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lundi 11 septembre 2017

12 faits scientifiquement prouvés qui vont vous donner envie de passer du temps dehors

 Billet d'humeur journalistique :

" ...tous dehors ...!!!"






 Info Daily Geek

12 faits scientifiquement prouvés qui vont vous donner envie de passer du temps dehors


Passer du temps dehors améliore la santé et c’est prouvé scientifiquement. S’il est intuitif que la nature apporte des besoins naturels, les études et les chercheurs l’ont démontré de façon convaincante. Et pour profiter des bienfaits de la nature, nul besoin de vivre au fin fond de la montagne, des randonnées ou promenades dans des parcs suffisent. Le DGS vous en dit plus.

LA RÉDUCTION DE L’INFLAMMATION



L’inflammation est un processus naturel que le corps emploie pour combattre les pathologies. Seulement, ce processus peut être suractivé, c’est-à-dire qu’il ne combat plus une pathologie mais fonctionne alors qu’il n’est pas nécessaire. Apparaissent alors les maladies inflammatoires de l’intestin, les troubles auto-immuns et le cancer.
Différentes études ont montré que le temps passé dans la nature permettait de garder l’inflammation sous contrôle. En effet, les étudiants qui passent du temps en forêt ont des taux d’inflammation moins élevés que ceux qui passent tout leur temps en ville. Dans une autre étude, les patients âgés qui ont été envoyés une semaine en forêt pour des promenades ont eu des signes inflammatoires moins élevés et une baisse de l’hypertension.

LA STIMULATION DU SYSTÈME IMMUNITAIRE



Le système immunitaire permet de combattre les maladies telles que les infections. En 2010, la publication d’une étude a montré que les fonctions immunitaires des êtres humains étaient améliorées par l’environnement de la forêt. Cela dit, une recherche approfondie est nécessaire afin de s’assurer de la relation entre les deux paramètres.

LA PRÉVENTION CONTRE LE CANCER



De façon physiologique, l’être humain synthétise des protéines anti-cancéreuses. Tous les jours et de façon normale et non pathologique, des tumeurs sont prévenues grâce à ces protéines. Or, dans des études préliminaires, l’hypothèse a pu être émise que, le temps passé en pleine nature, particulièrement en forêt, stimulerait la production de ces protéines. Il suffirait d’une semaine d’excursion pour voir leur niveau augmenter.
Au Japon, il existe déjà un type de médecine préventive : le shinrin-yoku, ou l’immersion en forêt. Des études ont montré que les zones où les forêts avaient beaucoup de place comptaient un taux de mortalité dû au cancer plus bas que les autres. Cela dit, des études approfondies sont nécessaires afin d’affirmer cette théorie, car trop de facteurs entrent en jeu.

LA PROTECTION DE LA VISION



La myopie est un trait qui apparaît de plus en plus chez les enfants. Or d’après une étude de 2012, les activités en plein air diminueraient le risque de développer une myopie et son évolution chez les enfants et les adolescents. En effet, à Taïwan, deux écoles ayant un même taux d’enfants atteints de myopie ont été comparées après que l’on ait demandé à l’une d’encourager les activités en plein air. Il se trouve qu’après un an, celle dont les activités en plein air ont augmenté, a eu moitié moins d’enfants atteints de myopie que l’autre école.

LA DIMINUTION DE LA TENSION



Au vu des effets bénéfiques énumérés jusqu’ici, il n’est pas étonnant de constater les effets sur la tension. En effet, de nombreuses études ont montré que le temps passé dehors, plus particulièrement à marcher, diminue la tension. Au Japon, une étude comptant 280 participants a montré qu’une marche en forêt diminuerait le taux d’hormones de stress de 15 % et la pression sanguine de plus de 2 %.

