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vendredi 7 février 2014

Le fait divers du jour : un restaurateur menacé de mort car il voulait servir... de l'écureuil grillé

Billet d'humeur journalistique :

"...champignons, noisettes et écureuil grillé voilà un plat qui fait tout un plat !"




Info Métro
Le fait divers du jour : un restaurateur menacé de mort car il voulait servir... de l'écureuil grillé
Le Belge Jos Hubau voulait servir de l'écureuil dans son restaurant. Mais face à l'indignation des défenseurs des animaux, il a renoncé à cuisiner le petit rongeur.
Un ragoût d'écureuil au whisky, ça vous tente ? C'est ce que Jos Hubau, un cuisinier flamand, voulait servir à partir de la semaine prochaine à ses clients dans son restaurant situé à Kluisbergen, en Flandre-Orientale. Mais c'était avant que les défenseurs des animaux ne viennent lui chercher des noise(tte)s.
"Bourreau d'animaux"
Car ce Belge avait vanté sa nouvelle carte à la radio MNM et dans le quotidien Nieuwsblad, tentant de communiquer son enthousiasme : "J'ai goûté de l'écureuil pour la première fois il y a quelques années, et j'ai trouvé ça vraiment délicieux. Plus tard, quand j'ai vu que je pouvais en obtenir via un grossiste, j'ai pensé que je devais donner une chance à ce repas". Jos Hubau promettait de ne pas pas prendre ses clients par surprise : "Je préviendrai toujours les gens quand j'en servirai en bouchée apéritive par exemple. Mais je n'attends pas de problèmes".
Des problèmes, le chef en a pourtant bien eus. "En l'espace de deux heures, j'ai reçu pas moins de vingt menaces ! La plupart anonymes, qui allaient de 'bourreau d'animaux' à 'j'saurai bien te trouver'", a-t-il raconté à la Dernière heure. Il a bien cru que la sienne était venue. Son épouse et son fils ayant été également menacés, le restaurateur a finalement décidé de retirer le rongeur de sa carte. "Je n’avais pas l’intention d’aller chasser moi-même ces écureuils. De ma vie, je n’ai jamais tenu un fusil en mains”, a-t-il plaidé, soulignant également que ce n'était pas un écureuil roux, mais gris, celui dont la Grande-Bretagne a autorisé la consommation car il était en surpopulation, qu'il voulait faire mijoter. Pas de quoi en faire tout un plat selon lui.

P.

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