles ne seront pas plus belles. »
« À la Sainte-Isabelle, si l'aurore est belle et s'il fait soleil au matin, c'est du bon pour tous les grains. »
« Le temps qu'il fait le jour de la Sainte-Isabelle, dure jusqu'aux Rameaux. »
Dicton refondu :
" A la Sainte Isabelle,
ne fais pas ta rebelle,
chantonne une ritournelle,
mets ta robe pour la bagatelle
et ta journée sera super belle ! "
P.
mardi 21 février 2012
Le mystère des rayures du zèbre enfin percé ?
Billet d'humeur journalistique et animalier :
" ... peau blanche avec des rayures noires ou peau noire avec des rayures blanches si maintenant on a la réponse! il ne reste plus aux chercheurs de trouver la solution de la poule et de l'oeuf ou de l'oeuf et de la poule !"
Info Gentside
Le mystère des rayures du zèbre enfin percé ?
En 1979, une hypothèse scientifique proposait une explication au pelage rayé des zèbres. Il protégerait des attaques de parasites. Seulement, aucune preuve n'avait pu être apportée. C'est désormais chose faite grâce à cette nouvelle étude hongro-suédoise menée par l'Université suédoise de Lund.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les zèbres ont des rayures? Beaucoup plus qu'un simple détail esthétique, une recherche a montré leur utilité. Sous la direction de Susanne Akesson de l'Université de Lund, en Suède, des scientifiques viennent de publier les résultats de leur recherche dans le "Journal of Experimental Biology", relaie le site de 20 Minutes.
Pour cela, plusieurs expériences ont été effectuées avec des insectes. Leurs réactions face aux rayures ont été étudiées dans une ferme hongroise avec des espèces de chevaux de différentes couleurs : noirs, gris, blancs et rayés. Ils ont observé que les insectes préféraient se diriger vers les chevaux foncés.
Après l'observation, place à l'explication. Il faut savoir que les rayures repoussent les taons, car en leur présence, ces derniers ne parviennent pas à distinguer leur cible. La lumière polarisée est leur seul moyen de discerner leur hôte. Les rayures blanches et noires perturbent cette lumière. De ce fait, "nous concluons que les zèbres ont développé une peau qui attire très peu les insectes suceurs de sang" affirment les chercheurs.
Ces rayures seraient donc une protection contre les prédateurs car la présence de rayures est encore plus perturbante pour les taons. En effet, des études antérieures démontraient que plus la robe du cheval était claire, moins l'animal était victime de la présence des insectes. Ceci est dû à la lumière polarisée dégagée par la couleur blanche qui ne permet pas aux parasites de bien les visualiser.
P.
" ... peau blanche avec des rayures noires ou peau noire avec des rayures blanches si maintenant on a la réponse! il ne reste plus aux chercheurs de trouver la solution de la poule et de l'oeuf ou de l'oeuf et de la poule !"
Info Gentside
Le mystère des rayures du zèbre enfin percé ?
En 1979, une hypothèse scientifique proposait une explication au pelage rayé des zèbres. Il protégerait des attaques de parasites. Seulement, aucune preuve n'avait pu être apportée. C'est désormais chose faite grâce à cette nouvelle étude hongro-suédoise menée par l'Université suédoise de Lund.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les zèbres ont des rayures? Beaucoup plus qu'un simple détail esthétique, une recherche a montré leur utilité. Sous la direction de Susanne Akesson de l'Université de Lund, en Suède, des scientifiques viennent de publier les résultats de leur recherche dans le "Journal of Experimental Biology", relaie le site de 20 Minutes.
Pour cela, plusieurs expériences ont été effectuées avec des insectes. Leurs réactions face aux rayures ont été étudiées dans une ferme hongroise avec des espèces de chevaux de différentes couleurs : noirs, gris, blancs et rayés. Ils ont observé que les insectes préféraient se diriger vers les chevaux foncés.
Après l'observation, place à l'explication. Il faut savoir que les rayures repoussent les taons, car en leur présence, ces derniers ne parviennent pas à distinguer leur cible. La lumière polarisée est leur seul moyen de discerner leur hôte. Les rayures blanches et noires perturbent cette lumière. De ce fait, "nous concluons que les zèbres ont développé une peau qui attire très peu les insectes suceurs de sang" affirment les chercheurs.
Ces rayures seraient donc une protection contre les prédateurs car la présence de rayures est encore plus perturbante pour les taons. En effet, des études antérieures démontraient que plus la robe du cheval était claire, moins l'animal était victime de la présence des insectes. Ceci est dû à la lumière polarisée dégagée par la couleur blanche qui ne permet pas aux parasites de bien les visualiser.
P.
21 Févr - Cartésien
Dicton du jour :
« À la Saint-Pierre Damien, l'hiver reprend ou s'éteint. »
« Il est trop tard à la saint Pépin pour planter les arbres à pépins. »
Dicton refroidit :
" A la Saint-Pierre Damien,
mieux vaut être cartésien,
l'hiver, ce n'est pas rien ! "
P.
« À la Saint-Pierre Damien, l'hiver reprend ou s'éteint. »
« Il est trop tard à la saint Pépin pour planter les arbres à pépins. »
Dicton refroidit :
" A la Saint-Pierre Damien,
mieux vaut être cartésien,
l'hiver, ce n'est pas rien ! "
P.
lundi 20 février 2012
Au Royaume-Uni, les abribus ont la patate !
Billet d'humeur journalistique et publicitaire :
"... en fait c'est la Ratp angalise qui est derrière l'opé, pour faire monter plus rapidement les gens dans leur bus pour ne plus sentir l'odeur de la frite !"
Info MinuteBuzz
Au Royaume-Uni, les abribus ont la patate !
Quel est le rapport entre un abribus et une frite ? A priori aucun, sauf quand Mc Cain prend les choses en main..
Le géant de la frite a déployé une opération de street marketing inédite et plutôt savoureuse au Royaume-Uni ! Par ce temps frileux, dix abris bus de Londres, Manchester, Glasgow, Nottingham et York sont désormais équipés d’un système de chauffage pour le moins particulier. Lorsque les passagers en attente de leur navette l’enclenchent pour se réchauffer, une odeur alléchante s’en dégage.
Laquelle ?
Celle de pommes de terres à peine sorties du four, évidemment ! De quoi mettre l’eau à la bouche des voyageurs, qui pourraient bien être tentés de modifier leur itinéraire pour le supermarché le plus proche. Et là encore, Mc Cain a pensé à tout ! Avant de monter dans le bus, ils pourront retirer des bons de réduction pour aller faire le plein de ces fameuses pommes de terre qui ont mis leurs sens en éveil.
C’est ce qui s’appelle une campagne qui a la frite !
P.
"... en fait c'est la Ratp angalise qui est derrière l'opé, pour faire monter plus rapidement les gens dans leur bus pour ne plus sentir l'odeur de la frite !"
Info MinuteBuzz
Au Royaume-Uni, les abribus ont la patate !
Quel est le rapport entre un abribus et une frite ? A priori aucun, sauf quand Mc Cain prend les choses en main..
Le géant de la frite a déployé une opération de street marketing inédite et plutôt savoureuse au Royaume-Uni ! Par ce temps frileux, dix abris bus de Londres, Manchester, Glasgow, Nottingham et York sont désormais équipés d’un système de chauffage pour le moins particulier. Lorsque les passagers en attente de leur navette l’enclenchent pour se réchauffer, une odeur alléchante s’en dégage.
Laquelle ?
Celle de pommes de terres à peine sorties du four, évidemment ! De quoi mettre l’eau à la bouche des voyageurs, qui pourraient bien être tentés de modifier leur itinéraire pour le supermarché le plus proche. Et là encore, Mc Cain a pensé à tout ! Avant de monter dans le bus, ils pourront retirer des bons de réduction pour aller faire le plein de ces fameuses pommes de terre qui ont mis leurs sens en éveil.
C’est ce qui s’appelle une campagne qui a la frite !
P.
20 Févr - Aimée
Dicton du jour :
« Souvent à la Sainte Aimée, la campagne est enneigée. »
Dicton revu :
" A la sainte Aimée,
c'est le moment ou jamais
de te pâmer pour ta bien-aimée "
P.
« Souvent à la Sainte Aimée, la campagne est enneigée. »
Dicton revu :
" A la sainte Aimée,
c'est le moment ou jamais
de te pâmer pour ta bien-aimée "
P.
dimanche 19 février 2012
19 Févr - Prix Orthez
Hello la Compagnie
Billet d'humeur féminine :
" J'ai une jolie mélodie à vous sussurer comme une fille d'amour, une Lady de Nappes, et je vais vous donner le cv qui va passer le premier le poteau c'est un beau mâle, Olmo Holz, une petite locomotive !"
