Clin d'oeil à Carnet d'émotion parfumée.

Clin d'oeil à Carnet d'émotions parfumées .... on respire à fond!



mercredi 16 octobre 2013

Nancy: un chocolatier marie pralinés avec vers de farine et grillons

Billet d'humeur journalistique :

".......1800 euros pour bouffer des insectes, finalement je préfère le croquant du chocolat, c'est moins cher et plus goutû !!!"




Info Voilà
Nancy: un chocolatier marie pralinés avec vers de farine et grillons.
 Après la surprise, la curiosité, la perplexité, voire le dégoût: les clients d'un chocolatier de Nancy hésitent devant les chocolats aux insectes, ver de farine ou grillon, une première en France qui entend initier les palais aux subtiles saveurs des petites bêtes, ignorées en Europe mais familières en Asie. "Il ne faut pas trop les regarder dans les yeux, ne pas s'attacher, sinon on n'arrive pas à les manger", sourit Sylvain Musquar, chocolatier à Villers-lès-Nancy, dont l'idée des carrés noirs aux ailes de grillon a germé après avoir travaillé au Japon et en Corée du Sud."Là bas, je mangeais des insectes bouillis, comme un tiers de l'humanité. J'ai eu envie d'associer mon métier et les insectes", résume-t-il dans son laboratoire, où il a tâtonné plusieurs semaines pour trouver le praliné idéal à marier avec ses grillons grillés.Il a finalement opté pour une recette à base d'amandes, noisettes, cacahuètes et sucre. Sur le rocher chocolaté, l'insecte est posé à la pince à épiler, après avoir été recouvert d'une fine feuille d'or, "pour rendre le tout un peu sexy", se sent-il tout de même obligé de préciser.Le croquant de l'animal, aux notes de noisette, voire de sous-bois, décontenance autant qu'il séduit ses clients, "dont beaucoup achètent une boîte… pour offrir", raconte le chocolatier.
Les familiers de la boutique ont découvert la nouveauté la semaine dernière et lui prédisent un joli succès, avec une soixantaine de boîtes déjà vendues."Je ne sais pas trop quoi en penser, mais j'ai envie de goûter, en famille… ça ne doit pas être si mauvais", explique une mère de famille repartie avec une boîte. Elle se dit "plutôt tentée par ceux avec les vers, moins par les grillons".Mais le ver de farine, tout doré soit-il, ne fait pas l'unanimité: certains habitués promettent de "ne jamais toucher à une telle chose". Et une cliente s'interroge sur les risques de "contracter le ver solitaire".La crainte est infondée: les insectes sont ébouillantés puis déshydratés, par une entreprise de Toulouse, MicroNutris. Des qualités nutritives"Nous nous sommes lancés dans la production d'insectes en 2011, après un rapport de l'Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation et l'agriculture qui préconisait cette consommation contre la faim dans le monde", explique son fondateur, Cédric Auriol.La jeune start-up, qui respecte un référentiel biologique, élève vers et grillons, les premiers pendant 8 semaines, les seconds pendant 12, selon un protocole qui respecte "les qualités nutritives" de l'aliment, riche en vitamines, minéraux et acides gras saturés."C'est d'ailleurs pour cela que nous avons opté pour l'ébouillantement-déshydratation plutôt que pour la friture, qui altère ces qualités", argue Cédric Auriol. MicroNutris fournit désormais plusieurs restaurateurs pionniers, du chef d'un établissement étoilé de Nice à un gérant fast-food de tacos, ainsi que les particuliers via Internet. "Nous produisons une tonne d'insectes par mois: on en commercialise un tiers, un deuxième tiers part en recherche et développement, le dernier sert à alimenter le parc des reproducteurs", explique M. Auriol.Ce sont également autant les qualités nutritives qu'écologiques qui ont séduit le chocolatier nancéien. Il souligne que l'élevage d'insectes rejette dix fois moins de gaz à effet de serre que celui des bovins."C'est la nourriture de demain. Je veux faire venir les insectes à mes clients, être un agitateur de goûts", proclame-t-il, cherchant à "faire oublier l'image de saleté, de nuisible". Reste que le chocolatier n'a pas réussi à convaincre tout le monde: l'une de ses vendeuses "refuse même de les toucher", au motif que "ça la dégoûte". Et l'originalité a un coût: 22 euros la boîte de 9 chocolats. Et un kilo d'insectes est vendu… 1.800 euros.
P.