L’ÉLIMINATION DE LA FATIGUE



Lorsque l’on a le sentiment que le cerveau ne veut plus fonctionner correctement, on appelle cela la fatigue mentale.  Les scientifiques ont montré que les grands espaces sont des environnements à fonction restauratrice. L’énergie mentale est stimulée par la nature ne serait-ce q

L’EFFET DÉSTRESSANT



Le stress s’exprime par des marqueurs physiques et biologiques. Les étudiants y sont particulièrement sujets et c’est pourquoi une étude a été menée en comparant des étudiants qui ont passé du temps en forêt pendant deux nuits à des étudiants qui ont passé ces deux nuits en ville. Pour ces derniers, le taux de cortisol (hormone de stress) était plus élevé. Pour ce qui est des personnes travaillant dans des bureaux, rien que la vue de la nature depuis leurs fenêtres réduit leur stress.

LE COMBAT CONTRE L’ANXIÉTÉ ET LA DÉPRESSION



L’anxiété, la dépression et autres problèmes psychologiques peuvent être traités en passant du temps dans la nature, tout particulièrement en faisant de l’exercice. Ceci s’explique en partie par l’effet déstressant. En effet, une étude a montré que des balades en forêt diminuaient l’anxiété et la mauvaise humeur tandis qu’une autre a montré qu’elle pouvait être utile en complément de traitements cliniques contre des dépressions majeures. D’après plusieurs études, « tout environnement vert améliore à la fois l’estime de soi et l’humeur », les personnes atteintes de désordres mentaux connaissent de « grandes améliorations de l’estime de soi » grâce à un exercice en pleine nature, la présence d’eau montrant des effets encore meilleurs.

L’AMÉLIORATION DE LA CONCENTRATION



D’après tous les effets revus jusqu’ici, nous savons que le temps passé dans la nature  nous permet de nous restaurer, mais il permet aussi de d’améliorer notre capacité d’attention. En effet, une étude a montré, en faisant marcher des participants dans la nature et d’autres en ville, que suite à ces balades, c’est ceux revenant de la nature qui développaient de meilleures capacités de concentration. Cet effet est apparemment tellement fort qu’il serait utile pour les enfants atteints d’un trouble déficitaire de l’attention ou hyperactivité. Il se trouve qu’après une balade de 20 minutes dans un parc leur capacité de concentration était améliorée.

L’AMÉLIORATION DE LA MÉMOIRE À COURT TERME


Un éléphant

Les balades en plein nature ont des effets bénéfiques que n’ont pas les autres types de balades. L’université du Michigan a fait passer un test de mémoire à ses étudiants puis les a divisé en 2 groupes. L’un des groupes faisait une balade dans un arboretum tandis que l’autre se baladait dans les rues de la ville. A leur retour, tous les étudiants ont repassé le test et ceux qui ont été dans l’arboretum ont eu des scores 20 % plus élevés que la première fois. Les autres étudiants n’ont pas amélioré leur score de façon significative.

L’AMÉLIORATION DE LA CRÉATIVITÉ


De l’art urbain

Une publication de 2008 avait déjà parlé de la thérapie naturelle en ces termes « une thérapie qui n’a pas d’effet indésirable, toute prête en l’état et qui peut améliorer la fonction cognitive gratuitement ». Une étude a montré que des personnes ayant fait une excursion dans la nature pendant 4 jours avaient boosté leu performance de 50 % sur un test de créativité.

FINALEMENT, LA PRÉVENTION CONTRE LA MORT PRÉMATURÉE


Une personne se promenant sur une route de forêt

Une étude Néerlandaise sur 250 782 personnes a montré que la présence d’espaces verts à proximité de leurs résidences les dotait d’une meilleure santé. La même équipe de recherche a poursuivi son étude en s’intéressant particulièrement à une grande variété de maladies. Celles-ci avaient des taux moins élevés chez les personnes vivant à proximité d’espaces verts. De plus, une étude récente publiée dans Environmental Health Perspectives (Les perspectives de santé environnementale) a confirmé la connexion en montrant une baisse de mortalité de 12 %, avec une amélioration liée en particulier à la diminution des morts liées aux cancers, aux maladies pulmonaires et rénales.


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