( Usaurie de Mélodie - Une fille d'amour - Une Lady de Nappes - Olmo Holz - Un Poco Loco )
P.
Billet d'humeur féminine :
" J'ai une jolie mélodie à vous sussurer comme une fille d'amour, une Lady de Nappes, et je vais vous donner le cv qui va passer le premier le poteau c'est un beau mâle, Olmo Holz, une petite locomotive !"
( Usaurie de Mélodie - Une fille d'amour - Une Lady de Nappes - Olmo Holz - Un Poco Loco )
P.
Une cathédrale végétale réalisée à partir de matériaux naturels
Billet d'humeur journalistique et végétale :
"... finalement cela peut faire de nouveaux lieux de culte !"
Info Gentside
Une cathédrale végétale réalisée à partir de matériaux naturels.
Une cathédrale végétale uniquement faite de matériaux naturels a été construite en Italie en une dizaine d'années.
Juste avant sa mort en 2009, l'artiste Giuliano Mauri a élaboré un projet ambitieux, surprenant et en accord avec la nature. Cet italien est à l'origine de la "cathédrale végétale" dans le nord de son pays natal, au pied du mont Arena, déclare Oddity Central. Ce bâtiment architectural hors du commun a été érigé en l'espace de neuf ans, de 2001 à 2010.
C'est son amour pour la nature qui a guidé Giuliano Mauri dans l'élaboration d'un tel monument. Inspirée de l'architecture gothique, la cathédrale a été bâtie avec des matériaux naturels tels que du bois de sapins et des branches de noisetiers ou de châtaigniers. Elle comprend 5 nefs et 42 colonnes au sein desquelles des hêtres ont été plantés. Pour que ces derniers puissent grandir sans entrave, les dimensions des colonnes font 12 mètres de haut sur un mètre de large.
Cette magnifique cathédrale naturelle ébloui tous ses visiteurs grâce à sa beauté en parfaite harmonie avec l'environnement. Pour qu'elle reste intacte au fil des années, sa verdure est taillée régulièrement. Avec un édifice de 82 mètres de long sur 15 mètres de large, l'oeuvre atteint plus de 1230 mètres carrés. Elle captive ainsi plus de 10.000 visiteurs chaque année.
P.
"... finalement cela peut faire de nouveaux lieux de culte !"
Info Gentside
Une cathédrale végétale réalisée à partir de matériaux naturels.
Une cathédrale végétale uniquement faite de matériaux naturels a été construite en Italie en une dizaine d'années.
Juste avant sa mort en 2009, l'artiste Giuliano Mauri a élaboré un projet ambitieux, surprenant et en accord avec la nature. Cet italien est à l'origine de la "cathédrale végétale" dans le nord de son pays natal, au pied du mont Arena, déclare Oddity Central. Ce bâtiment architectural hors du commun a été érigé en l'espace de neuf ans, de 2001 à 2010.
C'est son amour pour la nature qui a guidé Giuliano Mauri dans l'élaboration d'un tel monument. Inspirée de l'architecture gothique, la cathédrale a été bâtie avec des matériaux naturels tels que du bois de sapins et des branches de noisetiers ou de châtaigniers. Elle comprend 5 nefs et 42 colonnes au sein desquelles des hêtres ont été plantés. Pour que ces derniers puissent grandir sans entrave, les dimensions des colonnes font 12 mètres de haut sur un mètre de large.
Cette magnifique cathédrale naturelle ébloui tous ses visiteurs grâce à sa beauté en parfaite harmonie avec l'environnement. Pour qu'elle reste intacte au fil des années, sa verdure est taillée régulièrement. Avec un édifice de 82 mètres de long sur 15 mètres de large, l'oeuvre atteint plus de 1230 mètres carrés. Elle captive ainsi plus de 10.000 visiteurs chaque année.
P.
19 Févr - Lune
Dicton du jour :
« Il vaut mieux un renard au poulailler qu'un homme en chemise en février »
« La nouvelle lune de février, sert pour l'année de calendrier.»
Dicton replannifié :
" La lune nouvelle de Février,
sert de courtier pour le reste de l'année "
et clin d'oeil pour le premier dicton
"Mieux vaut bouffer au MacDo, que sortir en teeshirt en Février!"
P.
« Il vaut mieux un renard au poulailler qu'un homme en chemise en février »
« La nouvelle lune de février, sert pour l'année de calendrier.»
Dicton replannifié :
" La lune nouvelle de Février,
sert de courtier pour le reste de l'année "
et clin d'oeil pour le premier dicton
"Mieux vaut bouffer au MacDo, que sortir en teeshirt en Février!"
P.
samedi 18 février 2012
Villeperdue
Billet d'humeur journalistique :
" ...Villeperdue, pas pour tout le monde, heureusement pour les Villeperdusiens ou plus simplement les introuvables !"
Une publicité moquant Villeperdue, un village du centre de la France, a suscité l'émotion de ses habitants, qui vont finalement bénéficier d'un geste commercial peu ordinaire.
Le message publicitaire, diffusé sur les radios au moment des soldes, expliquait qu'un célèbre distributeur d'électroménager pouvait livrer et installer à domicile, partout en France, et "même si vous habitez à Villeperdue, dans le 37".
"Le message n'est pas forcément élogieux pour la commune et ses habitants", déclare Roland Mariau, le maire de ce village d'un millier d'habitants situé en Indre-et-Loire. "J'ai donc décidé d'appeler les magasins Darty en leur demandant de faire un petit geste commercial".
L'agence de communication à l'origine de cette campagne publicitaire dit comprendre l'émoi des habitants.
"Ce doit être étonnant d'entendre à la radio le nom de son village, surtout si celui-ci n'est pas forcément touristique", explique Christophe Dufour, directeur de l'Agence H.
"Pour tout vous dire, nous cherchions un nom qui rappelait Trifouillis-les-Oies", du nom de ce village fictif symbolisant le trou perdu. "Mais cette fois-ci, contrairement aux autres campagnes publicitaires, nous voulions le nom d'un village existant réellement".
Alerté par le maire du village et par des Villeperdusiens via les réseaux sociaux, l'enseigne s'est dite prête à un geste commercial.
"Nous allons prolonger ce partenariat avec Villeperdue en offrant à l'école du village du matériel informatique et un rétroprojecteur", assure Laurent Grenier, directeur de la communication du groupe. "Si nous sommes régulièrement sollicités pour du matériel informatique, c'est la première fois qu'une telle aventure nous arrive."
Le maire, qui doit désormais finaliser ce contrat moral, se dit satisfait du dénouement.
"Ils ont présenté leurs excuses et fait un geste commercial sympathique, que demander de plus?", explique Roland Mariau.
"Avec notre nom, nous sommes habitués aux petites moqueries, comme ces gens qui disent que les habitants de Villeperdue s'appellent les introuvables".
P.
" ...Villeperdue, pas pour tout le monde, heureusement pour les Villeperdusiens ou plus simplement les introuvables !"
Une publicité moquant Villeperdue, un village du centre de la France, a suscité l'émotion de ses habitants, qui vont finalement bénéficier d'un geste commercial peu ordinaire.
Le message publicitaire, diffusé sur les radios au moment des soldes, expliquait qu'un célèbre distributeur d'électroménager pouvait livrer et installer à domicile, partout en France, et "même si vous habitez à Villeperdue, dans le 37".
"Le message n'est pas forcément élogieux pour la commune et ses habitants", déclare Roland Mariau, le maire de ce village d'un millier d'habitants situé en Indre-et-Loire. "J'ai donc décidé d'appeler les magasins Darty en leur demandant de faire un petit geste commercial".
L'agence de communication à l'origine de cette campagne publicitaire dit comprendre l'émoi des habitants.
"Ce doit être étonnant d'entendre à la radio le nom de son village, surtout si celui-ci n'est pas forcément touristique", explique Christophe Dufour, directeur de l'Agence H.
"Pour tout vous dire, nous cherchions un nom qui rappelait Trifouillis-les-Oies", du nom de ce village fictif symbolisant le trou perdu. "Mais cette fois-ci, contrairement aux autres campagnes publicitaires, nous voulions le nom d'un village existant réellement".
Alerté par le maire du village et par des Villeperdusiens via les réseaux sociaux, l'enseigne s'est dite prête à un geste commercial.
"Nous allons prolonger ce partenariat avec Villeperdue en offrant à l'école du village du matériel informatique et un rétroprojecteur", assure Laurent Grenier, directeur de la communication du groupe. "Si nous sommes régulièrement sollicités pour du matériel informatique, c'est la première fois qu'une telle aventure nous arrive."
Le maire, qui doit désormais finaliser ce contrat moral, se dit satisfait du dénouement.