17 Oct - Aimer

La Phrase du Jour :


 ’’Quand on est aimé, on ne doute de rien. Quand on aime, on doute de tout. ’’
Colette


  Ma Phrase du Jour :

« Quand on aime, on doute de tout, surtout de l’être aimé et de son amour pour vous… ! »

P.

Un moustique avec du sang vieux de 46 millions d'années découvert par des scientifiques

Billet d'humeur journalistique :

".... au secours Jurassic Park revient !"




Info Atlantico
Un moustique avec du sang vieux de 46 millions d'années découvert par des scientifiques.
Les chercheurs pensent pouvoir identifier d'autres molécules biologiques dans des fossiles encore plus anciens.
Des paléontologues viennent de découvrir un moustique femelle contenant du sang fossilisé depuis 46 millions d'années. Les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS) affirment avoir découvert 36 spécimens de moustiques dans les roches du Montana. Une dizaine d'entre eux n'appartient à aucune espèce connue.
Des analyses ont montré que le corps de l'insecte gorgé de sang avait une concentration élevée en fer et en carbone. Ce fer est associé à des molécules d'hème, l'un des composants de l'hémoglobine, prouvant ainsi que ce sang est celui d'une proie. Les chercheurs pensent être en mesure d'identifier d'autres molécules biologiques dans des fossiles encore plus anciens, comme ceux des dinosaures, par exemple. Cette découverte apporte du crédit aux recherches d'autres scientifiques qui affirmaient avoir trouvé des composés sanguins dans des os de tyrannosaure et de brachylophosaure.
 
P.

mardi 15 octobre 2013

Déclaré mort en 1994, Donald Miller n'arrive pas à prouver qu'il est bien vivant

Billet d'humeur journalistique :

".....comme quoi les juges peuvent aussi avoir de l'humour :

Nous avons une preuve ici. Un homme assis dans la salle d’audience, qui semble être en bonne santé […] je ne sais pas quelles seront les conséquences pour vous, mais aux yeux de la loi vous êtes toujours décédé" a déclaré le juge
... no comment !"




Info Gentside
Déclaré mort en 1994, Donald Miller n'arrive pas à prouver qu'il est bien vivant.
Disparu en 1989 après avoir perdu son travail, Donald Miller essaye aujourd'hui de faire reconnaître qu'il est bien vivant. Mais la justice refuse pour l'heure d'accéder à sa demande.
S'il avait su qu'il serait aussi difficile de revenir parmi les vivants, Donald Miller n'aurait probablement jamais fait le mort. Porté disparu suite à son licenciement en 1989, cet Américain de 61 ans a été officiellement déclaré décédé cinq ans plus tard, faute du moindre signe de vie. Problème : malgré sa récente réapparition, la justice refuse de modifier son statut légal.
Réapparition en 2005
Marié et père de deux enfants, Donald a donc laissé sa vie derrière lui il y a 28 ans. Totalement désespérée et proche de la banqueroute, sa femme Robin a fini par entamer les démarches pour obtenir un certificat de décès officiel en 1994, après huit longues années de recherches infructueuses. Une formalité administrative qui lui a permis de bénéficier d'aides sociales, et de subvenir aux besoins de sa progéniture, rapporte ABC News.
Mais il y a quelques mois, la "veuve" du disparu a découvert que son défunt mari avait refait surface et même tenté à plusieurs reprises de régulariser sa situation auprès de l'administration régionale. En réalité, la première réapparition de Donald dans l'Ohio date de 2005, et ce dernier lutte depuis lors pour modifier son état civil.
"C'est une situation très étrange"
Et si l'épouse délaissée n'a pas souhaité bloquer les démarches de son ex-mari - qui pourraient tout de même l'obliger à rembourser une partie des aides sociales perçues depuis 1994 - Allan Davis, un juge d'Etat du comté d'Hancock (Ohio), n'a pas hésité à empêcher le sexagénaire de revenir d'entre les morts. En effet, ce dernier a contraint Donald à conserver son statut ubuesque, en vertu d'une loi spécifique qui interdit de modifier un certificat de décès au-delà de trois ans après les faits.
"Nous avons une preuve ici. Un homme assis dans la salle d’audience, qui semble être en bonne santé […] je ne sais pas quelles seront les conséquences pour vous, mais aux yeux de la loi vous êtes toujours décédé" a déclaré le juge au moment de rendre son jugement. "C’est une situation très étrange" a-t-il conclu. Dans l’impasse, Donald Miller envisage aujourd’hui de s’en remettre à la justice fédérale.