"Ils ont présenté leurs excuses et fait un geste commercial sympathique, que demander de plus?", explique Roland Mariau.
"Avec notre nom, nous sommes habitués aux petites moqueries, comme ces gens qui disent que les habitants de Villeperdue s'appellent les introuvables".
P.
Elle a 100 ans... et est accro à la Nintendo DS !
Billet d'humeur journalistique :
" ... Une Nintendo pour chacun dans toutes les maisons de retraites plutôt que dans toutes les maternelles !"
Info Yahoo
Elle a 100 ans... et est accro à la Nintendo DS !
Une centenaire britannique s'avère être une véritable passionnée de la Nintendo DS.
Kathleen Connell, une mamie de 100 ans, passe son temps à jouer à la Nintendo DS. Et la console du fabriquant japonais lui permet d'entretenir toutes ses facultés mentales. La vidéo de son témoignage la montre en train de manier le stylet avec une dextérité déconcertante. "Je ne peux dire que du bien de cette console de jeux. Je ne sais pas ce que je ferais sans ma Nintendo", déclare-t-elle dans The Daily Mail. L'un de ses jeux favoris, The Brain Trainer, qui propose notamment des tests de QI, lui impute un âge mental de 64 ans. Elle possède d'ailleurs une dizaine de simulations : le Scrabble, le jeu de puzzle Zenses, My Word Coach, Family Fortunes, Puzzle mondial, l'Académie des Arts, etc. Peinture, jeux de réflexion ou tests cérébraux, tout ce qui maintient ses dispositions cérébrales en éveil est le bienvenu. C'est sa fille Pam qui lui a offert cette console de jeux pour ses 96 ans. On peut dire qu'elle a eu du flair.
Une passion numérique qui ravit évidemment le porte-parole de Nintendo. Relayé par la même source, il déclare être "enchanté que Mme Connell soit une fan de Nintendo et qu'elle aime les défis du programme d'entraînement cérébral. Ce jeu a eu du succès grâce à sa capacité à stimuler le cerveau et la mémoire en les sollicitant seulement quelques minutes par jour. Il est merveilleux qu'elle aiguise également ses compétences créatives sur Art Academy. Nos produits sont conçus pour être appréciés par tous les âges et toutes les générations et Mme Connell en est la preuve vivante." Elle est devenue surtout une ambassadrice de poids de la Nintendo DS.
P.
" ... Une Nintendo pour chacun dans toutes les maisons de retraites plutôt que dans toutes les maternelles !"
Info Yahoo
Elle a 100 ans... et est accro à la Nintendo DS !
Une centenaire britannique s'avère être une véritable passionnée de la Nintendo DS.
Kathleen Connell, une mamie de 100 ans, passe son temps à jouer à la Nintendo DS. Et la console du fabriquant japonais lui permet d'entretenir toutes ses facultés mentales. La vidéo de son témoignage la montre en train de manier le stylet avec une dextérité déconcertante. "Je ne peux dire que du bien de cette console de jeux. Je ne sais pas ce que je ferais sans ma Nintendo", déclare-t-elle dans The Daily Mail. L'un de ses jeux favoris, The Brain Trainer, qui propose notamment des tests de QI, lui impute un âge mental de 64 ans. Elle possède d'ailleurs une dizaine de simulations : le Scrabble, le jeu de puzzle Zenses, My Word Coach, Family Fortunes, Puzzle mondial, l'Académie des Arts, etc. Peinture, jeux de réflexion ou tests cérébraux, tout ce qui maintient ses dispositions cérébrales en éveil est le bienvenu. C'est sa fille Pam qui lui a offert cette console de jeux pour ses 96 ans. On peut dire qu'elle a eu du flair.
Une passion numérique qui ravit évidemment le porte-parole de Nintendo. Relayé par la même source, il déclare être "enchanté que Mme Connell soit une fan de Nintendo et qu'elle aime les défis du programme d'entraînement cérébral. Ce jeu a eu du succès grâce à sa capacité à stimuler le cerveau et la mémoire en les sollicitant seulement quelques minutes par jour. Il est merveilleux qu'elle aiguise également ses compétences créatives sur Art Academy. Nos produits sont conçus pour être appréciés par tous les âges et toutes les générations et Mme Connell en est la preuve vivante." Elle est devenue surtout une ambassadrice de poids de la Nintendo DS.
P.
18 Févr - Vedette
Dicton du jour :
« À la sainte Bernadette, souvent le soleil est de la fête. »
Dicton relooké :
" A la Sainte Bernardette,
c'est chouette,
tant que le soleil est la vedette ! "
P.
« À la sainte Bernadette, souvent le soleil est de la fête. »
Dicton relooké :
" A la Sainte Bernardette,
c'est chouette,
tant que le soleil est la vedette ! "
P.
vendredi 17 février 2012
Une troupe de babouins détrousse les voyageurs
Billet d'humeur journalistique :
" ... et pourquoi les babouins ne pourraient-ils pas profiter pour leur compte de la manne des touristes ! "
Info Voilà
Une troupe de babouins détrousse les voyageurs entre le Zimbabwe et la Zambie
Une troupe de babouins détrousseurs de sacs et pilleurs de camions menace la sécurité des voyageurs à l'un des postes-frontière entre le Zimbabwe et la Zambie, rapporte mardi le quotidien d'Harare Daily News.
"Les babouins sont un problème qu'il faut traiter, parce qu'ils détruisent les biens des voyageurs", déclare au Daily News Tichaona Phiri, chef du poste-frontière de Chirundu, au Nord du lac Kariba.
"Il leur arrive de mordre ou de frapper les gens au visage, si on essaie de défendre ses biens. Ils peuvent aussi arracher les sacs des femmes et même détruire des voitures lorsqu'ils sont à la recherche de nourriture", ajoute ce responsable local.
Les singes savent également dérober des sacs de maïs sur les camions qui s'arrêtent au poste-frontière. "Compte tenu de leur nombre, il est très difficile de les contrôler", ajoute M. Phiri, "et ils se comportent comme des humains, ils savent très bien tricher et dissimuler".
Les babouins, des singes qui peuvent atteindre 40 kg, peuvent devenir agressifs avec les humains dès lors qu'ils sont à la recherche de nourriture.
P.
" ... et pourquoi les babouins ne pourraient-ils pas profiter pour leur compte de la manne des touristes ! "
Info Voilà
Une troupe de babouins détrousse les voyageurs entre le Zimbabwe et la Zambie
Une troupe de babouins détrousseurs de sacs et pilleurs de camions menace la sécurité des voyageurs à l'un des postes-frontière entre le Zimbabwe et la Zambie, rapporte mardi le quotidien d'Harare Daily News.
"Les babouins sont un problème qu'il faut traiter, parce qu'ils détruisent les biens des voyageurs", déclare au Daily News Tichaona Phiri, chef du poste-frontière de Chirundu, au Nord du lac Kariba.
"Il leur arrive de mordre ou de frapper les gens au visage, si on essaie de défendre ses biens. Ils peuvent aussi arracher les sacs des femmes et même détruire des voitures lorsqu'ils sont à la recherche de nourriture", ajoute ce responsable local.
Les singes savent également dérober des sacs de maïs sur les camions qui s'arrêtent au poste-frontière. "Compte tenu de leur nombre, il est très difficile de les contrôler", ajoute M. Phiri, "et ils se comportent comme des humains, ils savent très bien tricher et dissimuler".
Les babouins, des singes qui peuvent atteindre 40 kg, peuvent devenir agressifs avec les humains dès lors qu'ils sont à la recherche de nourriture.
P.
17 Févr - Froid
Dicton du jour :
« À la saint Alexis, foin occis. »
Dicton ré-arrangé :
" A la Saint Alexis,
souvent le froid asphyxie
et l'apoplexie sévit "
P.
« À la saint Alexis, foin occis. »
Dicton ré-arrangé :
" A la Saint Alexis,
souvent le froid asphyxie
et l'apoplexie sévit "
P.
jeudi 16 février 2012
Histoire de l'homme : nous sommes tous des Arabes !
Billet d'humeur journalistique :
" .... c'est un article qui va faire plaisir à Le Pen !"
Info Le Point
Histoire de l'homme : nous sommes tous des Arabes !
Après sa sortie d'Afrique, l'espèce humaine a fait une étape dans la péninsule arabique.
Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d'ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l'humanité aurait donc fait une étape dans l'Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C'est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s'était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.
Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d'un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter. Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l'ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d'individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d'années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l'être. L'étude est parue dans American Journal of Human Genetics.
P.
" .... c'est un article qui va faire plaisir à Le Pen !"
Info Le Point
Histoire de l'homme : nous sommes tous des Arabes !
Après sa sortie d'Afrique, l'espèce humaine a fait une étape dans la péninsule arabique.
Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d'ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l'humanité aurait donc fait une étape dans l'Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C'est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s'était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.
Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d'un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter. Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l'ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d'individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d'années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l'être. L'étude est parue dans American Journal of Human Genetics.
P.
16 Févr - Soleil
Dicton du jour :
« À la Sainte-Julienne, faut toujours que le soleil vienne ; s'il luit peu, bon pour les bœufs, s'il luit prou, c'est un bon août. »
Dicton revu :
" A la Sainte Julienne,
le soleil ne doit pas se faire l'arlésienne
s'il luit peu, bon pour les boeufs
s'il luit beaucoup, bon pour août "
P.
« À la Sainte-Julienne, faut toujours que le soleil vienne ; s'il luit peu, bon pour les bœufs, s'il luit prou, c'est un bon août. »
Dicton revu :
" A la Sainte Julienne,
le soleil ne doit pas se faire l'arlésienne
s'il luit peu, bon pour les boeufs
s'il luit beaucoup, bon pour août "
P.
mercredi 15 février 2012
Le site qui donne des couleurs aux photos du passé
Billet d'humeur journalistique et artistique :
" ... ah! le charme des photos noir & blanc ou tout le monde est beau! du coup, je ne sais pas si c'est vraiment une avancée technologique !"
Info MinuteBuzz
Le site qui donne des couleurs aux photos du passé
Donner des couleurs à l’Histoire apparaît comme le leitmotiv des entreprises de colorisation des documents historiques. C’est dans cette lignée que se situe le site suédois Förr I Färg (couleur d’antan), qui se propose de restaurer et coloriser vos anciennes photos en noir et blanc. Les scènes ou les personnalités les plus célèbres de notre mémoire collective retrouvent alors une actualité parfois terrifiante. Le passé se retrouve ainsi moins distancié, tout simplement plus réel. Outre les styles vestimentaires qui ne trompent pas sur l’époque figée par la photographie, les détails jusqu’alors inaperçus confèrent aux modèles une sorte de résurrection. Il en ira de même avec vos vieilles photos de famille…
P.
" ... ah! le charme des photos noir & blanc ou tout le monde est beau! du coup, je ne sais pas si c'est vraiment une avancée technologique !"
Info MinuteBuzz
Le site qui donne des couleurs aux photos du passé
Donner des couleurs à l’Histoire apparaît comme le leitmotiv des entreprises de colorisation des documents historiques. C’est dans cette lignée que se situe le site suédois Förr I Färg (couleur d’antan), qui se propose de restaurer et coloriser vos anciennes photos en noir et blanc. Les scènes ou les personnalités les plus célèbres de notre mémoire collective retrouvent alors une actualité parfois terrifiante. Le passé se retrouve ainsi moins distancié, tout simplement plus réel. Outre les styles vestimentaires qui ne trompent pas sur l’époque figée par la photographie, les détails jusqu’alors inaperçus confèrent aux modèles une sorte de résurrection. Il en ira de même avec vos vieilles photos de famille…
P.
15 Févr - Pipe
Dicton du jour :
« À la Saint-Claude, regarde ton seau, tu ne le verras pas plus haut. »
« Au mois d’avril, le blé est en épi, au mois de mai, il est en lait, à la saint Urbain (19 décembre), il est en grain, à la saint Claude, le froment ôte sa caule. »
Dicton refabriqué :
" A la Saint Claude,
la fabrication des pipes se fait chaude "
P.
« À la Saint-Claude, regarde ton seau, tu ne le verras pas plus haut. »
« Au mois d’avril, le blé est en épi, au mois de mai, il est en lait, à la saint Urbain (19 décembre), il est en grain, à la saint Claude, le froment ôte sa caule. »
Dicton refabriqué :
" A la Saint Claude,
la fabrication des pipes se fait chaude "
P.
mardi 14 février 2012
Demandez votre amie en mariage... chez Pizza Hut
Billet d'humeur journalistique et amoureux (?) :
" ...... est-ce vraiment gagné le gros lot ? !!!!"
Info Gentside
Demandez votre amie en mariage... chez Pizza Hut
A l'approche de la célèbre fête des amoureux, les enseignes ne tarissent pas d'idées romantiques. C'est le cas de la chaîne de restauration Pizza Hut qui propose un pack de 10 010 dollars et qui s'occupe de vous toute la soirée.
Pizza Hut veut également fêter la Saint-Valentin à sa manière. A savoir, en sortant le grand jeu pour les femmes américaines. La branche USA de la chaîne de restauration propose à dix inconnus de profiter de leur pack amoureux.
Ainsi, les "chanceux" trouveront une bague avec un rubis rouge, un service de limousine, des fleurs, un feux d'artifice, un photographe... et un cameraman, histoire de bien faire les choses. Tout ceci à sans doute le pouvoir de faire rêver certains mais le prix devrait en faire déchanter plus d'un : 10 010 dollars soit environ 7 500 euros, selon The Dailymail. Les dix dollars faisant référence au prix d'un menu classique...
Il y a également certaines conditions à respecter : les packs sont limités à un par personne et, pour montrer patte blanche, la chaîne assure que si le pack n'est pas utilisé avant le 31 mars, les acheteurs sont sûrs de récupérer l'intégralité de la somme
P.
" ...... est-ce vraiment gagné le gros lot ? !!!!"
Info Gentside
Demandez votre amie en mariage... chez Pizza Hut
A l'approche de la célèbre fête des amoureux, les enseignes ne tarissent pas d'idées romantiques. C'est le cas de la chaîne de restauration Pizza Hut qui propose un pack de 10 010 dollars et qui s'occupe de vous toute la soirée.
Pizza Hut veut également fêter la Saint-Valentin à sa manière. A savoir, en sortant le grand jeu pour les femmes américaines. La branche USA de la chaîne de restauration propose à dix inconnus de profiter de leur pack amoureux.
Ainsi, les "chanceux" trouveront une bague avec un rubis rouge, un service de limousine, des fleurs, un feux d'artifice, un photographe... et un cameraman, histoire de bien faire les choses. Tout ceci à sans doute le pouvoir de faire rêver certains mais le prix devrait en faire déchanter plus d'un : 10 010 dollars soit environ 7 500 euros, selon The Dailymail. Les dix dollars faisant référence au prix d'un menu classique...
Il y a également certaines conditions à respecter : les packs sont limités à un par personne et, pour montrer patte blanche, la chaîne assure que si le pack n'est pas utilisé avant le 31 mars, les acheteurs sont sûrs de récupérer l'intégralité de la somme
P.
Les toutous aussi défilent au carnaval de Rio.
Billet d'humeur journalistique et canine :
".... et qu'est-ce que vous croyez nous aussi on déhanche du cul sur du chachachat ! "
Info Voilà
Brésil: les toutous aussi défilent au carnaval de Rio.
Samba, déguisements... et aboiements de toutes sortes: les toutous aussi ont défilé à Rio de Janeiro à l'approche du carnaval et ils ont envahi la fameuse plage de Copacabana avec leurs maîtres.
Des familles entières sont venues dimanche sur le bord de mer avec leur chien.
De race, taille et couleur diverses, ils avaient en commun d'être tous déguisés pour ce "défilé des animaux".
Ca et là un chat ou un oiseau en cage participaient au défilé, mais la gente canine était majorité écrasante.
"Chien carioca, maître carioca, impossible de ne pas aimer le carnaval", a déclaré tout sourire à l'AFP Mario Porto, 47 ans, avec Tati, une petite Yorkshire déguisée en danseuse, dans les bras.
"Je viens depuis six ans (à ce défilé). C'est différent, créatif et je m'amuse bien", a-t-il dit alors que d'autres participants prenaient Tati en photo.
A quelque mètres de là, dans une poussette "en raison du goudron trop chaud pour ses petites pattes", le caniche Dick paradait déguisé en lutin tandis que Lady Katy, un bichon maltais, était déguisée en fée.
"Je les amène tous les ans et leur mets toujours un costume différent. J'adore!", a dit leur maîtresse Rosa Faguri, 43 ans.
Un des organisateurs, Felipe Moreira, a expliqué que le "bloco" (carnaval de rue) des animaux en était à sa dixième édition.
"Les animaux font partie de la famille, et pour eux c'est une fête, ils sont en contact avec d'autres animaux et ils adorent", a-t-il affirmé.
Comme dans tout le Brésil, à Rio de Janeiro la passion du foot est infinie et beaucoup de toutous revêtent les maillots de l'équipe de coeur de leur maîtres: Flamengo aux couleurs rouge et noir, le tricolore (grenat, vert et blanc) de Fluminense, ou encore Vasco (noir et blanc avec la croix de Malte).