P.

16 Oct - Voiture

La Phrase du Jour :

’’En Amérique, on se donne l'importance de sa voiture.’’
 Bertrand Vac 

Ma Phrase du Jour :

« On se donne l’importance de sa voiture, alors lorsqu’elle est noire et ressemble à un corbillard je vous laisse imaginer le propriétaire … ! »

P.

Karen Sizemore a été licenciée... pour avoir pourchassé un voleur à l'étalage

Billet d'humeur journalistique :


"... comme quoi il faut tjs lire les règlements !!!"



Info Gentside
Karen Sizemore a été licenciée... pour avoir pourchassé un voleur à l'étalage
Après avoir pourchassé un voleur à l’étalage hors de sa boutique, Karen Sizemore, vendeuse depuis 18 ans chez Lowe’s, une chaîne de distribution américaine spécialisée dans le matériel de jardinage, a eu la surprise de se voir licenciée par son employeur. "Je ne le referai pas" Le voleur, identifié et arrêté depuis l’incident, avait pourtant dérobé une mallette à outils d’une valeur de 600 dollars, soit un peu moins de 450 euros. S’étant rendue compte du larcin, Karen a poursuivi le contrevenant jusqu’au parking du magasin. Et si elle avoue n’avoir pas été assez rapide pour l’interpeller, elle a tout de même pu noter sa plaque minéralogique. "C’était juste sous le coup de l’adrénaline. Je ne le referai pas. J’étais juste arrivée au point où je ne supportais plus ce genre de vols", a confié la vendeuse à WLKY, une chaîne de télévision locale. "J’ai obtenu son numéro de plaque d'immatriculation, c'est comme ça qu'on l'a attrapé. Il est en prison. "Une question de politique. Dès le lendemain de cet acte héroïque, les collègues de Karen l’ont affublé de petits surnoms sympathiques. "Ils m’appelaient Rambo, ou Wonderwoman" se remémore-t-elle. Mais la fête a tourné court. Quelques jours plus tard, la quinquagénaire apprenait son licenciement, motivé par le fait qu’elle aurait violé la politique intérieure de l’entreprise. "Ils m’ont expliqué que je m’étais mise en danger, et que j’avais aussi mis en danger d’autres personnes, donc ils m’ont renvoyée. "Face à la tournure prise par l’affaire, Lowe's s'est dernièrement fendue de ce communiqué : "Nos politiques ont été mises en place pour assurer la sécurité de nos travailleurs. Nous avons des directives très spécifiques quant aux potentiels vols à l’étalage, afin d'assurer le bien-être non seulement de notre équipe, mais aussi de nos clients." Une politique que compte bien combattre Karen Sizemore. La vendeuse vient en effet de prendre un avocat, et s’est dit déterminée à récupérer son job.

P.

15 Oct - Chance

La Phrase du Jour :

   “La chance s’attrape par les cheveux, mais elle est chauve.”  Stendhal


 Ma Phrase du Jour :

  «  Quand on coupe la chance, comme les cheveux en quatre, elle s’éloigne comme un peigne sur un chauve… ! »
 
P.