Le "bloco" des animaux est l'un des centaines de défilés populaires organisés dans les rues de la ville avant le carnaval dont l'apothéose sont les luxueux défilés de écoles de Samba sur le Sambodrome.
P.
".... et qu'est-ce que vous croyez nous aussi on déhanche du cul sur du chachachat ! "
Info Voilà
Brésil: les toutous aussi défilent au carnaval de Rio.
Samba, déguisements... et aboiements de toutes sortes: les toutous aussi ont défilé à Rio de Janeiro à l'approche du carnaval et ils ont envahi la fameuse plage de Copacabana avec leurs maîtres.
Des familles entières sont venues dimanche sur le bord de mer avec leur chien.
De race, taille et couleur diverses, ils avaient en commun d'être tous déguisés pour ce "défilé des animaux".
Ca et là un chat ou un oiseau en cage participaient au défilé, mais la gente canine était majorité écrasante.
"Chien carioca, maître carioca, impossible de ne pas aimer le carnaval", a déclaré tout sourire à l'AFP Mario Porto, 47 ans, avec Tati, une petite Yorkshire déguisée en danseuse, dans les bras.
"Je viens depuis six ans (à ce défilé). C'est différent, créatif et je m'amuse bien", a-t-il dit alors que d'autres participants prenaient Tati en photo.
A quelque mètres de là, dans une poussette "en raison du goudron trop chaud pour ses petites pattes", le caniche Dick paradait déguisé en lutin tandis que Lady Katy, un bichon maltais, était déguisée en fée.
"Je les amène tous les ans et leur mets toujours un costume différent. J'adore!", a dit leur maîtresse Rosa Faguri, 43 ans.
Un des organisateurs, Felipe Moreira, a expliqué que le "bloco" (carnaval de rue) des animaux en était à sa dixième édition.
"Les animaux font partie de la famille, et pour eux c'est une fête, ils sont en contact avec d'autres animaux et ils adorent", a-t-il affirmé.
Comme dans tout le Brésil, à Rio de Janeiro la passion du foot est infinie et beaucoup de toutous revêtent les maillots de l'équipe de coeur de leur maîtres: Flamengo aux couleurs rouge et noir, le tricolore (grenat, vert et blanc) de Fluminense, ou encore Vasco (noir et blanc avec la croix de Malte).
Le "bloco" des animaux est l'un des centaines de défilés populaires organisés dans les rues de la ville avant le carnaval dont l'apothéose sont les luxueux défilés de écoles de Samba sur le Sambodrome.
P.
14 Févr - Amoureux
Dicton du jour :
« Vigneron à la Saint-Valentin, doit avoir serpette en main. »
Dicton retravaillé :
" A la Saint Valentin,
les vignerons ont leur destin,
entre leurs mains,
s'ils veulent un gros butin !"
et pour tous les amoureux :
"Tu es bien crétin
si tu cours les magasins
le jour de la Saint Valentin !"
P.
« Vigneron à la Saint-Valentin, doit avoir serpette en main. »
Dicton retravaillé :
" A la Saint Valentin,
les vignerons ont leur destin,
entre leurs mains,
s'ils veulent un gros butin !"
et pour tous les amoureux :
"Tu es bien crétin
si tu cours les magasins
le jour de la Saint Valentin !"
P.
lundi 13 février 2012
Orthographe : "Et si on écrivait 'des chevaus' ?"
Billet d'humeur journalistique :
" ....et si on écrivait seulement en sms ? !!!! "
Info Le Point
Orthographe : "Et si on écrivait 'des chevaus' ?"
Les petits Français ne savent plus écrire correctement, dit-on. Qu'importe, simplifions les règles et devenons des as de l'orthographe.
Le linguiste Claude Gruaz n'est pas de ceux qui voudraient écrire comme on parle. Loin de là. Il aimerait juste comprendre au nom de quoi, en France, l'orthographe n'évolue pas au même titre que la langue. L'Accord du participe passé (éditions Lambert-Lucas, 2012) est le quatrième volet d'une oeuvre qui promet d'être colossale et milite pour une réforme de l'orthographe. Révolutionnaire ? Pas tant que ça. Entretien avec un défenseur de la simplicité.
Pourquoi vouloir réformer l'orthographe?
Car elle est aujourd'hui bien trop compliquée. C'est bien simple, on enseigne à l'école les règles et les exceptions comme des lois immuables et gravées dans le marbre. Il faut apprendre par coeur, c'est comme ça et pas autrement. Et lorsqu'au lycée on aborde les oeuvres classiques de Rabelais ou de Voltaire, c'est sous leur forme actuelle, sans avoir aucune idée de ce que ça pouvait donner à l'époque. Or, si l'on prend le temps d'ouvrir le texte original des Essais de Montaigne, on s'aperçoit que "gain" s'écrit "gaing", autrui "autruy", commodités "commoditez" et plutôt "plustost" ! Je pense qu'il ne serait pas inutile de montrer aux lycéens comment les mots s'écrivaient dans le texte.
Quel intérêt, puisqu'on ne les écrit plus ainsi ?
Cela empêcherait tout simplement les gens de penser que l'orthographe française telle qu'on la pratique a des centaines d'années d'existence. Qui se pose aujourd'hui la question de savoir d'où vient l'orthographe ? Si on s'interrogeait un peu plus souvent à ce propos, on comprendrait que l'évolution orthographique est loin d'être un crime. Les règles que l'on enseigne actuellement ne datent pas du Moyen Âge, loin s'en faut, mais de la loi Guizot de 1833. Notre orthographe est celle de la Restauration, de Napoléon III, qui est revenue sur des avancées antérieures. La langue a le droit d'évoluer, c'est son essence même. Alors, pourquoi pas l'orthographe ?
P.
" ....et si on écrivait seulement en sms ? !!!! "
Info Le Point
Orthographe : "Et si on écrivait 'des chevaus' ?"
Les petits Français ne savent plus écrire correctement, dit-on. Qu'importe, simplifions les règles et devenons des as de l'orthographe.
Le linguiste Claude Gruaz n'est pas de ceux qui voudraient écrire comme on parle. Loin de là. Il aimerait juste comprendre au nom de quoi, en France, l'orthographe n'évolue pas au même titre que la langue. L'Accord du participe passé (éditions Lambert-Lucas, 2012) est le quatrième volet d'une oeuvre qui promet d'être colossale et milite pour une réforme de l'orthographe. Révolutionnaire ? Pas tant que ça. Entretien avec un défenseur de la simplicité.
Pourquoi vouloir réformer l'orthographe?
Car elle est aujourd'hui bien trop compliquée. C'est bien simple, on enseigne à l'école les règles et les exceptions comme des lois immuables et gravées dans le marbre. Il faut apprendre par coeur, c'est comme ça et pas autrement. Et lorsqu'au lycée on aborde les oeuvres classiques de Rabelais ou de Voltaire, c'est sous leur forme actuelle, sans avoir aucune idée de ce que ça pouvait donner à l'époque. Or, si l'on prend le temps d'ouvrir le texte original des Essais de Montaigne, on s'aperçoit que "gain" s'écrit "gaing", autrui "autruy", commodités "commoditez" et plutôt "plustost" ! Je pense qu'il ne serait pas inutile de montrer aux lycéens comment les mots s'écrivaient dans le texte.
Quel intérêt, puisqu'on ne les écrit plus ainsi ?
Cela empêcherait tout simplement les gens de penser que l'orthographe française telle qu'on la pratique a des centaines d'années d'existence. Qui se pose aujourd'hui la question de savoir d'où vient l'orthographe ? Si on s'interrogeait un peu plus souvent à ce propos, on comprendrait que l'évolution orthographique est loin d'être un crime. Les règles que l'on enseigne actuellement ne datent pas du Moyen Âge, loin s'en faut, mais de la loi Guizot de 1833. Notre orthographe est celle de la Restauration, de Napoléon III, qui est revenue sur des avancées antérieures. La langue a le droit d'évoluer, c'est son essence même. Alors, pourquoi pas l'orthographe ?
P.
13 Févr - Nuages
Dicton du jour :
« De sainte Béatrice la nuée assure six semaines mouillées »
Dicton revu :
" A la Sainte Béatrice
la nuée est salvatrice "
P.
« De sainte Béatrice la nuée assure six semaines mouillées »
Dicton revu :
" A la Sainte Béatrice
la nuée est salvatrice "
P.
dimanche 12 février 2012
Saurez-vous reconnaître ces animaux en origamis?
Billet d'humeur journalistique :
"......oui je saurais reconnaitre le chasseur !"
Info Gentside
Saurez-vous reconnaître ces animaux en origamis?
Véritable magicien du paper art, l'artiste Jeremy Kool produit de très... cool origamis qui peuvent prendre tour à tour la forme de buffles, de sangliers, de renards ou encore d'insectes.
L'artiste et graphiste australien Jeremy Kool est l'auteur d'une très belle collection d'origamis. Passé maitre dans l'art de réaliser des origamis d'une très grande complexité, il ne se contente pas de fabriquer de jolies cocottes en papier, mais crée un véritable bestiaire plus vrai que nature composé d'animaux aussi divers que variés.
À travers le talent et l'imagination de l'artiste, des phacochères, des poissons, des renards ou encore des hiboux aux plumages et pelages multicolores prennent vie. Intitulée The Paper Fox, cette magnifique série d'origamis permettra dans un second temps à l'artiste de réaliser un storybook alternatif pour iPad et autres tablettes numériques. À noter que pour réaliser son projet ambitieux, Jeremy Kool a besoin d'amasser une certaine somme d'argent que la vente de ses origamis pourrait aisément couvrir.
P.
"......oui je saurais reconnaitre le chasseur !"
Info Gentside
Saurez-vous reconnaître ces animaux en origamis?
Véritable magicien du paper art, l'artiste Jeremy Kool produit de très... cool origamis qui peuvent prendre tour à tour la forme de buffles, de sangliers, de renards ou encore d'insectes.
L'artiste et graphiste australien Jeremy Kool est l'auteur d'une très belle collection d'origamis. Passé maitre dans l'art de réaliser des origamis d'une très grande complexité, il ne se contente pas de fabriquer de jolies cocottes en papier, mais crée un véritable bestiaire plus vrai que nature composé d'animaux aussi divers que variés.
À travers le talent et l'imagination de l'artiste, des phacochères, des poissons, des renards ou encore des hiboux aux plumages et pelages multicolores prennent vie. Intitulée The Paper Fox, cette magnifique série d'origamis permettra dans un second temps à l'artiste de réaliser un storybook alternatif pour iPad et autres tablettes numériques. À noter que pour réaliser son projet ambitieux, Jeremy Kool a besoin d'amasser une certaine somme d'argent que la vente de ses origamis pourrait aisément couvrir.
P.
12 Févr - Tartes
Dicton du jour :
« Soleil qui rit pour sainte Eulalie fait des pommes et des prunes mais pas de vin. »
Dicton recuisiné :
"A la Sainte Eulalie,
Soleil qui rit fait des tartes sur la table,
Soleil qui rit ne fait pas de vin buvable!"
P.
« Soleil qui rit pour sainte Eulalie fait des pommes et des prunes mais pas de vin. »
Dicton recuisiné :
"A la Sainte Eulalie,
Soleil qui rit fait des tartes sur la table,
Soleil qui rit ne fait pas de vin buvable!"
P.
samedi 11 février 2012
La Joconde avait une "soeur"
Billet d'humeur journalistique et picturale :
"..... à quand le frère ?"
Info Europe 1
La Joconde avait une "soeur"
Les restaurateurs du musée du Prado à Madrid ont fait une surprenante découverte mercredi.
La "Mona Lisa du Prado" n'est pas une banale copie de la célèbre Joconde, contrairement à ce qu'ont longtemps cru les spécialistes. Ces derniers ont annoncé avoir identifié en elle mercredi "la première copie connue" du tableau de Léonard de Vinci.
Cette découverte a été faite alors que le tableau était en cours de restauration. Un examen approfondi, rendu possible avec des techniques qui n'existaient pas à l'époque de sa découverte, a permis de découvrir que sous le fond noir se cachait le même paysage que derrière la "vraie" Mona Lisa.
"C'est très, très proche de ce à quoi la peinture ressemblait en 1505", a expliqué le conservateur de l'Art italien du musée, Miguel Falomir, interrogé par l'AFP. "Le tableau est étonnamment bien conservé. On ne sait pas pourquoi, au 18e siècle, quelqu'un a recouvert l'arrière-plan. C'est peut-être lié aux goûts esthétiques de l'époque", a-t-il ajouté.
Qui a peint la copie ?
Une autre piste a longtemps mené les spécialistes sur le mauvais chemin : la nature du support. Si la Joconde est peinte sur noyer, un support récurrent chez les Florentins à l'époque, le tableau découvert au Prado est lui peint sur chêne, un bois peu utilisé en Italie.
Mais qui est donc l'auteur de cette copie presque plus vraie que l'originale ? Les spécialistes hésitent entre deux disciples du génie Léonard de Vinci : Andrea Salai, futur amant de Vinci, ou Francesco Melzi.
P.
"..... à quand le frère ?"
Info Europe 1
La Joconde avait une "soeur"
Les restaurateurs du musée du Prado à Madrid ont fait une surprenante découverte mercredi.
La "Mona Lisa du Prado" n'est pas une banale copie de la célèbre Joconde, contrairement à ce qu'ont longtemps cru les spécialistes. Ces derniers ont annoncé avoir identifié en elle mercredi "la première copie connue" du tableau de Léonard de Vinci.
Cette découverte a été faite alors que le tableau était en cours de restauration. Un examen approfondi, rendu possible avec des techniques qui n'existaient pas à l'époque de sa découverte, a permis de découvrir que sous le fond noir se cachait le même paysage que derrière la "vraie" Mona Lisa.
"C'est très, très proche de ce à quoi la peinture ressemblait en 1505", a expliqué le conservateur de l'Art italien du musée, Miguel Falomir, interrogé par l'AFP. "Le tableau est étonnamment bien conservé. On ne sait pas pourquoi, au 18e siècle, quelqu'un a recouvert l'arrière-plan. C'est peut-être lié aux goûts esthétiques de l'époque", a-t-il ajouté.
Qui a peint la copie ?
Une autre piste a longtemps mené les spécialistes sur le mauvais chemin : la nature du support. Si la Joconde est peinte sur noyer, un support récurrent chez les Florentins à l'époque, le tableau découvert au Prado est lui peint sur chêne, un bois peu utilisé en Italie.
Mais qui est donc l'auteur de cette copie presque plus vraie que l'originale ? Les spécialistes hésitent entre deux disciples du génie Léonard de Vinci : Andrea Salai, futur amant de Vinci, ou Francesco Melzi.
P.
11 Févr - Baisemain
Dicton du jour :
« Séverin et ses coquins font tout geler sur leur chemin. »
« À la saint Séverin, la neige est en chemin »
Dicton refroidit :
"A la Saint Séverin,
la neige vous fait le baisemain !"
P.
« Séverin et ses coquins font tout geler sur leur chemin. »
« À la saint Séverin, la neige est en chemin »
Dicton refroidit :
"A la Saint Séverin,
la neige vous fait le baisemain !"
P.
vendredi 10 février 2012
Des "cercueils fous" pour une mort plus gaie
Billet d'humeur journalistique :
" ... et pourquoi la mort ne se déguiserait pas en couleur multicolore !"
Info Voilà
Des "cercueils fous" pour une mort plus gaie
Malcolm Brocklehurst a deux passions, le club de foot de Blackpool et son ancien métier d'ingénieur aéronautique, et il n'a pas l'intention d'y renoncer dans l'au-delà. Alors il s'est fait construire un cercueil en forme d'avion, orné du blason du club et peint à ses couleurs, orange vif.
"Je veux des funérailles gaies. Je ne veux pas que les gens pleurent", explique ce retraité de 77 ans devant son cercueil, exposé à Londres au salon "La mort: un festival pour les vivants".
Les ailes de l'avion sont amovibles pour faciliter l'accès au crématorium où il a demandé à faire son entrée au cri de "parez au décollage".
Cette bière est l'oeuvre de Crazy Coffins ("Cercueils fous"), entreprise de pompes funèbres de Nottingham qui s'est reconvertie dans ce nouveau créneau dans les années 90 quand ses clients ont commencé à demander des cercueils personnalisés.
"Je pense que nous sommes en mesure de répondre à toutes les demandes", explique David Crampton, son directeur général.
"Les clients sont les concepteurs: nous ne faisons que réaliser leur souhait. Nous leur disons: pour cette ultime décision, vous avez le choix".
L'entreprise a déjà à son actif des cercueils et des urnes funéraires en forme de drakkars, de voitures (notamment une Rolls Royce avec des roues qui tournent), de skateboards, de bouchons ou encore de cerfs-volants.
La plupart de ses créations sont maintenant six pieds sous terre, mais certaines ont été commandées de leur vivant par des clients qui ont planifié leurs obsèques.
Comme ce cercueil brillant en forme de chausson de danse et orné de taffetas, propriété d'une infirmière à la retraite.
"Mon grand-père, pianiste, travaillait régulièrement à l'école de danse, et l'un de mes tout premiers souvenirs, c'est moi, assise à côté du piano, en train de regarder évoluer les chaussons roses", raconte Pat Cox, 70 ans.
"Choisir quelque chose de léger brise les tabous", assure-t-elle.
Car les Britanniques, soulignent les entrepreneurs de pompes funèbres présents au salon, ont du mal à parler avec leur famille de leur enterrement.
"Nous sommes une nation réservée", confirme Andy Derriman, qui exerce à Brighton. "Personne ne pense à ses funérailles avant qu'il ne soit trop tard. Nous ferions mieux de prendre le temps d'y réfléchir".
Le directeur de Crazy Coffins, John Gill, le confirme: la plupart des commandes sont passées par les familles après le décès d'un proche, ce qui laisse très peu de temps pour la réalisation. Aussi l'entreprise, sur son site, exhorte-t-elle ses clients à "acheter d'abord et à mourir plus tard".
Brian Holden, 83 ans, lui, a commencé à concevoir son cercueil après la mort de sa femme, pour s'occuper.
Le couple adorait les trains et prenait souvent la "Northern Belle", une ligne touristique de trains de luxe en Grande-Bretagne. Il a voulu que son cercueil soit à l'image d'un des wagons.
"J'ai réservé six trajets cette année", explique le vieil homme. "Un de ces jours, j'en raterai un, mais je pourrai alors monter dans ce wagon-là. Comme ça, je suis sûr de finir dans la +Northern Belle+."
Pour Crazy Coffins, le succès grandissant de ses créations est le signe que les gens commencent malgré tout à être plus enclins à réfléchir à leur fin. Comme la foule des visiteurs au salon qui se font prendre en photos devant les cercueils, quand ils ne s'étendent pas dedans.
Les clients sont d'ailleurs de plus en plus créatifs, note David Crampton.
A l'instar de ce jeune homme atteint du sida, qui avait commandé une bière avec un plateau en verre de façon à pouvoir l'utiliser comme table basse jusqu'à sa mort.
"C'était sa façon de dire à ses amis: ne vous faites pas de souci pour moi, c'est là que je serai".
P.
" ... et pourquoi la mort ne se déguiserait pas en couleur multicolore !"
Info Voilà
Des "cercueils fous" pour une mort plus gaie
Malcolm Brocklehurst a deux passions, le club de foot de Blackpool et son ancien métier d'ingénieur aéronautique, et il n'a pas l'intention d'y renoncer dans l'au-delà. Alors il s'est fait construire un cercueil en forme d'avion, orné du blason du club et peint à ses couleurs, orange vif.
"Je veux des funérailles gaies. Je ne veux pas que les gens pleurent", explique ce retraité de 77 ans devant son cercueil, exposé à Londres au salon "La mort: un festival pour les vivants".
Les ailes de l'avion sont amovibles pour faciliter l'accès au crématorium où il a demandé à faire son entrée au cri de "parez au décollage".
Cette bière est l'oeuvre de Crazy Coffins ("Cercueils fous"), entreprise de pompes funèbres de Nottingham qui s'est reconvertie dans ce nouveau créneau dans les années 90 quand ses clients ont commencé à demander des cercueils personnalisés.
"Je pense que nous sommes en mesure de répondre à toutes les demandes", explique David Crampton, son directeur général.
"Les clients sont les concepteurs: nous ne faisons que réaliser leur souhait. Nous leur disons: pour cette ultime décision, vous avez le choix".
L'entreprise a déjà à son actif des cercueils et des urnes funéraires en forme de drakkars, de voitures (notamment une Rolls Royce avec des roues qui tournent), de skateboards, de bouchons ou encore de cerfs-volants.
La plupart de ses créations sont maintenant six pieds sous terre, mais certaines ont été commandées de leur vivant par des clients qui ont planifié leurs obsèques.
Comme ce cercueil brillant en forme de chausson de danse et orné de taffetas, propriété d'une infirmière à la retraite.
"Mon grand-père, pianiste, travaillait régulièrement à l'école de danse, et l'un de mes tout premiers souvenirs, c'est moi, assise à côté du piano, en train de regarder évoluer les chaussons roses", raconte Pat Cox, 70 ans.
"Choisir quelque chose de léger brise les tabous", assure-t-elle.
Car les Britanniques, soulignent les entrepreneurs de pompes funèbres présents au salon, ont du mal à parler avec leur famille de leur enterrement.
"Nous sommes une nation réservée", confirme Andy Derriman, qui exerce à Brighton. "Personne ne pense à ses funérailles avant qu'il ne soit trop tard. Nous ferions mieux de prendre le temps d'y réfléchir".
Le directeur de Crazy Coffins, John Gill, le confirme: la plupart des commandes sont passées par les familles après le décès d'un proche, ce qui laisse très peu de temps pour la réalisation. Aussi l'entreprise, sur son site, exhorte-t-elle ses clients à "acheter d'abord et à mourir plus tard".
Brian Holden, 83 ans, lui, a commencé à concevoir son cercueil après la mort de sa femme, pour s'occuper.
Le couple adorait les trains et prenait souvent la "Northern Belle", une ligne touristique de trains de luxe en Grande-Bretagne. Il a voulu que son cercueil soit à l'image d'un des wagons.
"J'ai réservé six trajets cette année", explique le vieil homme. "Un de ces jours, j'en raterai un, mais je pourrai alors monter dans ce wagon-là. Comme ça, je suis sûr de finir dans la +Northern Belle+."
Pour Crazy Coffins, le succès grandissant de ses créations est le signe que les gens commencent malgré tout à être plus enclins à réfléchir à leur fin. Comme la foule des visiteurs au salon qui se font prendre en photos devant les cercueils, quand ils ne s'étendent pas dedans.
Les clients sont d'ailleurs de plus en plus créatifs, note David Crampton.
A l'instar de ce jeune homme atteint du sida, qui avait commandé une bière avec un plateau en verre de façon à pouvoir l'utiliser comme table basse jusqu'à sa mort.
"C'était sa façon de dire à ses amis: ne vous faites pas de souci pour moi, c'est là que je serai".
P.
10 Févr - Performant
Dicton du jour :
« Bise et grand vent à la saint Amand font mal au froment. »
Dicton retraduit :
" A la Saint Amand,
bise et grand vent
se font performants "
P.
« Bise et grand vent à la saint Amand font mal au froment. »
Dicton retraduit :
" A la Saint Amand,
bise et grand vent
se font performants "
P.
9 Févr - Décline
Dicton du jour :
« À la Sainte-Apolline, présage certain, l'hiver s'achemine ou touche à sa fin. »
« À la Sainte-Apolline, bien souvent l'hiver nous quitte »
Dicton refondu :
" A la Sainte Apolline,
l'hiver décline "
P.
« À la Sainte-Apolline, présage certain, l'hiver s'achemine ou touche à sa fin. »
« À la Sainte-Apolline, bien souvent l'hiver nous quitte »
Dicton refondu :
" A la Sainte Apolline,
l'hiver décline "
P.
8 Févr - Câline
Dicton du jour :
« À la sainte Jacqueline, froid et bruine. »
Dicton revu :
" A la Sainte Jacqueline,
fraîcheur câline "
P.
« À la sainte Jacqueline, froid et bruine. »
Dicton revu :
" A la Sainte Jacqueline,
fraîcheur câline "
P.
mardi 7 février 2012
Ce chien est captivé par la télévision
Billet d'humeur journalistique :
" ... Et pourquoi Médor ne comprendrait-il pas ce qu'il voit? "
Info Genstside
Ce chien est captivé par la télévision
Ce chien n'a besoin que d'un bon film comme Marmaduke pour se détendre. L'animal est tranquillement installé sur le canapé devant la télévision et regarde attentivement l'écran.
Ce chien est confortablement installé sur son canapé et regarde Marmaduke, un film sur ses congénères. Il fixe l'écran avec tellement d'attention qu'il semble tout comprendre de ce qui se déroule à l'écran.
Pendant que son maître utilise l'ordinateur, le chien a la télévision pour lui tout seul et sait en profiter. D'ailleurs, la télécommande est posée sur la table basse près de lui... En voyant son animal aussi captivé par le petit écran, cela a également étonné son propriétaire sans doute pas habitué à le voir ainsi. Il n'a d'ailleurs pas pu s'empêcher d'en garder un souvenir.
C'est donc une passion très récente pour la télévision qui grandit chez cet animal. D'ailleurs, le chien est tellement fasciné par les images qu'il ne remarque même pas que son maître est en train de le filmer. Au moins pendant ses séances de télévision, l'animal est également le plus sage du monde. Son maître peut donc le laisser sans surveillance sans craindre qu'il ne fasse des dégâts.
P.
" ... Et pourquoi Médor ne comprendrait-il pas ce qu'il voit? "
Info Genstside
Ce chien est captivé par la télévision
Ce chien n'a besoin que d'un bon film comme Marmaduke pour se détendre. L'animal est tranquillement installé sur le canapé devant la télévision et regarde attentivement l'écran.
Ce chien est confortablement installé sur son canapé et regarde Marmaduke, un film sur ses congénères. Il fixe l'écran avec tellement d'attention qu'il semble tout comprendre de ce qui se déroule à l'écran.
Pendant que son maître utilise l'ordinateur, le chien a la télévision pour lui tout seul et sait en profiter. D'ailleurs, la télécommande est posée sur la table basse près de lui... En voyant son animal aussi captivé par le petit écran, cela a également étonné son propriétaire sans doute pas habitué à le voir ainsi. Il n'a d'ailleurs pas pu s'empêcher d'en garder un souvenir.
C'est donc une passion très récente pour la télévision qui grandit chez cet animal. D'ailleurs, le chien est tellement fasciné par les images qu'il ne remarque même pas que son maître est en train de le filmer. Au moins pendant ses séances de télévision, l'animal est également le plus sage du monde. Son maître peut donc le laisser sans surveillance sans craindre qu'il ne fasse des dégâts.
P.
7 Févr - Impératrice
Dicton du jour :
« Il faut qu'à la sainte Eugénie, toutes semailles soient finies .»
« À la sainte Eugénie, petit oiseau, reste dans ton nid.»
Dicton spécial Eugénie :
"Eugénie de Grenade à Paris
d'espagnole à impératrice !"
P.
« Il faut qu'à la sainte Eugénie, toutes semailles soient finies .»
« À la sainte Eugénie, petit oiseau, reste dans ton nid.»
Dicton spécial Eugénie :
"Eugénie de Grenade à Paris
d'espagnole à impératrice !"
P.
lundi 6 février 2012
Le street art miniature s’invite dans les rues de nos villes
Billet d'humeur journalistique :
" ....à quand les paris ? question : un escargot décoré à la manière de Picasso devient-il totalement fou ? !"
Info MinuteBuzz
Le street art miniature s’invite dans les rues de nos villes
Le street artist Slinkachu semble prendre un malin plaisir à interroger les frontières de son art. L’histoire du graffiti pouvant déjà s’enorgueillir de centaines et de centaines de wagons de trains bombés, l’homme a décidé de faire dans l’originalité en taguant des escargots. Si ce support offre nécessairement moins d’espace que la carrosserie d’un train, il a en revanche pour avantage d’être plus lent, et donc de permettre un meilleur confort de lecture.
En parallèle de ce projet intitulé Inner City Snail, Slinkachu s’est aussi lancé dans la confection et la contextualisation en paysage urbain de figurines miniatures, dans le cadre d’une autre série nommée Little People. Attention où vous mettez vos pieds la prochaine fois que vous vous promenez dans la rue, vous pourriez bien saccager une oeuvre d’art sans vous en rendre compte.
P.
" ....à quand les paris ? question : un escargot décoré à la manière de Picasso devient-il totalement fou ? !"
Info MinuteBuzz
Le street art miniature s’invite dans les rues de nos villes
Le street artist Slinkachu semble prendre un malin plaisir à interroger les frontières de son art. L’histoire du graffiti pouvant déjà s’enorgueillir de centaines et de centaines de wagons de trains bombés, l’homme a décidé de faire dans l’originalité en taguant des escargots. Si ce support offre nécessairement moins d’espace que la carrosserie d’un train, il a en revanche pour avantage d’être plus lent, et donc de permettre un meilleur confort de lecture.
En parallèle de ce projet intitulé Inner City Snail, Slinkachu s’est aussi lancé dans la confection et la contextualisation en paysage urbain de figurines miniatures, dans le cadre d’une autre série nommée Little People. Attention où vous mettez vos pieds la prochaine fois que vous vous promenez dans la rue, vous pourriez bien saccager une oeuvre d’art sans vous en rendre compte.
P.
6 Févr - Bis
Dicton du jour :
« À la saint Gaston, bien souvent le temps n'est pas bon. »
Dicton bis-repetita :
" A la Saint Gaston,
l'hiver joue à saute-mouton "
&
" A la Saint Gaston,
l'hiver est le principal feuilleton "
P.
« À la saint Gaston, bien souvent le temps n'est pas bon. »
Dicton bis-repetita :
" A la Saint Gaston,
l'hiver joue à saute-mouton "
&
" A la Saint Gaston,
l'hiver est le principal feuilleton "
P.
dimanche 5 février 2012
Il fait peur à des braqueurs avec un simple balai !
Billet d'humeur journalistique :
" ... allez-vous en , balai, quoi !"
Info Gentside
Il fait peur à des braqueurs avec un simple balai !
Un vieux commerçant a fait fuir avec un simple balai des malfaiteurs qui voulaient braquer son magasin.
C'est une scène incroyable racontée par The Northamptonshire Evening Telegraph qui s'est déroulée vendredi dernier peu avant 22 heures dans la commune de Rushden, une petite ville du comté de Northamptonshire en plein centre de l'Angleterre. Dinesh Gorania, 52 ans, et son fils Kishan, âgé de 21 ans, étaient sur le point de fermer leur magasin, connu sous le nom de Premier Stores. Le père procédait à des rangements à l'entrée du commerce tandis que le fils ramenait dans l'enceinte de la boutique du matériel entreposé à l'extérieur.
"Je n'ai pas eu peur"
C'est alors que trois hommes masqués ont fait irruption aux portes de l'épicerie. L'un d'eux armé d'une machette - ou d'une barre de fer selon les versions - a tenté de pénétrer dans la boutique, mais le père ne s'est pas laissé impressionner et l'a frappé sans relâche à maintes reprises avec le balai servant à laver le sol dans le magasin. Le braqueur n'a alors pas eu d'autre choix que de reculer devant Dinesh.
Le malfaiteur insiste pourtant plusieurs fois et ses deux compères lui viennent aussi en aide mais impossible de faire fléchir le commerçant qui demeure extrêmement belliqueux avec son balai. Une ardeur qui a fini par lasser les braqueurs qui ont alors renoncé à dépouiller ce magasin, d'autant plus que le fils est arrivé entretemps à la rescousse avec une crosse de hockey. Mais ils ont quand même vandalisé les véhicules de l'épicier et de son rejeton en guise de représailles. "Je n'ai pas eu peur. Je voulais juste de défendre ma boutique. Je ne peux pas identifier mon agresseur dont la tenue digne d'un film d'horreur était effrayante. J'espère qu'ils seront bientôt arrêtés" a expliqué Dinesh, relayé par 20 Minutes.
P.
" ... allez-vous en , balai, quoi !"
Info Gentside
Il fait peur à des braqueurs avec un simple balai !
Un vieux commerçant a fait fuir avec un simple balai des malfaiteurs qui voulaient braquer son magasin.
C'est une scène incroyable racontée par The Northamptonshire Evening Telegraph qui s'est déroulée vendredi dernier peu avant 22 heures dans la commune de Rushden, une petite ville du comté de Northamptonshire en plein centre de l'Angleterre. Dinesh Gorania, 52 ans, et son fils Kishan, âgé de 21 ans, étaient sur le point de fermer leur magasin, connu sous le nom de Premier Stores. Le père procédait à des rangements à l'entrée du commerce tandis que le fils ramenait dans l'enceinte de la boutique du matériel entreposé à l'extérieur.
"Je n'ai pas eu peur"
C'est alors que trois hommes masqués ont fait irruption aux portes de l'épicerie. L'un d'eux armé d'une machette - ou d'une barre de fer selon les versions - a tenté de pénétrer dans la boutique, mais le père ne s'est pas laissé impressionner et l'a frappé sans relâche à maintes reprises avec le balai servant à laver le sol dans le magasin. Le braqueur n'a alors pas eu d'autre choix que de reculer devant Dinesh.
Le malfaiteur insiste pourtant plusieurs fois et ses deux compères lui viennent aussi en aide mais impossible de faire fléchir le commerçant qui demeure extrêmement belliqueux avec son balai. Une ardeur qui a fini par lasser les braqueurs qui ont alors renoncé à dépouiller ce magasin, d'autant plus que le fils est arrivé entretemps à la rescousse avec une crosse de hockey. Mais ils ont quand même vandalisé les véhicules de l'épicier et de son rejeton en guise de représailles. "Je n'ai pas eu peur. Je voulais juste de défendre ma boutique. Je ne peux pas identifier mon agresseur dont la tenue digne d'un film d'horreur était effrayante. J'espère qu'ils seront bientôt arrêtés" a expliqué Dinesh, relayé par 20 Minutes.
P.
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